Au tour du Québec d’emboîter le pas
Quelles sont-elles?
En France, la Fondation pour l’innovation politique vient de publier les résultats d’une étude confirmant la tendance à l’échelle de l’Europe de se rallier aux valeurs éprouvées de la droite politique. C’est un changement de cap qui était attendu et qui est très prometteur dans l’optique d’un retour aux valeurs sûres, les bonnes, les vraies, celles qui renforcent le sentiment d’appartenance à sa nation et la cohésion sociale.
À lire: Qu’est-ce qu’avoir l’esprit nationaliste?
La Fondation a étudié et sondé plus particulièrement la population des 4 principaux pays en importance: la France, l’Allemagne, l’Italie et le Royaume-Uni.
Voici quelques-uns des résultats qui confirment cette tendance positive et bienvenue.
- Alors que les seniors sont réputés voter traditionnellement plus à droite que les jeunes, nos données montrent que les nouvelles générations sont les plus nombreuses à s’autopositionner à droite.
- La perception de l’immigration est dominée par un jugement négatif. En moyenne, six citoyens sur dix (60 %) sont d’accord avec l’affirmation « il y a trop d’immigrés dans notre pays ». C’est pratiquement 2 sur 3.
- Plus de la moitié des répondants (56 %) pensent que leur pays doit se fermer davantage sur le plan migratoire, moins d’un quart (23 %) s’ouvrir davantage et 21 % prônent le statu quo. Les Français (63 %) apparaissent comme les plus réfractaires à l’ouverture, devant les Allemands (54 %), les Italiens (54 %) et les Britanniques (53 %).
- En France, 62 % des citoyens estiment que l’islam représente une menace pour la République
- En France, la crainte de l’islam est largement partagée par les personnes qui se situent dans le bloc de droite (81 %). Le bloc de gauche apparaît très clivé sur cette question : près d’une moitié des sympathisants de gauche (45 %) est d’accord avec l’item « l’islam représente une menace pour la République ».
- La portée médiatique du discours de l’écologisme punitif et de la décroissance connaît des limites de propagation au sein de l’opinion. Pour 76 % des personnes interrogées, « on peut continuer à développer notre économie tout en préservant l’environnement pour les générations futures »
- Les sympathisants des différents partis des quatre démocraties répondent majoritairement que l’« on peut continuer à développer notre économie tout en préservant l’environnement pour les générations futures »
- Nos données montrent que l’individualisme, à droite comme à gauche, est érigé en norme sociale. Une large majorité des répondants estiment que « les gens peuvent changer la société par leurs choix et leurs actions » (80 %), que « les gens de leur pays ont la possibilité de choisir leur propre vie » (69 %), et, dans une moindre mesure, qu’ils ont « une liberté et un contrôle total sur leur propre avenir » (63 %).
- Près de trois quarts de l’ensemble des citoyens (71 %) jugent que « beaucoup de personnes parviennent à obtenir des aides sociales auxquelles elles n’ont pas contribué ». C’est 46 points de plus que les répondants n’étant pas d’accord avec cet item (25 %). Une analyse par pays montre que c’est en France, où 57 % des ménages ne paient pas d’impôt sur le revenu, que les citoyens sont les plus nombreux (73 %) à juger que beaucoup de personnes touchent des aides sociales auxquelles elles n’ont pas contribué. Ils sont suivis par les Britanniques (72 %), les Italiens (72 %) et les Allemands (68 %). Cela comprend bien entendu les immigrés sans avoir jamais eu un seul emploi, les migrants, etc.
- Plus de la moitié des répondants (55 %) considèrent que les chômeurs pourraient trouver du travail s’ils le voulaient vraiment
- L’effort individuel est mis en avant par les personnes interrogées. Plus des deux tiers d’entre elles (68 %) estiment en effet qu’en faisant des efforts, chacun peut réussir.
Tous les résultats de cette étude en profondeur se trouvent ici: Conversion vers la droite de l’Europe
La Fondation conclut sur ces mots : « cette étude amène également à faire le constat d’un échec de la gauche. Si, électoralement, la gauche est en repli ou en difficulté à peu près partout en Europe, c’est assurément parce qu’elle n’arrive plus à imposer un imaginaire collectif depuis plusieurs années ». (fin de la citation)
Tous les espoirs sont donc permis pour un réajustement positif des gouvernements allant dans le sens du nationalisme, de l’amour de la patrie, de la préservation de chaque précieuse identité collective, et de la sauvegarde de la culture de chaque pays devant les menaces d’invasion et de désagrégation démographique en provenance du tiers-monde sous-civilisé sous tous les plans : humain, social, économique, culturel, religieux, qui ne peut que nous entraîner vers la débâcle et la décivilisation.
À lire: Le nationalisme identitaire, indispensable pour sauver la nation québécoise de souche
Ci-dessus: 2 Français sur 3 estiment que l’islam est une menace à leur société
Il faut valoriser toutes les valeurs saines et profitable décrites dans le paragraphe précédent et les enseigner à la jeunesse québécoise pour qu’elle les adopte et les défende toute sa vie.
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Le Québec des Québécois, c’est tout ce qui nous appartient.
Source: Lire l'article complet de Vigile.Québec