On tait les noms pour qu’on ne voit pas que ce sont des multiethniques
La population trompée pour que le dogme diversitaire triomphe
On le voit à tous les bulletins de nouvelles, dans les journaux, les médias cachent volontairement et systématiquement les origines ethniques ou étrangères des criminels commettant des méfaits chez nous. Ce sont des omissions délibérées.
L’usage répété de trois mots clef du vocabulaire de la gauche biaisée permet de comprendre les objectifs de cette fâcheuse tendance : diversité, privilège et racisme.
Intentionnellement, on ne révèle jamais le moindre détail permettant de bien identifier les criminels et contrevenants :
- On ne divulgue pas le nom à consonnance étrangère
- On ne montre jamais de photos
- Dans les cas de féminicides, on nomme à la limite la victime (si elle est québécoise) mais non l’assassin (au nom à consonnance étrangère), ce qui fait qu’on croit à tort que le meurtrier est son conjoint québécois
- On tait la religion du malfaiteur, même si elle est étroitement reliée au crime (mâle dominant musulman justifiant la violence conjugale ou le crime de déshonneur familial)
- La Police avec son langage typiquement neutre reste floue et ne précise pas en ondes si le criminel est un Noir, un maghrébin ou une autre ethnie étrangère
- Les témoins visuels qu’on fait parler taisent les faits ou restent évasifs
- On omet de préciser depuis quand le criminel est au pays parce qu’ils ne veulent pas qu’on voit combien de temps cela lui a pris pour amorcer sa vie de crime, en général pas bien longtemps. Parions que cela faisait partie de son plan d’immigration…
- On reste flou sur ses antécédents judiciaires, pour ne pas qu’on remarque que c’est un récidiviste irrécupérable pour la société, et qu’il vaudrait mieux l’expulser sans délai
Pourtant, ce sont les premières choses que les journalistes apprennent et que le public a besoin de savoir, au nom de la transparence, de la vérité, et de la précision des faits. À plus forte raison lorsqu’il y a un lien direct de cause à effet à établir entre ces facteurs.
Ce sont pourtant des renseignements faciles à obtenir par les voisins ou témoins des crimes mais qu’on cache volontairement.
C’est une autre occasion où les journalistes font preuve de mauvaise foi en se pliant servilement aux règles de la défense aveugle de la religion diversitaire et du politiquement correct.
Tout ce qui pourrait mettre en évidence que certaines catégories d’immigrants issus du tiers-monde violent et sous-civilisé sont dangereux et nuisibles est passé sous silence. Et c’est un silence concerté.
Les médias semblent avides de se soumettre servilement à la bien-pensance diversitaire mondialiste. Bien que certains types de crimes soient commis à répétition par certaines races et ethnies, on cache la chose, on dissimule les indices incriminants, on ne veut pas que les gens fassent l’association évidente et démontrable entre les deux. Conséquence déplorable, la criminalité augmente, l’importation de dangereux criminels se répand comme virus en pandémie, et c’est la sécurité de la population qui en prend pour son rhume.
À quel diable les journalistes ont-ils vendu leur serment de rapporter toute la vérité sans détour, avec un souci d’impartialité, d’objectivité, sans biais, et surtout sans obéissance à une quelconque idéologie mortifère? Ce type d’obéissance aveugle à un dogme imposé est le propre des dictatures genre Russie ou Chine. Que faire pour qu’ils se ressaisissent en bloc?
Un autre exemple récent: une chaloupe de migrants illégaux a coulé dans les eaux troubles d’Akwesasné. Jamais la moindre mention n’a été faite que le passeur était autochtone, ni que le système était bien huilé et profitable. On ne peut faire régner l’ordre au pays lorsqu’il s’agit d’autochtones. Les autorités tremblent dans leurs culottes. La police se voit empêchée d’intervenir comme elle le devrait. Mais personne dans les médias n’ose le dénoncer. Tout le monde se plie à la loi du silence. Pas touche les indiens.
À lire: L’hypocrisie des médias au nom du culte des minorités
Une grave conséquence négative de cacher toutes ces informations essentielles pour se faire une juste idée de la situation (qu’ils détiennent pourtant), c’est que la population croit sur-le-coup que ce sont les nôtres qui sont en cause lors de ces crimes crapuleux. Cela passe sur notre dos, alors qu’il n’en est rien. On se culpabilise, on éprouve de la honte collective, alors qu’il n’y a pas de raison de le faire, puisqu’on n’y est pour rien en tant que peuple. On l’a vu maintes fois lors des féminicides qui sont pratiquement tous dus à des étrangers musulmans ou africains, alors que la présentation de la nouvelle laisse planer l’idée que le crime est dû à l’un des nôtres, en omettant sciemment certains éléments connus qui établiraient clairement les faits.
Tous ces crimes barbares et sordides sont commis par des étrangers venus des pires pays sous-civilisés de la planète, et qui ne font que continuer ce que tout le monde fait chez eux dans ces sociétés moins évoluées et au niveau de développement social inférieur.
Consultez à ce propos la liste des 200 pays classés par ordre de développement humain et de corruption pour vous faire une idée plus juste de cette réalité objective. On n’aura aucune surprise à y découvrir les suspects habituels qui traînent loin derrière. Et ce sont ceux que le Canada accueille à bras ouverts sans discernement et sans égards aux conséquences néfastes de leur présence grandissante et décivilisatrice.
Il en ressort clairement que ce n’est vraiment pas une bonne idée d’importer des individus dont le mode de vie et la mentalité sont fortement retardés par rapport aux nôtres. Ces choses ne se changent pas. Impossible.
Ci-dessus: scène de la vie quotidienne à la haïtienne
Importez des barbares, et vous obtiendrez de la barbarie.
Importez des primitifs de nature violente, et vous provoquerez l’ensauvagement direct et grandissant de la société.
Les médias nous doivent tous les faits à leur disposition, ils sont dans l’obligation de nous dévoiler la vérité, et de ne rien dissimuler pour se plier à de mauvaises idéologies nuisibles comme celle de la diversité, qui a été imposée à la population sans même l’avoir consultée (par voie de référendum).
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Source: Lire l'article complet de Vigile.Québec