Aucun risque de pénurie de main-d’oeuvre en ce domaine
Où donc s’en vont les LGBTLQ+ ? 10 études de cas
La plupart des hommes que je connais trouvent grotesques les travestis et ne se gênent pas pour le dire.
Bien sûr, si c’est ce que certains gais aiment faire, se déguiser en femme, personne ne va les en empêcher ni même les condamner. Tout le monde a droit à ses préférences.
On n’a qu’à penser au sketch classique vus tant de fois dans les épisodes burlesques de Benny Hill et les comédies de moeurs satiriques, à l’effet qu’un certain contingent d’hommes britanniques prennent un certain plaisir à revêtir des sous-vêtements féminins ou se faire donner la fessée par une beauté déguisée en maîtresse d’école fâchée. Qui va s’offusquer de ces petits travers humains? Il y a bien pire, me direz-vous avec raison. Il en va de même pour les travestis qui ont bien le droit de s’amuser eux aussi à leur façon.
Quoi qu’il en soit, il appert que l’avenir semble appartenir aux travestis.
Mais avec comme conséquence inattendue que la surexposition extrême actuelle dans les médias fait qu’on se réveille le matin en priant le bon Dieu de ne pas en voir un de la journée. C’est un souhait qui se voit malheureusement de moins en moins exaucé.
Même les Grands Feux Loto-Québec proposent une thématique travestis cette année. Et c’est sans parler des cérémonies d’ouvertures des JO de Paris avec un tableau sacrilège profanant la dernière Cène de Léonard de Vinci.
Car au rythme où vont les choses, il faut s’attendre à en voir pulluler bientôt partout (essayez de visualiser chaque exemple):
1- Un travesti comme chef d’antenne et lecteur de nouvelles. Pierre Bruneau peut bien aller raccrocher ses patins (euh, c’est déjà fait je crois).
2- Un travesti pour animer les émissions d’affaires publiques. Sébastien Bovet et Patrice Roy devront faire face à une féroce compétition.
3- Un travesti comme débatteur sur les questions d’actualité à la Joute: 3 débatteurs travestis se partageront le plateau en écran divisé montrant les 3 à la fois en train de se coltailler, de se crêper le chignon (c’est le cas de le dire).
4- Un travesti comme Miss Météo. Ce ne peut pas être pire que l’incongruité absolue d’un africain qui nous parle de tempêtes de neige et de froid record à Radio-Canada.
5- Un travesti pour remplacer Julie Snyder dans ses tenues fofolles lorsqu’elle doit s’absenter. C’est Julie qui devra se surpasser pour ne pas être déclassée.
6- Il y a déjà eu un travesti vedette à la télé-réalité Occupation double. Pourquoi ne pas faire toute une saison avec 12 travestis qui vont se « bitcher » à qui mieux mieux? Cotes d’écoute fracassantes garanties.
7- Un travesti pour mousser la vente des Dodge Ram. Dan Bigras ne sera pas de taille devant un tel rival et en sera réduit à se retirer au Chez-nous des Artistes.
8- Un scrutateur et un secrétaire aux élections, costumés et grimés en travesti pour affirmer leur différence.
9- Un travesti faisant office de célébrant désigné de mariage (je ne serais pas surpris que ce soit déjà fait).
10- Il faudrait donner la chance aux travestis de se mettre en valeur dans la lutte pour femmes dans la boue juste pour voir de quelle boue elles se chauffent.
Comme on peut le constater, il n’y a pas de limites à l’emploi des travestis en tout genre pour combler les postes vacants un peu partout dans la société. Ce n’est pas de sitôt qu’il risque d’y avoir pénurie de main-d’oeuvre en ce domaine.
La banalisation d’un genre qui devrait être réservé aux cabarets de spectacles pour adultes entraine bien des dérives, bien des excès qui commencent à se retourner contre les LGBTLQ+.
L’exhibition outrancière qu’on fait actuellement des travestis sur toutes les plateformes sert à tester les limites de la société. Les LGBTLQ+ cherchent à savoir jusqu’où ils peuvent aller. On procède de même avec la théorie du genre qu’on cherche à implanter partout. Ils essaient volontairement de provoquer des réactions, de choquer le bon monde ordinaire. Et si ça passe, ils renchériront plus fort encore avec autre chose.
Un exemple de ce qui s’en vient: plusieurs hommes gais portent déjà du vernis à ongles. La prochaine étape pour tester les limites de ce qui est acceptable en société: ils porteront de faux ongles hyperlongs.
On veut forcer l’acceptation du travestisme comme étant simplement une autre facette inoffensive du mouvement LGBTLQ+. Le message sous-entendu de cette propagande active est: vous devez désormais nous voir sous toutes nos formes et apparences partout et l’accepter, que cela vous plaise ou non, que cela vous choque ou non.
L’ennui, c’est qu’ils risquent de finir par se brûler les doigts, voire de perdre certaines de leurs avancées en contrecoup. Ce sont tous ces excès qui finissent par exaspérer la population. Un peu plus de discrétion et de réserve les servirait mieux. Les LGBTLQ+ sont parmi les mieux traités au monde en Occident. Qu’ils le réalisent et fassent en sorte de ne pas dépasser la mesure, de ne pas compromettre le degré d’acceptabilité qu’ils ont atteint.
Et c’est ce qui explique probablement que devant toutes ces manifestations répétées et savamment orchestrées, il ne soit guère surprenant qu’une certaine résistance se fasse sentir… Ils ne pourront pas dire qu’ils n’ont pas couru après.
Pour que plusieurs partis politiques soient forcés de prendre position et en faire des enjeux électoraux, c’est signe que les LGBTLQ+ ont dépassé les limites de l’acceptabilité sociale.
En complément de lecture: Conseils bienveillants aux LGBT pour ne pas perdre leurs acquis un à un
Note 1: moi qui ajoute toujours une iconographie abondante à mes textes, je ne saurais me résoudre à montrer 20 illustrations de travestis.
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Source: Lire l'article complet de Vigile.Québec