L’immigration galopante mal choisie
On ne remplit pas un pays d’inintégrables
10 ans, 15 ans, 20 ans après, et toujours des étrangers, et pas le moindrement québécois: c’est le cas de trop d’immigrants dissemblables venus du fin fond reculé des pays sous-civilisés qui n’ont jamais vraiment choisi le Québec et sa culture, et pour qui n’importe quel autre pays aurait fait l’affaire, du moment qu’ils peuvent sortir du leur pour profiter des innombrables avantages des pays riches qu’ils convoitent.
Tout ce qu’ils demandent, c’est d’arriver à un endroit où ils retrouveront leur communauté déjà bien installée (ex.: arabe, hindoue, chinoise), à laquelle ils se joindront pour y vivre en sous-société à part, tout en maintenant les habitudes de chez eux: langue, culture, nourriture, vêtements, religion. Ils s’arrangeront pour vivre en marge de notre société, en réduisant au strict minimum tout contact avec nous. En autant qu’ils peuvent profiter de tous les avantages de notre généreux filet social qu’ils ne se gêneront pas d’exiger.
Quelle est cette idée saugrenue de faire entrer au pays par centaines de milliers des étrangers avec qui personne ne veut avoir le moindre rapprochement, que personne ne veut avoir à cotoyer, avec qui personne ne veut parler ou connaître?
⦁ Est-ce ainsi qu’on bâtit un pays qui doit posséder une et une seule identité collective? Non.
⦁ Est-ce ainsi qu’on bâtit un pays qui doit refléter son peuple fondateur? Non.
⦁ Est-ce ainsi qu’on bâtit un pays qui doit rester fidèle à l’image de sa démographie historique? Non.
⦁ Est-ce ainsi qu’on bâtit un pays qui doit maintenir et élargir tous les aspects de sa culture? Non.
⦁ Est-ce ainsi qu’on bâtit un pays qui répondra aux aspirations souverainistes de sa nation constituante? Non.
Non, on ne bâtit pas un pays avec des gros paquets de gens dépareillés qui sont aux antipodes de ce que nous sommes, et qui ne veulent rien savoir de nous ou d’adopter notre façon de vivre. Ce serait plutôt la recette pour le débâtir, le détricoter.
Jean-François Lisée a recensé des dizaines de cas patents d’immigrés réfractaires à l’intégration, à lire ici.
Ci-dessus: certaines minorités multiethniques s’en prennent constamment à nous
C’est pourquoi il est essentiel que l’intégration soit comprise comme un devoir incontournable, un engagement formel, une obligation acceptée de bonne grâce. Elle est une preuve de bonne volonté à se joindre à la terre d’accueil. Elle ne sera jamais facultative.
Et cette intégration naturelle doit se réaliser en-deçà d’un laps de temps raisonnable, de 1 à 3 ans, pas plus, sinon cela devra être considéré comme un échec; des examens annuels vérifieront les progrès accomplis dans tous les domaines, incluant la francisation.
5 ans, 10 ans, 20 ans après leur arrivée, et toujours étrangers au Québec? On ne devrait laisser personne atteindre ces chiffres beaucoup trop élevés qui sont synonymes d’échec complet. 3 ans maximum.
Tous ceux qui n’arrivent pas à se qualifier comme québécois, soit par leur faute, leur inaptitude ou leur négligence ne méritent tout simplement pas de demeurer ici. Ils vont nous dénaturer, et finir par nous noyer dans le nombre. Conséquemment, ceux qui échouent leurs examens d’intégration incluant la francisation devraient être renvoyés chez eux ou relocalisés ailleurs au Canada.
Il est grand temps qu’on se fasse respecter.
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Source: Lire l'article complet de Vigile.Québec