Radio-Canada, plus que tout autre média, pratique le politiquement correct pro-diversitaire et le dénigrement des Québécois, et ce, à la moindre occasion. Des exemples suivent.
Elle est également un organe de propagande officielle de l’idéologie mortifère du multiculturalisme.
Alors que tout un chacun s’accuse réciproquement d’être un source fiable et l’autre de désinformation, on ne sait plus à quel saint se vouer pour trouver la vérité et les faits exacts.
Avec pour résultat net que les gens se méfient des sources officielles.
Mais se peut-il que l’information officielle elle-même devienne mésinformation lorsqu’elle comporte une part de camouflage et de dissimulation intentionnelle pour sauver les apparences, ou pour ne pas nuire aux idéologies professées auxquelles elle adhère?
Un exemple parmi tant d’autres: une Française extrémiste dérangée est condamnée pour avoir envoyé une enveloppe empoisonnée au président américain Trump, mais dans son reportage Radio-Canada en a fait une Québécoise et une Montréalaise!
1- On titre:
« Une Québécoise ayant envoyé une lettre empoisonnée à Trump plaide coupable »
2- Plus loin dans le texte, on va jusqu’à en faire une Montréalaise:
« La coupable Pascale Ferrier a admis avoir confectionné de la ricine mortelle à son domicile au sud de Montréal en septembre 2020. »
3- Nulle part n’est-il fait mention que c’est une immigrante française, encore moins qu’elle possède la double nationalité, ce qui aurait alors trahi des origines qu’on préfère cacher.
4- La coupable a un nom à consonnance québécoise, ce qui accroît l’impression qu’on a affaire à l’une des nôtres. Jamais on n’apportera de précision : « ne vous méprenez pas, la criminelle est d’origine étrangère ». La chose est bien camouflée.
5- Le résultat de ces petites cachotteries dont Radio-Canada a le malin secret, c’est que tous les Québécois ont eu honte d’un tel acte, et se sont dit : « qu’on est donc plein de mauvaises personnes ici ». C’est une façon détournée de Radio-Canada de pratiquer le dénigrement des Québécois comme le font systématiquement les autres médias anglo-canadiens.
6- Il aurait fallu à tout le moins préciser clairement que c’était une Française d’origine, une Franco-Québécoise, une néo-Québécoise, ou une immigrante reçue, ce ne sont pas les termes qui manquent pour la décrire avec exactitude. Mais tout a été caché délibérément. Ils pèchent par omission. Ils ne révèlent jamais ce qui n’irait pas dans le sens de leur idéologie diversitaire, même si cela doit fausser la juste perception de la situation.
7- Lorsque que des criminels sont d’origine étrangère, Radio-Canada tait toujours leurs origines, comme si cela n’avait rien à voir avec la nature du crime, alors qu’au contraire cela a généralement tout à voir avec le degré de violence, d’impulsivité et du degré de sauvagerie des actes commis conformes à leur pays d’origine. Ceci se confirme encore plus lorsque les criminels proviennent des pays les plus sous-civilisés, barbares, corrompus, arriérés du tiers-monde miséreux.
Source: Une empoisonneuse française
Mais certains porteurs de lunettes roses (ou certains propagandistes diversitaires aveuglés) refusent encore d’admettre l’évidence au nom de leurs beaux principes mielleusement hypocrites.
Voyez ici des centaines de crimes perpétrés par des multiethniques sévissant au Québec qui n’auraient jamais dus être admis au pays s’ils avaient été mieux filtrés. Jamais Radio-Canada n’oserait attirer l’attention sur le lien sans équivoque entre la criminalité et les origines multi-ethniques de nombreux coupables condamnés.
Radio-Canada pratique ce genre de désinformation systématique sur une base quotidienne. Jour après jour. Reportage après reportage. Leurs journalistes sont sélectionnés, configurés, wokisés, conditionnés, réglementés et surveillés pour agir de la sorte, devant se plier aux diktats diversitaires et multiculturalistes de la haute direction. rien d’étonnant, ils sont même tenus d’appliquer cette idéologie condamnable de par leur mandat. Honte à cette société d’état fédéral propagandiste dont il faut se libérer au plus tôt. Radio-Canada semble être devenue un organe de propagande fédérale officiel, ce qu’ils devraient laisser aux pays totalitaires.
On déforme les faits, on ne dit pas tout, lorsque ça ne va pas dans le sens de la propagande diversitaire. C’est la vérité, mais partielle, incomplète, avec des éléments essentiels connus mais passés sous silence. On nous cache sciemment une partie des faits. Systématiquement, puisqu’il y a soumission totale à la propagande aveugle.
L’essayiste et fin sociologue nationaliste Mathieu Bock-Côté a déjà laissé entendre sourire en coin qu’il était persona non grata à ce réseau, parce ses opinions sont divergentes du dogme diversitaire. Alors, où est passée l’impartialité, l’objectivité, l’expression du revers de la médaille? On cherche à le faire taire, comme un dissident russe qui se fait arrêter et bâillonner.
Pour en revenir à notre empoisonneuse, le Journal de Montréal l’a souligné, lui, comme c’est primordial de le faire pour dire les choses comme elles sont : « La quinquagénaire, qui est Franco-Canadienne, avait accepté sa peine le 25 janvier dernier ».
Source : Une Franco-Canadienne reconnue coupable
Source: Une Québécoise ayant envoyé une lettre empoisonnée à Trump plaide coupable
Contentons-nous pour l’heure de ces exemples, mais sachez que le même genre de scénario de présentation biaisée se reproduit systématiquement reportage après reportage.
Les médias officiels décrient la désinformation de certains médias sociaux. Qu’ils commencent donc par pratiquer eux-mêmes la vérité objective et complète comme vertu, la société Radio-Canada la première.
Note 1: on parle ici du cas de Radio-Canada, mais on pourrait poursuivre la même enquête chez d’autres médias visuels ou écrits qui s’y apparentent.
Note 2: cliquez sur les termes surlignés en bleu pour approfondir davantage votre réflexion sur le sujet
Source: Lire l'article complet de Vigile.Québec