Le choix nationaliste va de soi, c’est le choix de la survie
Rester Nous, ne pas devenir autres
Il existe deux conceptions de la société qui s’opposent et qui s’excluent mutuellement. Être diversitaire ou identitaire. Les deux ne peuvent coexister. Le choix nationaliste évident est d’être identitaire.
La diversité multiethnique et multiculturelle, c’est mal et nocif dans une nation de petite taille comme le Québec. On l’a démontré ici en 36 points.
Ce qui est essentiel d’abord et avant tout pour qu’une nation comme la nôtre s’épanouisse, c’est de préserver son identité collective historique affinée depuis plus d’une douzaine de générations.
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Le choix nationaliste va donc de soi, c’est le choix de la survie. Le seul envisageable.
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Il n’y a pas de raisons de devenir un gros paquet d’hindous. Ni d’arabes. Ni d’africains. Ni de latinos. Ni d’asiatiques. Non, il ne le faut pas. Ce serait aller à notre perte en tant que peuple fondateur du pays et de la société québécoise, ce serait précipiter notre effacement.
Il ne faut pour rien au monde devenir un creuset mélangé de déracinés, de déboussolés issus des pires pays de la planète. Nous ne sommes pas eux. Notre nation ne doit pas devenir étrangère à elle-même.
La préservation de l’identité collective est le fondement de la cohésion sociale si désirable, de l’agrément de vivre ensemble, de la capacité à se reconnaître et de se sentir bien parmi les siens, de savoir ce qu’on est et ce qu’on n’est pas, tout cela formant les éléments de base de la vie en société.
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Tout ce qui fait qu’on est nous-mêmes est précieux, tout ce qui nous différencie des autres et nous particularise est un atout positif. Tout ce qui nous éloigne et nous dépouille de ce noyau central commun est nuisible et doit être repoussé comme le retour des virus en automne.
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Nous possédons notre système de valeurs, notre vision des choses, nos us et coutumes, notre culture vivante; tout ce qui peut les altérer, les amoindrir est nocif. C’est ce qu’amène la diversité ethnique, raciale, culturelle, qui nous appauvrit sous tous les plans.
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Nous ne sommes pas un peuple du tiers-monde sous-développé (africain, arabe, asiatique, latino, hindou, etc.). Pourquoi devrions-nous nous laisser transformer en eux? Ce serait néfaste de se mettre à leur ressembler; cela nous ferait perdre tous nos repères.
Ce qui est trop loin de nous doit être écarté. Cela ne peut que nous nuire, nous désagréger.
Les pays occidentaux sont les plus évolués et avancés à cause de la sorte de monde qu’il y a dedans.
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Voyant tout cela, le choix entre être diversitaire ou identitaire devient d’une telle évidence: soyons nationalistes identitaires et fiers de l’être! C’est clair et net!
Être ou ne pas être, voilà la question existentielle. Et vouloir être, c’est vouloir être nationaliste dans son cœur et son âme.
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Source: Lire l'article complet de Vigile.Québec