Des scientifiques dignes de ce nom dénoncent l’arnaque climatique
Deux des objectifs du Pacte du futur s’étant tenu aux Nations-Unis le 23 septembre 2024 étaient de donner un nouvel élan aux Objectifs du développement durable et à l’Accord de Paris sur le climat, « deux accords historiques de 2015 qui ont connu des progrès hésitants et des échéances ratées[1] » … pour dire le moindre!
La prétendue crise climatique qui devait servir à catalyser les changements escomptés en faisant peur au public, selon la stratégie du choc et de l’effroi, bat en effet de l’aile depuis que de nombreux scientifiques de haut niveau ont mis leurs culottes pour dénoncer ce qui n’est ni plus ni moins que l’arnaque du siècle.
L’idée répétée incessamment par les médias aux ordres, subventionnés à l’os, selon laquelle l’homme est à l’origine de la plupart ou de la totalité des changements climatiques ainsi que l’affirmation selon laquelle la science qui sous-tend cette notion est désormais « établi » sont fausses. La science n’est jamais « établie ». La nature de la science fait qu’elle demeure toujours en question et ouverte à la révision. L’homme, quant à lui, est surtout à l’origine de la fausse crise climatique que nous connaissons et qui risque d’avoir des effets désastreux sur l’humanité si nous n’y mettons pas fin comme tentent de le faire de nombreux scientifiques soucieux du bien commun.
Déjà, en 1992 au début du tristement célèbre « Sommet de la Terre » à Rio de Janeiro, 4000 scientifiques de haut niveau dont 70 prix Nobel signèrent la pétition de Heidelberg. Cet appel à la raison qui dénonçait l’obscurantisme environnemental y compris l’alarmisme climatique disait entre autres ceci :
Nous voulons apporter notre pleine contribution à la préservation de notre patrimoine commun, la Terre.
Nous sommes cependant inquiets, à l’aube du XXIe siècle, de l’émergence d’une idéologie irrationnelle qui s’oppose au progrès scientifique et industriel et entrave le développement économique et social.
Nous affirmons qu’un état naturel, parfois idéalisé par des mouvements tournés vers le passé, n’existe pas et n’a probablement jamais existé…
Nous entendons affirmer la responsabilité et les devoirs de la science à l’égard de la société dans son ensemble.
Nous mettons cependant en garde les autorités responsables du destin de notre planète contre des décisions qui s’appuient sur des arguments pseudo-scientifiques d’une actualité fausse et non pertinente.
Les plus grands maux qui frappent notre Terre sont l’ignorance et l’oppression, et non la Science, la Technologie et l’Industrie …
Dans le même esprit, d’après la Pétition de l’Oregon signée par 31 500 scientifiques de haut niveau dont 9 000 sont titulaires d’un doctorat en physique atmosphérique, en climatologie et en météorologie
Il n’existe aucune preuve convaincante que les rejets de dioxyde de carbone, de méthane ou d’autres gaz à effet de serre causent ou causeront dans un avenir prévisible un réchauffement catastrophique de l’atmosphère terrestre et une perturbation du climat de la Terre. De plus, il existe des preuves scientifiques substantielles selon lesquelles l’augmentation du dioxyde de carbone atmosphérique produit de nombreux effets bénéfiques sur l’environnement naturel végétal et animal de la Terre
Les allégations des fact checkers, soit dit en passant, concernant la distribution et la signature de la pétition ci-dessus ainsi que les procédures de vérification diffusées par les écologistes, les gauchistes et les grands médias et moteur de recherche comme Google sont fausses[4].
Les climats-menteurs ont en outre reçu un nouveau coup dur en août 2022 avec la publication d’une « Déclaration mondiale sur le climat » signée par plus de 1 100 scientifiques et professionnels dirigés par le professeur Ivar Giaever, lauréat norvégien du prix Nobel de physique. Il n’existe aucune urgence climatique. La science du climat est fondée sur des croyances et non sur une science saine et autocritique. Selon l’un des principaux auteurs de la déclaration, le professeur Richard Lindzen, le discours actuel sur le climat est « absurde »[5].
Mais comment diable, ce gaz pourrait-il être un poison alors que les plantes s’en nourrissent ? Le CO2 est essentiel à la vie sur Terre, voilà la vérité. Or, la recherche a montré que la concentration actuelle de ce gaz, soit environ 400 ppm, est dangereusement en dessous de la concentration optimale pour les plantes. Des preuves empiriques obtenues à partir de CO2 injecté dans des serres commerciales indiquent, en effet, que des rendements optimaux sont obtenus avec des concentrations de CO2 entre 1000 ppm et 1200 ppm[6].
Alain Bonnier, Ce qui n’arrivera pas en 2024, Francis Vailles admettra ses mensonges.
Le professeur d’horticulture émérite de l’Université du Michigan Sylvan H. Wittwer a montré qu’en triplant le taux de CO2 dans une serre, les roses, les œillets et les chrysanthèmes poussent plus vite et produisent des fleurs plus colorées et 15 % plus nombreuses. La récolte de riz, de blé, d’avoine, de seigle et d’orge est 64 % plus abondante et le rendement des pommes de terre, 75 % plus élevé. L’effet sur les arbres est encore plus spectaculaire. Leur maturation se mesure en mois plutôt qu’en années. De fait, plus il y a de CO2, plus les plantes sont heureuses[7].
Qu’est-ce qu’on attend, par conséquent, pour être heureux ? Fabriquons donc du CO2 ! Nos forêts seront plus denses, nos récoltes plus abondantes et nos indigents moins démunis.
Références
Heidelberg Appeal’s Anniversary – 4,000+ scientists, 70 Nobel Laureates, Science Defies Politics, 2 février 2017.
Oregon Petition: All Signatures were Verified. “Fact Checkers” Lie and Project (Pétition de l’Oregon : Toutes les signatures ont été vérifiées. Les « Fact Checkers » mentent et projettent), Science Defies Politics, 19 novembre 2017.
Source: Lire l'article complet de Vigile.Québec