Le problème « Zweikaiser » de l’empire américain

Le problème « Zweikaiser » de l’empire américain

Par Agit Papadakis – Le 25 août 2024 – Source VK

Le problème « Zweikaiser » de l’empire américainLes anciens empires, après leur apogée, se disloquaient lorsque leurs commandants militaires revendiquaient le pouvoir suprême dans leurs propres fiefs. Cependant, les commandants de l’empire américain ne sont pas des soldats mais des capitalistes. C’est un empire de la cupidité qui est en train de se diviser en fiefs de cupidité. Le terme allemand pour désigner la crise de légitimité qui survient lorsque plusieurs dirigeants revendiquent le pouvoir suprême dans un empire est « Zweikaiserproblem », et c’est celui que nous connaissons aujourd’hui aux États-Unis.

Il est douloureusement évident aujourd’hui que l’autorité suprême ne réside manifestement pas entre les mains du sénile Biden, et ce depuis un certain temps, déjà sous le règne de Bush junior, dont l’esprit drogué et inculte était dirigé par l’homme d’Halliburton, Dick Cheney. Alors, qui était et qui est le Dick Cheney de Joe Biden ?

La réponse n’est pas simple, et elle n’est pas non plus unique dans l’administration illégitime de Joe Biden, qui est un maelström tourbillonnant de calamité et de chaos depuis son premier jour. Mais tout d’abord, permettez-moi d’exprimer ma sympathie aux lecteurs qui pourraient trouver le récit qui va suivre choquant, étant habitués à considérer les États-Unis comme une république représentative dans le cadre d’un État de droit. Je suis au regret de dire que ce bateau a coulé depuis longtemps, si tant est qu’il n’ait jamais flotté. Les États-Unis ont été un pays où la majorité pensait vivre dans une démocratie respectueuse des lois, mais cette illusion n’est plus viable et ceux qui ne sont plus sous son charme sont largement plus nombreux que les autres, comme en témoignent les sondages qui montrent que le public a très peu confiance dans les organes du gouvernement, les tribunaux ou la presse dite « libre ».

Nous avons déjà eu de nombreux présidents américains qui n’étaient pas « tous présent », Biden n’étant que le dernier en date. Le « grand » Woodrow Wilson, qui nous a donné un monde « sûr pour la démocratie » où il pouvait enfermer en toute sécurité les syndicalistes anti-impérialistes et les gauchistes dans des camps de concentration, a été frappé d’incapacité totale par un accident vasculaire cérébral pendant la moitié de son deuxième mandat, à la suite de quoi les colonels House et Cleveland Dodge, qui s’occupaient de l’industrie de la guerre et de la banque, ont pris les rênes du gouvernement. Ronald Reagan n’était pas seulement un grand-père intellectuellement vide et vieillissant, mais il a passé encore plus de jours en vacances que Biden, et Bush junior presque le double. Gerald Ford aurait tout aussi bien pu ne jamais se présenter au travail, car personne ne remarquait sa présence. La liste est encore longue. Mais alors qui détient donc exactement le pouvoir exécutif aux États-Unis ?

Parfois, il s’agit d’un seul homme, comme le puissant partisan d’Hitler, John D. Rockefeller, dont le Conseil des relations extérieures est devenu le département d’État américain pendant la Seconde Guerre mondiale et dont l’équipe d’avocats pro-nazis – les frères Dulles et Harriman – est devenue la loi du pays derrière la façade du rustre Harry Truman.

Parfois, il s’agit d’une coalition d’intérêts, comme pour la grande coalition entre Big Oil et le sionisme dans la grande croisade pour détruire l’Irak sous la présidence nominale de Bush junior. Parfois, c’est Wall Street, comme pour la grande escroquerie d’Obama qui a rempli les coffres des banques mécréantes qui venaient de provoquer une crise économique mondiale tout en jetant les citoyens ordinaires hors de leurs maisons hypothéquées.

Dans le cas de Pappy, comme j’aime appeler le sénile Biden, parce qu’il était trop étroit d’esprit pour agir en tant qu’agent des grandes entreprises ou des groupes d’intérêt de l’État profond comme ses plus illustres prédécesseurs, ces groupes d’intérêt se sont affrontés au-dessus de sa tête et ont fait tourner la barre de la politique américaine pendant que lui et son fils gaspilleur s’adonnaient à leur petite corruption et manipulaient les forces de l’ordre et le pouvoir judiciaire pour ne pas aller en prison.

La présidence Biden est l’aboutissement du coup d’État du Russiagate qui a accablé Donald Trump et ses collaborateurs pendant toute la durée de sa présidence et qui l’a finalement privé de son deuxième mandat avec ces fameuses caisses de bulletins de vote par correspondance livrés à 3 heures du matin après que tous les observateurs électoraux soient rentrés chez eux. L’administration américaine actuelle est donc une construction assemblée par les principaux acteurs de la conspiration du Russiagate, à savoir la Maison Clinton et la Maison Obama.

Biden lui-même était manifestement un vice-président d’Obama ayant effectué deux mandats. Ses deux chefs de cabinet, Ron Klain et Jeff Zients, ont eux aussi été nommés par Obama, mais ils sont juifs, afin de rassurer le vaste lobby israélien sur le fait que le puissant bureau du chef de cabinet ne l’empêcherait jamais d’avoir accès au POTUS à tout moment. Klain a été renvoyé et remplacé par Zients parce qu’il avait un peu abusé de ce pouvoir.

Le contingent d’Hillary est en charge de la politique étrangère, moins depuis le licenciement de Victoria Nuland à la suite du fiasco de la contre-offensive Ukraine 2023. Jake Sullivan, l’autre principal agent d’Hillary en matière de politique étrangère, se fait lui aussi beaucoup plus discret ces jours-ci, pour la même raison. Avec deux grands fiascos de politique étrangère à son actif – Benghazi et l’Ukraine -, la carrière d’Hillary en tant que faucon de la Beltway pourrait bien être menacée.

La guerre en Ukraine était la principale mission de l’administration Biden, qui l’a spectaculairement bâclée. L’ambassade américaine à Kiev, qui contrôle totalement le régime de Maïdan qu’elle a installé au pouvoir, est bien entendu entièrement loyale à la Maison Clinton. L’armée américaine et la CIA, qui devraient normalement travailler avec l’ambassade américaine pour déstabiliser et changer le régime du pays cible, ont gardé leurs distances par rapport à cet imprudent « boxeur d’ours » aux portes de la Russie, craignant des pertes disproportionnées dans une guerre où la Russie bénéficie de l’avantage du terrain et où l’OTAN souffre de ne plus savoir comment faire la guerre, après avoir passé plus de deux décennies à bombarder des fêtes de mariage et à esquiver des engins explosifs improvisés.

Cependant, Hillary, en tant que représentante-en-chef du complexe militaro-industriel, avait besoin d’une force militaire et d’un accès aux satellites d’espionnage et aux spécialistes de la CIA pour mener à bien sa guerre, et le « perdant » Lloyd Austin, malgré sa fidélité à Raytheon, n’était tout simplement pas à la hauteur, incapable de surmonter les tergiversations des chefs d’état-major. S’il ne tenait qu’à eux, aucun char ou chasseur n’aurait jamais été envoyé en Ukraine, afin de ne pas épuiser les stocks limités de l’OTAN pour une guerre ingagnable.

Incapable d’obtenir ce qu’elle voulait du Pentagone, Hillary a activé sa British Connection qui l’avait si bien servie lors du Russiagate, lorsque d’anciens chefs et agents du Mi6 avaient fabriqué des preuves et fait pression sur des témoins pour qu’ils témoignent contre son ennemi Donald Trump. Derrière elle se trouvait la puissance du complexe militaro-industriel américain, qui offrait une bouée de sauvetage au complexe britannique en difficulté si les militaires et les agents de renseignement britanniques se jetaient à la mer et brouillaient les choses en Ukraine en vue d’obtenir la participation directe de l’OTAN à la guerre.

Le seul point positif du Russiagate est qu’il a mis à nu les intrigues politiques extrêmement élaborées au sein de l’organisation des 5 Eyes, du DNC (même si nous le savions déjà) et du FBI, ainsi que les « connexions britanniques » de Mueller et d’Hillary – en particulier avec le Mi6. Toutes ces manigances, les écoutes de Trump par le GCHQ, le dossier, la fausse académie de droit mise en place pour piéger George Papadopoulos, qui a disparu le jour où l’opération d’infiltration a explosé, avaient pour but de changer le régime des États-Unis et d’installer Hillary à la Maison-Blanche.

Ce qui rendait Hillary si précieuse pour tous ces espions de haut niveau comme Brennan, Clapper et Hannigan, c’était bien sûr qu’elle était une belliciste suprême et une vendeuse d’armes. Elle était membre de la grande société des lobbyistes de l’armement, qui a fait ses preuves non seulement en vendant des quantités record d’armes, mais aussi en semant la guerre et le désordre pour générer un marché de l’armement. C’est pourquoi, lorsque l’establishment national des États-Unis a refusé de répondre à ses demandes d’action agressive et provocatrice en Ukraine, ceux des autres membres des 5 Eyes, principalement le Royaume-Uni, ont été ravis d’obtempérer,

Maintenant que nous avons établi que la guerre est le cœur de métier d’Hillary et qu’elle est la Kaiserin No 2 de l’administration Biden qui essaie de jouer des coudes pour atteindre le No 1, examinons sa relation avec le Kaiser No 1, Obama. En 2016, cette année fatidique où Hillary et ses sponsors marchands d’armes ont vu leurs ambitions si gravement contrariées par Donald Trump, le New York Times Magazine publiait un étrange article intitulé How Hillary Clinton Became a Hawk (Comment Hillary Clinton est devenue une va-t-en-guerre), sur la fascination d’Hillary pour la guerre, qui a duré presque toute sa vie, et sur la façon dont elle l’a amenée à entrer en collision frontale avec Obama :

Les instincts de Mme Clinton en matière de politique étrangère sont ancrés dans l’os, fondés sur un réalisme froid de la nature humaine et sur ce qu’un collaborateur appelle « une vision classique de l’exceptionnalisme américain ». Cela la distingue de son rival devenu patron, Barack Obama, qui a évité les enchevêtrements militaires et tenté de réconcilier les Américains avec un monde dans lequel les États-Unis n’étaient plus l’hégémon incontesté.

L’article détaille les nombreuses fois où Hillary et Obama se sont opposés sur l’utilisation de la force militaire, notamment lorsqu’elle a soutenu le quasi-coup d’État de Stan McChrystal, qui a fait avaler à Obama le « renforcement des troupes » en Afghanistan. Elle a également soutenu à 100 % l’armement des djihadistes en Syrie, alors qu’Obama s’est toujours montré sceptique et a finalement mis fin au programme. L’article omet évidemment de mentionner la pire dérive militariste d’Hillary, à savoir sa ligne jihadiste, en Libye et en Syrie, qui lui a finalement explosé au visage avec le désastre de Benghazi en 2013, lui coûtant un second mandat en tant que secrétaire d’État d’Obama. Pour dire les choses crûment, elle a été virée. Elle était à la Maison Blanche lorsque les djihadistes tuaient des gens dans son « ambassade » de la CIA à Benghazi à Noël et elle n’y était plus lorsque Obama a entamé son deuxième mandat en janvier.

Obama est un homme de la CIA. Sa mère était un agent de terrain de la CIA, ses pères étaient des agents de la CIA, et il a lui-même travaillé à la Business International Corporation à Manhattan. Pour ceux que cela intéresse, le livre de Wayne Madsen contient bien d’autres informations. Pourquoi les intérêts de la CIA seraient-ils différents de ceux du complexe militaro-industriel, qui constitue prétendument le fondement de la puissance américaine ? Ou bien la querelle Obama-Hillary est-elle simplement due au fait qu’elle a fait tuer un groupe d’agents de la CIA à Benghazi ?

En fait, c’est beaucoup plus profond. À l’époque grisante de la guerre froide, la stratégie militaire américaine était élaborée par les experts de la RAND Corporation, approuvée par le Pentagone, puis traduite en contrats d’approvisionnement. Les choses ont changé lorsque les fabricants d’armes ont décidé qu’ils pourraient gagner plus d’argent en s’achetant directement des généraux du Pentagone, des membres de la commission des services armés du Sénat, ainsi que divers politiciens et groupes de réflexion liés au secteur de la sécurité nationale. C’est ainsi que le complexe militaro-industriel a commencé à élaborer sa propre stratégie militaire et à rédiger ses propres projets de loi sur les marchés publics. Aujourd’hui, les hommes politiques sont en concurrence les uns avec les autres pour figurer dans le top 10 du retour sur investissement des actifs politiques des fabricants d’armes américains.

C’est peut-être un moyen d’augmenter les profits de l’industrie de la guerre et le cours des actions, mais ce n’est pas une façon de diriger un pays ou de maintenir l’hégémonie mondiale des États-Unis. C’est pourquoi la CIA s’oppose aux comptables de l’industrie de la guerre lorsque les intérêts nationaux des États-Unis entrent en conflit avec les intérêts de leurs actionnaires.

La guerre en Ukraine a été le théâtre d’un tel conflit entre la CIA et le CMI, et leurs Kaisers respectifs, Obama et Hillary. Le CMI a fait des affaires fantastiques avec la destruction de deux armées banderistes entières équipées de plates-formes de l’ère soviétique, dont le deuxième lot a dû être obtenu auprès de pays tiers avec la promesse de les remplacer par des équipements fabriqués aux États-Unis. Une troisième armée banderiste, équipée cette fois de plates-formes d’armes de l’OTAN, a été déployée l’année dernière et est en train d’être réduite à néant à l’heure où nous parlons. Ce nouveau lot d’équipements de l’OTAN a été retiré des stocks en service actif, générant des milliers de contrats de remplacement, ainsi que la perte de parts de marché des fabricants d’armes de l’UE au profit des États-Unis – en particulier Lockheed, qui a reçu de nouvelles commandes de la Grèce, du Royaume-Uni, de l’Allemagne, du Canada et d’autres pays, à la fois pour remplacer les stocks transférés à Kiev et à la suite des décisions des pays de l’OTAN d’augmenter les dépenses de défense en raison de la « menace russe ».

Le département d’État américain, sous la direction de Clinton, a joué un rôle déterminant dans de nombreuses transactions de vente d’armes. Cependant, bien que les stocks de matériel de défense soient élevés, l’état de préparation de l’armée américaine ne l’est pas, ce qui inquiète à la fois le Pentagone et la CIA. La nécessité de fournir aux Banderistes et aux Sionistes les armes et les munitions dont ils avaient besoin pour poursuivre leurs projets fascistes respectifs d’extermination a sérieusement épuisé les stocks d’armes de l’OTAN, que le mode de production capitaliste de l’OTAN empêchait de reconstituer rapidement, par peur que les capitalistes ne se trouvent dans l’incapacité de rentabiliser les investissements supplémentaires qu’ils auraient dû faire si les guerres s’étaient terminées de manière prématurée.

Comme si cela ne suffisait pas, la Maison Clinton et ses alliés britanniques n’ont cessé d’organiser des provocations violant les lignes rouges de Moscou afin de pousser la Russie à riposter directement contre l’OTAN. Tout comme Israël provoque le Hezbollah et l’Iran pour déclencher une guerre générale qui forcerait les États-Unis à intervenir, Hillary et ses amis britanniques ont également provoqué l’ours russe pour qu’il s’en prenne à l’OTAN et entraîne les États-Unis dans une guerre qu’ils n’étaient pas en mesure de mener.

Jusqu’à présent, le danger posé par les dangereuses manœuvres d’Hillary et des Britanniques a été contenu par des interventions russes adroites et par des appels téléphoniques occasionnels entre les chefs des services d’espionnage des deux pays. Toutefois, cela n’a en rien atténué la crise de leadership au sein de l’administration américaine, qui a éclaté au grand jour ce mois-ci dans le fameux article de Politico intitulé « Reset Relations », où il a été révélé que, bien que les sénateurs appartenant aux fabricants d’armes (comme le président de la sous-commission des crédits de la Chambre des représentants, Ken Calvert) aient eu une réunion avec le conseiller en sécurité nationale Jake Sullivan, qui partage les mêmes idées, au sujet de l’autorisation de frappes de missiles en profondeur à l’intérieur de la Russie, « les hauts fonctionnaires de la Maison Blanche et du Pentagone continuent de s’opposer à l’idée d’une attaque de missiles en profondeur » :

 Les hauts fonctionnaires de la Maison Blanche et du Pentagone continuent de rejeter toute suggestion selon laquelle l’administration envisagerait de changer sa politique pour ce qui est d’autoriser l’Ukraine à utiliser des armes américaines en dehors de cas très spécifiques à l’intérieur de la Russie, près de la frontière.

La querelle a commencé lorsque, comme l’affirme le Times, « les Etats-Unis » se sont opposés à ce que le personnel britannique programme ses missiles Storm Shadow pour qu’ils frappent à l’intérieur de la Russie. Apparemment, le Royaume-Uni ne peut pas faire cela sans l’accord des États-Unis, de la France (qui a construit les missiles) et d’un troisième pays non nommé. Ce n’est pas seulement l’identité de ce troisième pays que le Times a caché, mais surtout qui, au sein du gouvernement américain, a opposé son veto aux frappes de missiles britanniques en profondeur contre la Russie ? C’est comme si tous ceux qui s’opposaient à cette dangereuse escalade craignaient d’être accusés d’être pro-russes. L’époque a toutefois laissé un indice à ceux qui étaient suffisamment attentifs :

Sabrina Singh, porte-parole adjointe du ministère américain de la défense, a admis lors d’une réunion d’information jeudi que les États-Unis étaient « préoccupés par l’escalade » lorsqu’il s’agissait de l’utilisation par l’Ukraine de frappes à longue portée.

Elle a également laissé entendre que les armes à longue portée n’étaient pas nécessaires pour aider l’Ukraine à libérer son territoire.

Comme d’habitude, c’est donc le Pentagone qui se montre prudent. Avant le renvoi de Victoria Nuland, le département d’État aurait dit quelque chose à ce sujet, mais il se montre inhabituellement silencieux depuis son départ. Bien qu’ils agissent dans l’ombre et par l’intermédiaire de mandataires, la réticence d’Obama à lancer des frappes de missiles menant à l’escalade et l’imprudence d’Hillary de même nature étaient presque une répétition exacte de la « crise de la ligne rouge syrienne » de 2013, sauf que, bien sûr, Assad n’avait pas d’armes nucléaires.

Pour en revenir à Politico, l’article continue de prétendre que ce sont les Ukrainiens qui font pression sur les membres du Congrès pour qu’ils agissent, et non les entreprises d’armement qui financent leurs campagnes, et conclut qu’ils se sont heurtés à un mur, sans bien sûr mettre un nom ou un visage sur ce mur :

Des fonctionnaires de certains secteurs de l’administration ont dit aux Ukrainiens que les États-Unis finiraient par vouloir rétablir les relations avec Moscou et que la levée des restrictions pourrait compromettre ces efforts.

Il semble qu’à l’approche de la fin de la guerre et de cette administration corrompue et désordonnée, la Maison Obama soit en pleine ascension alors que la Maison Clinton est frappée une claque après l’autre, ébranlée par un nouvel échec massif de la guerre qu’elle a défendue avec tant d’acharnement et pendant si longtemps.

Agit Papadakis

Traduit par Wayan, relu par Hervé, pour le Saker Francophone.

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