Nous voici à J-101. La France, qui grenouille dans un bordel politique et social sans nom, organise les JO 2024 à Paris, la ville de tous les bouillonnements plus ou moins révolutionnaires (1789, 1830, 1848, 1871, 1945, 1968, 2018). De plus, le régime du banquier Macron est à l’agonie, et il n’y a plus que la peur du gendarme et du terroriste (ressorti à point nommé par le Mossad) pour tenir les Français. Sans oublier la guerre mondiale qui plane au-dessus de l’Europe, dirigée par des tarés corrompus à la solde du Pentagone. Dans ce contexte sympathique, les Jeux font figure d’incongruité totale. On se dira qu’ils ont bien eu lieu à Berlin, en 1936…
La belle et courageuse Émilie a allumé la première mèche en rappelant aux organisateurs qui l’ont virée pour son indépendance d’esprit que ces Jeux sont radicalement politiques.
Dans le camp d’en face, on fait croire qu’on est le camp du bien et que l’engouement populaire est là. Manque de pot, alors que les organisateurs s’en mettent plein les fouilles, les bénévoles ont du mal à accrocher.
Ces JO, dont l’affiche officielle sent le woke à plein nez, ne sont pas très franco-friendly. Tout ce qui pourrait faire penser à la France a été éradiqué par nos élites antifrançaises. La danse inclusive pourrave, la choré du jour J, la jauge qui se réduit soi-disant pour des histoires de sécurité, le mondialisme a foutu sa grosse patte sur le business, et les Français ne se sentent pas concernés. Sur ce plan, Marion a raison :
Il ne manquerait plus que des trans raflent 100 % des médailles, faisant du principe d’inclusivité sexuelle un giga bug dans la Matrice, en évinçant 100 % des femmes des podiums. Ce serait le grand remplacement, mais pas celui attendu par les autorités.
Vidéo inclusive du jour : sur un 200m femmes dans l’Oregon, un athlète transgenre « qui s’identifie en tant que femme » devance ses concurrentes de plus de cinq secondes et bat le record de sa catégorie. pic.twitter.com/nDk3BUQtv8
— Laurent Obertone (@LaurentObertone) April 14, 2024
Tout est grotesque là-dedans, les bons sentiments antidiscriminatoires (alors que la compétition est discrimination physique et tactique par excellence) emmènent tout le monde vers un abîme de ridicule, et les pièces frappées par la Monnaire de Paris sont à l’image de cet immense merdier.
ca y est Clito et Clita sont de retour !
— mollaret jacques (@JackM_AF) April 10, 2024
Il faudra boire ce vin ignoble jusqu’à la lie, il faudra que les élites mondialistes se vautrent dans les grandes largeurs, avec les dommages collatéraux que cela suppose, pour qu’elles dégagent du pouvoir et que la France reparte sur un bon pied. Il va y avoir du sport…
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