La grippe, réalité ou fantasme ?
Un vieil épidémiologiste, Pr associé à Oxford, remet en cause la soi-disant dangerosité de la grippe et montre le la tromperie à tous les niveaux et depuis longtemps.
50 ans de données montrent que les cas de Grippe sont très rares, 97,5% des Symptômes « Grippaux » ne sont pas causés par la Grippe !
Dans un article récent qui présente une analyse de 50 ans de données, le Dr Tom Jefferson explique pourquoi les cas de grippe sont rares, les complications liées à la grippe sont très rares et il n’y a eu aucun décès dû à la grippe.
« Les vaccins n’ont aucune chance contre une cible mouvante relativement rare comme la grippe », a-t-il déclaré.
Le Dr Jefferson a publié une série d’articles intitulée « The Dot Series » sur la page Substack « Trust the Evidence ».
La série Dot a débuté comme un projet visant à publier des « téléchargements » des travaux du Dr Jefferson et de ses collègues sur les vaccins contre la grippe.
Elle a reçu de nombreux retours.
Par conséquent, la série s’est transformée en un résumé de l’histoire de quatre revues Cochrane qui montrent les faibles performances des vaccins contre la grippe.
Au début, les décideurs ont mis de côté Cochrane et ses revues systématiques pour résumer et interpréter les résultats de la recherche médicale.
Mais dans les années 2000, Cochrane est devenu trop prestigieux pour être ignoré.
En 2008 et 2009, le Dr Jefferson et ses collègues ont passé en revue les preuves utilisées par l’Organisation mondiale de la santé, les Centres américains de contrôle et de prévention des maladies (CDC) et « les tout-puissants » pour recommander le vaccin contre la grippe.
C’est l’examen de ces preuves qui est devenu le sujet de la série Dot .
Le premier article de cet exposé particulier s’intitule « Connecting the Dots« .
Dans le deuxième article, « Connecting More Dots« , Trust the Evidence a noté : « Les enquêteurs américains de l’Informed Consent Action Network (ICAN ) ont récemment publié une correspondance électronique privée qui révèle l’ampleur de la tromperie. Les courriels ont été rendus publics. »
« Les courriels montrent que l’on ne peut pas faire confiance même aux institutions très grandes et célèbres, car elles font partie de l’industrie de la pandémie, mais ce n’est pas une histoire nouvelle et nous montrerons pourquoi cela nous est apparu clairement dès 2008 », a écrit le Dr Jefferson.
Voici la troisième partie révélant les « preuves » utilisées pour recommander la vaccination annuelle contre la grippe.
« Je prie tous ceux d’entre vous qui se sont vus ou se verront proposer une vaccination contre la grippe de prendre en considération le contenu de cet article avant de décider de l’accepter ou non », a commencé le Dr Jefferson.
Et de conclure : « La grippe est rare… les interventions auprès de la population telles que les vaccins inactivés n’ont aucune chance contre une cible mouvante relativement rare comme la grippe. »
Exagérer la menace de la grippe : réflexions d’un examinateur de longue date de Cochrane
Je prie tous ceux d’entre vous à qui l’on a proposé ou qui se verront proposer un vaccin contre la grippe de prendre en considération le contenu de cet article avant de décider de l’accepter ou non.
Nous avons publié des articles présentant des preuves que la menace de la grippe a été exagérée, voir : Revisiting the F Word , Trust the Evidence, 1er février 2023 (derrière un paywall).
Les autorités américaines savaient qu’une fraude était en cours et elles ont fait tout leur possible pour se défendre mutuellement et dissimuler l’escroquerie, voir : Connecting more Dots, Trust the Evidence, 23 octobre 2024.
Voici la première partie de l’histoire expliquant pourquoi j’ai soupçonné et su cela pendant au moins 25 ans !
Au milieu des années 1990, alors que la Cochrane Collaboration débutait, certains d’entre nous, membres de son groupe sur les infections respiratoires aiguës, ont commencé à rédiger des protocoles pour des revues Cochrane sur les sujets qui nous intéressaient (Cochrane étant alors une organisation bénévole partant de la base).
Dans mon cas, il s’agissait de la grippe et d’autres agents respiratoires.
Nous avons donc rédigé des protocoles et publié des études sur les effets (efficacité et dangerosité) des vaccins antigrippaux (tous types de vaccins inactivés et vivants atténués) sur les enfants, les adultes, les asthmatiques, les personnes âgées et les personnes qui s’occupent d’elles.
Au début, nous n’avons étudié que les essais contrôlés randomisés, puis nous avons cédé à la pression pour inclure des données d’observation.
Ces dernières ont été rapidement abandonnées pour préserver notre santé mentale.
En effet, les données d’observation, dans ce cas, vous disaient tout et leur contraire : ce n’est pas une histoire nouvelle.
J’ai finalement été exclu de l’évaluation des asthmatiques, mais les quatre autres ont été continuellement mis à jour jusqu’à ce que nous réalisions qu’il n’y avait aucun intérêt à continuer, et 3 des évaluations ont été stabilisées (plus de mises à jour).
Les trois évaluations stabilisées sont :
1. Demicheli V, Jefferson T, et al. Vaccins pour prévenir la grippe chez les adultes en bonne santé. 2018
2. Jefferson T, Rivetti et al. Vaccins pour prévenir la grippe chez les enfants en bonne santé. 2018
3. Demicheli V, Jefferson T et al. Vaccins pour prévenir la grippe chez les personnes âgées. 2018
La quatrième revue est actuellement en cours de mise à jour :
4. Thomas RE, Jefferson T, et al. Vaccination contre la grippe pour les professionnels de la santé qui soignent des personnes âgées de 60 ans ou plus vivant dans des établissements de soins de longue durée.
Ces analyses ont été citées plusieurs milliers de fois et lues bien plus encore. Elles incluent des données issues de 105 essais contrôlés par placebo (réels) impliquant plus de 100.000 personnes.
Voilà donc le contexte.
À ce stade, vous vous demanderez : « Et alors ? »
Le « et alors ? » est que les essais randomisés (réels) contrôlés par placebo vous donnent une bonne idée de l’incidence de la grippe (dans les essais plus anciens, par une augmentation des titres d’anticorps et/ou un isolat de culture virale positif).
Lorsque vous regroupez les données, vous ne regardez pas un essai ou un ensemble de données, mais plusieurs ensembles de données observés et enregistrés au plus fort de la saison de la « crise hivernale ».
Dans l’examen des adultes en bonne santé, le groupe placebo a détecté 465 cas sur 18.593 participants.
Ainsi, parmi les personnes présentant des symptômes, 97,5% n’étaient pas causés par la grippe. Aucun essai n’a pu détecter de décès, les hospitalisations étaient relativement rares.
Les essais couvraient 50 ans de données, nous avons donc eu tous les hauts, les bas et les peut-êtres et même deux pandémies de grippe.
Les essais sont des études dans lesquelles les chercheurs peuvent contrôler les choses, vérifier et suivre les cas.
L’incidence du groupe placebo est essentielle pour avoir une vision précise de ce qui se passe.
Les modèles ne sont pas nécessaires.
Une fois que nous avons commencé à examiner les décès dus à la grippe vérifiés dans le groupe placebo, nous avons vu que le nombre de cas se chiffrait en centaines.
Les complications étaient très rares ; pour les décès, nous n’avons rien trouvé – certainement pas les chiffres avancés par le CDC, auxquels même Anthony Fauci ne croyait pas.
Et cela concorde avec les données que nous avons présentées dans l’article « Connecting more Dots » et « Revisiting the F Word« .
La grippe est donc une maladie rare, de nombreux agents pathogènes provoquant les mêmes signes et symptômes sont regroupés sous le terme effroyable de « grippe », et les interventions auprès de la population telles que les vaccins inactivés n’ont aucune chance contre une cible mouvante relativement rare comme la grippe. Vous voyez, ma mère avait raison quand elle me disait : « Tommy chéri, n’utilise jamais le mot en F. » (Flu pour Grippe)
Dans les prochains articles, Trust the Evidence expliquera comment et pourquoi il est essentiel d’exagérer la menace pour maintenir en activité des organismes contraires à l’éthique comme le CDC et l’Agence de sécurité sanitaire du Royaume-Uni (« UKHSA ») (je mentionne ces deux-là, mais ils y travaillent tous) et analysera certaines déclarations et politiques trompeuses fondées sur des données trompeuses et gonflées.
Ce message a été écrit par un vieux routier qui travaille sur ce sujet depuis trois décennies et qui espère que le contenu de messages comme ceux-ci sera son héritage.
Autres travaux pertinents !
• Jefferson T, Di Pietrantonj C, Debalini MG, Rivetti A, Demicheli V. Relation entre la qualité des études, la concordance, le message à retenir, le financement et l’impact dans les études sur les vaccins contre la grippe : revue systématique BMJ 2009; 338 :b354 doi:10.1136/bmj.b354
• Jefferson T. Vaccination contre la grippe : politique versus données probantes BMJ 2006; 333 : 912 doi:10.1136/bmj.38995.531701.80
• Jefferson T, Di Pietrantonj C, Debalini MG, Rivetti A, Demicheli V. Vaccins antigrippaux inactivés : méthodes, politiques et politiques. J Clin Epidemiol. 2009 juill.;62(7):677-86. doi: 10.1016/j.jclinepi.2008.07.001. Publication en ligne du 4 janv. 2009. PMID: 19124222.
• Doshi P. Les chiffres de mortalité dus à la grippe aux États-Unis sont-ils davantage une question de relations publiques que de science ? BMJ. 10 décembre 2005 ;331(7529) :1412.
• Doshi P. Grippe : commercialisation des vaccins par maladie BMJ 2013; 346 :f3037 doi:10.1136/bmj.f3037
À propos de l’auteur :
Tom Jefferson est épidémiologiste clinique et professeur associé principal à l’Université d’Oxford. Avec le professeur Carl Heneghan, il publie des articles sur une page Substack intitulée « Trust the Evidence« .
Partagé par Rhoda Wilson le 27 octobre 2024 :
https://expose-news.com/2024/10/27/they-lied-about-flu/
Source : Changera5
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