Moins d’immigration , c’est moins d’impôts et de dette publique. Ensuite, il faudra savoir dire non à la propagande sioniste qui est aussi une plaie pour le pays et mettre fin à la surprotection des citoyens juifs au nom du principe d’égalité. Quant à la résurgence des actes antisémites depuis le 7 octobre, force est de constater que les agressions n’ont pas donné lieu à mort d’hommes et que le degré de violence qui les caractérise se situe à un niveau nettement inférieur, dans l’échelle des peines, aux crimes, meurtres , viols, vols, délits, subis par les français non juifs,depuis 40 ans , dont le chiffrage serait difficile à établir tant l’accumulation de ceux-ci a abouti à leur normalisation au fil des ans. Un gouvernement militaire serait peut-être en mesure d’engager une grande politique de remigration en commençant par supprimer les aides sociales pour tous car l’Etat Providence ne survivra pas à une augmentation inexorable d’une dette rendue perpétuelle par la création monétaire illimitée. De là, la nécessité des CBDC dans chaque pays pour maîtriser la masse monétaire et contrôler l’affectation des dépenses du citoyen lambda via la monnaie digitale et sa vitesse de circulation.Le retour à la réalité d’avant-guerre forcera les migrants économiques à rester dans leur pays d’origine ou les contraindra à y retourner. Quant à la population autochtone , elle réapprendra à s’émerveiller devant les choses simples de la vie en redécouvrant certaines des vertus cardinales contenues dans les Évangiles. Macron nous a annoncé la fin de l’abondance.
C’est ce qui nous attend tous en partageant une prospérité anémique avec une partie de la planète qui contribue de manière marginale à la valeur ajoutée. Il n’y a de social que national. Le partager avec le monde entier, c’est plonger le pays dans les profondeurs abyssales de l’endettement. Les exemples foisonnent d’immigrés ayant connu la faim en France, ainsi que des conditions d’hébergement insalubres, avec, pour eux et leurs enfants, une paillasse en guise de lit et des puces qui leur sautaient au visage… Il s’agissait essentiellement des immigrés d’avant l’état providence car les candidats actuels à l’immigration sont logés, chauffés, nourris, lavés, soignés, aux frais du contribuable.
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