Le camp des génocidaires ressemble à un HP
Bête et méchante au sens d’Hara-Kiri, mais sans l’humour du Pr Choron, Sophia Aram, la tragique qui se fait passer pour une comique, est constituée de 50 % de bêtise et de 50 % de haine.
Une haine qui brûle à travers ses yeux et ses mots, carrément un syndrome de la Tourette. Invitée sur le plateau de la tendre andouille Lemoine, qui pour le coup semble dubitative devant l’explosion de rage psychiatrique – la décompensation d’une comique-Système dépassée ? –, elle met tout le monde mal à l’aise, même son camp !
« C’est une blague pourrie, nazifier un juif, c’est pourri, le répéter, c’est pourri »
« Je suis là pour parler de mon Molière, on me parle de Meurice ! »
« Ce sont des élus de la République et ce qu’ils font est inouï : c’est une folie totale, ces accusations sont graves, ils me mettent en danger en faisant ça. »@SophiaAram cible de la France insoumise : elle réagit dans #CàVous pic.twitter.com/dpUf3shwuu
— C à vous (@cavousf5) May 7, 2024
Plutôt que de s’emmerder à faire le verbatim habituel (on a déjà souffert sur le discours larmoyant de Gabinet au dîner des génocidaires), surtout de propos aussi abjects, on a préféré exposer la galerie des expressions de la désaxée. Cela donne une idée du mal de vivre d’un hater israéliste. Prêts ?
Devant l’ampleur du massacre, les négationnistes du génocide de nos plateaux télé vivent leur crise existentielle la plus profonde. S’enfoncer dans l’aveuglement et le mensonge à ce point, en dépit des preuves éclatantes, met en risque la santé mentale et sociale : il ne reste que la haine de l’autre comme argument.
Certes, Aram est une caricature qui comble son déficit argumentaire par des grimaces de déséquilibrée, mais elle symbolise l’impasse politique du lobby de la riposte – pour ne pas dire vengeance – éternelle.
Travail de mémoire : quand Sophia était Charlie
Quand Sophia était Arthur…
Et quand Sophia était CRIF
Source: Lire l'article complet de Égalité et Réconciliation