C’est un choc national, surtout chez les chrétiens et les bénévoles qui aident les pauvres : l’abbé Pierre a fait de son vivant des remarques sexistes à des femmes et une fois, il a même frôlé les seins d’une des plaignantes.
Il ne sera pas condamné à la peine de mort pour féminicide sexuel par la meute des féministes ultra, mais son image sera désormais salie à jamais, et ce, par le couple médias-lesbiennes.
Pourquoi, lesbiennes ? Parce que :
Ces 7 témoignages ont été compilés par un « cabinet spécialisé » dans la fouille archéologique de viols rétroactifs et portés à l’attention du grand public. La presse de gauche anticléricale s’est jetée sur cet os estival pour pourrir la réputation du Jésus des mal-logés.
Voilà pour le premier étage de la fusée. Le deuxième est plus confus, puisqu’il touche à Caroline de Haas, celle qui vit sans trop de peine de la souffrance de ses sœurs. La sororité, ça rapporte. L’image suivante est tirée du Parisien du 17 juillet 2024.
- Resplendissante dans sa robe à motifs fossiles, Caroline sourit devant l’odeur d’argent qui sort de son cabinet
Quand on rapproche les deux éléments qui suivent, piqués sur X, on commence à tiquer sérieusement :
Ainsi, une personnalité douteuse à la tête d’une assoce douteuse accuse, des années après sa mort, un homme d’agressions sexuelles. On rappelle que, dans les années 90, MeToo n’existait pas et que les mains au cul n’étaient pas encore condamnées.
Depuis Schiappa, c’est vrai, les choses ont changé : ce « ministre » a été mouillé dans l’affaire du fonds Marianne pour disparaître habilement des radars, après un passage plus que compliqué devant la commission sénatoriale. Reichstadt était dans le coup, mais ne nous éloignons pas du sujet, vous avez l’excellent livre de Belliot sur cette tentaculaire affaire plus que symbolique de notre belle République.
« C’est facile de salir l’abbé Pierre, de dire des choses sur lui, il est décédé, il ne peut pas se défendre. »
Annie Porte, filleule de l’Abbé Pierre et première enfant à être née dans une cité Emmaüs en 1951 à Laval
La chair est faible
On ne jouera pas ici aux avocats de l’abbé, pas parce qu’on aurait peur des féministes qui changent un frôlage de nichons en espèces sonnantes et trébuchantes, mais parce que l’abbé n’était effectivement pas de bois, et il l’avait lui-même avoué. Le célibat des prêtres est chose difficile, et parfois, la tentation peut envahir l’esprit, qui commande la main…
Nous aussi, des fois, on a envie de toucher les formes d’une femme dans la rue, on imagine même le pire (faire la chose), mais on sait dire non au petit diable qu’on a dans la tête, et qui embête le petit ange casse-couilles. Cependant, jamais, au grand jamais, on a eu envie de frôler la fabuleuse poitrine de Caroline de Haas, ça on peut le jurer sur Dieu et tous ses saints !
Annie Cordy, qui comme l’abbé n’est plus de ce monde, aurait pu être la 8e plaignante, en tant que bonne du curé. C’est surtout elle qui a souffert de la tentation.
Dire que tout ça arrive alors que Notre-Dame, brûlée par un mégot, n’est pas reconstruite, et que la flèche de la cathédrale de Rouen s’est mise, elle aussi, probablement par solidarité avec sa sœur parisienne, à flamber…
Hirsch, qui a pris la suite de l’abbé à la tête de la fondation du même nom, avant de devenir le patron très controversé de l’AP-HP, n’a pas communiqué sur cette affaire.
On parle de la flèche, pas de la vengeance d’une femme. Petit frère Brice, lui, s’est lâché : il n’y va pas par quatre chemins de Compostelle !
La flèche de la cathédrale de #Rouen est en feu ! Comment ne pas y voir un lien avec le projet de certains. Dans les rues de Toulouse se tiendra prochainement cette « fête » : les gardiens du Temple dont le sommet présente 2 cathédrales en feu !
Kyrie eleison pic.twitter.com/mmAp5lT6Xw— Petit Frère Brice-Marie ن (@Brice_en_chemin) July 11, 2024
Rendez-vous à Jérusalem avec ton âne, petit frère, fais surtout gaffe à ne pas prendre une balle…
Source: Lire l'article complet de Égalité et Réconciliation