« Nous avons loué un hôtel et nous avons tous pris de la Molly [Ecstasy/MDMA] »
Le 19 octobre 2024
Le médecin épidémiologiste Jay Varma, était le « Conseiller principal en santé publique » (en particulier pour les réponses à la fausse pandémie de « C19 ») du maire de New York, Bill de Blasio, qui œuvra à la descente aux enfers de cette magnifique ville entre 2014 et 2021 (il a imposé l’abandon de la pratique policière « stop-and-frisk », c’est-à-dire l’arrêt et la fouille des personnes soupçonnées d’être des délinquants, au motif que cela concernait principalement les Afro-Américains et les Hispaniques).
Bill de Blasio a été le premier maire d’une grande ville des États-Unis à introduire une obligation d’injections des mortels produits à ARNm dans le secteur public municipal : tous les employés de la ville de New York, policiers et pompiers inclus, ont eu l’obligation de se faire injecter sous peine de perdre leur emploi (ce qui est arrivé en France pour les gendarmes, les pompiers et les personnels soignants, mais au niveau national).
Cette obligation pour les salariés de se faire injecter les mortels produits à ARNm n’a pas concerné uniquement le secteur public ; De Blasio l’a étendue au secteur privé, ce qui a eu pour conséquence la fermeture, souvent définitive, de nombreuses entreprises.
Ajoutons qu’il fut également l’un des premiers responsables d’une grande ville dans le monde, à imposer le traçage des contacts (copier sur une pratique imposée en Chine par le parti communiste), la fermeture des écoles (cours en ligne) et des entreprises, les tests PCR qui rendent positif de l’huile de moteur, l’inutile et dangereux port du masque dans les lieux publics, dans les restaurants, les bars et les salles de sport (toutefois, il n’imposa aux clients de consommer leur café assis, et non débout au comptoir, comme le sinistre et corrompu Jean Castex, Premier ministre, en France).
La suppression des droits humains, c’est pour vous, la liberté c’est pour nous ! Faites comme je dis, pas comme je fais !
Toutes les criminelles mesures qui ont été imposées à New York par le maire de l’époque, Bill de Blasio, l’ont été à la demande de son Conseiller principal Jay Varma.
Et que faisait-il ce Jay Varma pendant que les Newyorkais devaient vivre dans la terreur ou se faire injecter les mortels produits à ARNm ?
Eh bien figurez-vous que l’on vient de l’apprendre grâce à un enregistrement vidéo en caméra cachée qui a été rendu public le 19 septembre 2024, et ce n’est pas triste.
Ce n’est pas triste, et cela confirme que tous les responsables politiques savaient pertinemment qu’il n’y avait pas de pandémie et que l’on ne risquait pas plus de mourir lors de l’hiver 2020-2021 que lors des hivers précédents. Ils savaient cela, comme ils savent qu’il n’y a pas plus de réchauffement climatique d’origine humaine que de lapins roses qui feraient des terriers sur la Lune.
Extraits des déclarations de Jay Varma enregistrées à son insu :
« J’ai dû faire preuve de discrétion à ce sujet [soirée sexe en groupe, drogue et alcools]. Je dirigeais toute la réponse au Covid pour la ville.
» Nous avons loué un hôtel et nous avons tous pris de la Molly [Ecstasy/MDMA].
» 8 à 10 d’entre nous étaient nus dans une pièce, comme si nous étions simplement entre amis (…) Nous sommes allés à une sorte de soirée dansante clandestine [qui aurait eu lieu en juillet 2021], sous une banque de Wall Street. Il y avait 200 personnes.
» Ce n’était pas adapté au Covid. J’ai fait toutes ces choses déviantes et sexuelles pendant que j’étais [Conseiller principal du maire qui passait à la télévision pour expliquer aux Newyorkais qu’ils devaient porter un masque, ne pas se toucher et se faire injecter].
» En fait, c’est moi qui ai convaincu le maire d’en faire une obligation [des mortelles injections à ARNm].
» Donc, la façon dont nous procédons en matière de santé publique est de rendre très inconfortable le fait de ne pas être vacciné [injecté]. Ils ne se sont pas fait vacciner [injecter] parce qu’ils ont entendu dire que c’était sans danger, ils ont cédé parce que c’était vraiment difficile [pour eux]. »
« Une partie amusante de ma vie »
« À cause du mandat de vaccination que j’ai fait passer [obligation de se faire injecter], il [Kyrie Irving, star de la NBA (basket-ball professionnel)] n’a pas été autorisé à jouer. » Et donc c’est devenu un énorme problème national de savoir pourquoi Kyrie Irving n’a pas été autorisé à jouer au basket parce qu’il refusait de se faire vacciner. » Donc, j’ai été sur le plateau [plateau télé] pour dire qu’il [Kyrie Irving] était un connard. Pourquoi disait-il qu’il ne se ferait pas vacciner ? Je n’allais pas lui dire qu’il ne sait pas dribbler [au basket], alors qu’il ne me dise pas comment fonctionne la science. » Le Wall Street Journal a écrit tout un article sur moi – sur le fait que je suis celui qui a empêché Kyrie Irving de jouer au basket. C’était une partie amusante de ma vie » Et en France ? |
Les Éborgneurs en chef des Gilets Jaunes, Emmanuel Macron et Édouard Philippe (à qui l’on devrait également l’incendie de Notre-Dame-de-Paris) – Jean Castex, Agnès Buzyn, Oliver Véran et François Braun également directement responsables des personnes âgées assassinées à coup de Ri-Vo-Tril dans les EHPAD et des malades et morts des injections de produits à ARNm ? |
Rappelons que lors de la même période en France : |
– Les députés et les sénateurs n’étaient pas concernés par les mesures criminelles prises lors de la fausse pandémie de « C19 ».
– Les clubs échangistes (boîtes à partouzes) qui seraient fréquentés par de nombreux politiciens et hauts fonctionnaires sont restés ouverts, alors qu’il était interdit de boire un café au comptoir d’un bar, de prendre des remontées mécaniques pour skier, ou encore d’acheter une paire de chaussettes dans un supermarché.
– Les policiers n’ont été soumis à aucune injection à ARNm.
– Le ministre de la Justice d’alors, qui serait alcoolique et cocaïnomane (entre autres), Éric Dupond-Moretti, a expliqué qu’il n’y aurait aucune obligation d’injection de produit à ARNm pour les prisonniers, car ce n’étaient pas des cobayes, alors qu’« en même temps », ils obligeaient les pompiers, les gendarmes et le personnel soignant à se faire injecter, sous peine de se retrouver à la rue sans revenus.
Pierre LefevreCo-fondateur |
Source : Libre consentement éclairé
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