À l’approche de la fin de l’année 2023, l’équipe de SOTT.net souhaite à tous ses lecteurs et à tous ceux qui nous suivent un Noël paisible et joyeux, ainsi qu’une nouvelle année prospère et pleine d’aventures. Nous nous félicitons et sommes reconnaissants du soutien continu que nous recevons de la part de ce vaste réseau de chercheurs de vérité éparpillés dans le monde entier qui partagent les mêmes idées. Sans votre appui, les Signes des temps n’existeraient pas, alors merci à vous. Si vous le pouvez, nous vous invitons ci-après à faire un don pour nous permettre de poursuivre notre travail qui vise à diffuser les informations et les analyses qui importent le plus !
L’actuelle anéantissement de la bande de Gaza par Israël est choquant et prend des proportions véritablement « bibliques ». Le régime israélien a déjà tué plus de Palestiniens au cours des six dernières semaines qu’il ne l’a fait lors de la Nakba (« catastrophe ») qui avait initialement « façonné » Israël en 1948-1949. Nous disons « bibliques » non seulement parce qu’il semble que, comme en Ukraine, cette guerre va engendré une nouvelle vague de réfugiés, mais aussi parce qu’elle pourrait potentiellement embraser tout le Moyen-Orient. Cette guerre est « biblique » parce qu’il ne s’agit pas vraiment d’une guerre, mais plutôt d’une orgie de terrorisme atavique épouvantablement inhumaine qui utilise l’intelligence artificielle et la haute technologie pour bombarder avec une cruauté inouïe une population civile sans défense.
Dans une grotesque perversion des écritures, le Premier ministre israélien Netanyahou prétend que « nous [les Israéliens] sommes des fils de la lumière, eux [les Palestiniens] sont des fils des ténèbres », alors qu’il est en fait lui-même un « roi » fou des temps modernes qui mène un véritable « massacre des innocents », un massacre d’enfants, tous sacrifiés sur l’autel de sa carrière et de sa « postérité ».
La souffrance des habitants de Gaza est insondable et impossible à décrire, mais le scénario planifié des événements du 7 octobre et la subséquente « vengeance » d’Israël ont en quelque sorte permis de faire le point sur qui a une conscience, et qui n’en a pas. Qui voit vraiment le nœud du problème, au-delà de la superficialité idéologique et des affirmations du régime israélien quant à ce qu’il réellement s’est produit autour de la bande de Gaza le 7 octobre.
En matière de Vérité et de cœur, l’esprit de clan « Gauche versus Droite » n’est pas un bon indicateur, comme nous l’avons récemment observé. De nombreux membres de l’ancienne droite « conservatrice-chrétienne » semblent être passés du côté obscur en applaudissant à tout rompre. Mais aussi effroyable que soit l’horreur de la situation, et sans que rien ne soit fait pour y mettre un terme, la réelle nature de tous ceux-là est au moins devenue visible aux yeux du monde entier. Le déferlement de « vérités factuelles » qui en a résulté sur les réseaux sociaux et dans le discours public en général est sans précédent – à l’exception, peut-être, de l’obligation « vaccinale » contre le Covid.
L’année 2023 a débuté par d’importantes manifestations au Brésil qui contestaient l’annonce des résultats de l’élection présidentielle de 2022 organisée dans le pays. Lula da Silva, en tant que candidat de gauche critique de la politique impériale étatsunienne, favorable à l’engagement du Brésil dans la multipolarité émergente, et partisan de la fin de la guerre en Ukraine, a « gagné » de justesse l’élection. Mais il était aussi un fervent adepte de La Science™ sur le Covid, et donc de toutes les « solutions » qui en découlaient. Avant toute autre considération, c’est
probablement ce qui a incité l’establishment brésilien (et la CIA) à le soutenir face au président Jair Bolsonaro, l’un des rares dirigeants mondiaux à s’opposer aux confinements et aux obligations tyranniques en 2020-21. C’est ainsi que, convaincus que l’élection avait été truquée en faveur de Lula, des millions d’électeurs brésiliens sont descendus dans la rue et ont mis en place un blocus des transports, dont le point culminant fut l’occupation du Congrès national et de la Cour suprême du Brésil le 8 janvier.
En écho à l’« insurrection du 6 janvier » à Washington DC, presque deux ans auparavant, jour pour jour, les manifestants brésiliens ont d’abord été « soutenus » par les forces de police avant que ces dernières n’arrêtent des milliers d’entre eux – après que les bâtiments aient été pris d’assaut et vandalisés. Les médias ont ensuite encadré l’événement en accusant l’ancien président Jair Bolsonaro de tentative de « coup d’État », et ont demandé à la Cour suprême brésilienne de censurer tout contenu en ligne affirmant ou simplement suggérant que les élections brésiliennes avaient été frauduleuses. Voilà comment, dans l’intérêt du mondialisme et contre la volonté populaire, la deuxième plus grande démocratie des Amériques a « géré » la situation.
À la mi-février, une personne de la sphère centrale du renseignement étatsunien a décidé de faire tout un plat de la présence dans le ciel des États-Unis de ballons stratosphériques chinois en les abattant à l’aide de missiles – ballons que le Pentagone envoie également dans le monde entier pour assurer ses « capacités d’ISR (intelligence, surveillance and reconnaissance – renseignement, surveillance et reconnaissance) ». Cette hystérie absurde visait à encourager les Étatsuniens à considérer les Chinois comme « l’ennemi » et à détourner l’attention du nuage noir (littéralement) planant sur une grande partie du nord-est des États-Unis à la suite du très suspect « accident » de train qui s’est produit le 3 février à East Palestine, dans l’Ohio – un toponyme pour le moins intéressant compte tenu des événements qui se déroulent en ce moment au Moyen-Orient.
Le train de marchandises industrielles chargé de matières dangereuses a déraillé après un incendie dans l’un de ses wagons. La compagnie ferroviaire et les autorités gouvernementales ont alors décidé de déverser et de brûler immédiatement les dizaines de milliers de litres de gaz et de liquides hautement toxiques et inflammables présents dans les wagons. À des kilomètres à la ronde, la faune et la flore ont été décimées et des milliers d’habitants ont été contraints à quitter leur domicile en raison de l’air devenu irrespirable et de l’eau contaminée. Les médias ont ridiculisé les « théories du complot » suggérant qu’un sabotage avait « provoqué » le déraillement, ou que des malversations dans la gestion de l’incident avaient a minima été commises, et ont minimisé le potentiel risque à long terme pour les êtres humains et les animaux, sans pour autant apaiser les soupçons selon lesquels une « main cachée » serait à l’origine de la série d’« accidents » survenus dans des infrastructures industrielles telles que les usines de transformation de produits alimentaires aux États-Unis.
Même si la tendance n’a pas vraiment été portée sur le devant de la scène, les signes d’un déplacement vers l’Asie de l’influence mondiale se sont multipliés tout au long de l’année, comme l’annonce surprise, en mars, du dégel des relations entre l’Iran et l’Arabie saoudite grâce à l’entremise de Pékin. Peu après cette annonce, Xi Jinping – nouvellement réélu – a rendu visite à Poutine au Kremlin, quelques jours après que la Cour pénale internationale ait émis à l’encontre de ce dernier un mandat d’arrêt, visite au terme de laquelle on a pu entendre Xi déclarer à son homologue : « nous sommes à l’origine de changements tels que le monde n’en a pas connu depuis 100 ans ».
Quatre « actes d’accusation criminels » grotesques ont été prononcés à l’encontre de Donald Trump – le premier d’entre eux en mars -, l’inculpant au total de 91 délits, et la date prévue du procès coïncide avec l’élection présidentielle étatsunienne de 2024. Il s’agit là d’une composante essentielle qui participe de la même chasse aux sorcières politique menée contre lui pour discréditer sa présidence, à savoir le « Russiagate », et que cette chasse se poursuit dans le but de réduire, voire carrément d’anéantir, ses chances lors des prochaines élections, et si vous ne l’avez toujours pas compris, nous ne savons pas quoi vous dire ! Ils ont certes réussi à obtenir aussi, comme ils le voulaient, sa photographie d’identité judiciaire, pour autant, nous émettons des doutes quant au fait que son existence joue le rôle qu’ils espèrent sur l’élection de 2024.
L’ingérence électorale de l’État profond étatsunien a même été explicitement admise le mois suivant, lorsque les médias aux États-Unis ont signalé que la communauté du renseignement (plus précisément la CIA, de mèche avec le futur secrétaire d’État, Anthony Blinken) avait fait basculer l’élection de 2020 en faveur des Biden en censurant les données divulguées depuis l’ordinateur portable de Hunter Biden. Certes, ce n’est pas la même chose que de truquer les votes, mais il s’agissait néanmoins d’une opération d’influence basée sur un mensonge, et la source était étatsunienne, et non russe.
En parlant d’informations censurées qui se sont avérées par la suite, le 11 septembre 2023, une date propice, le Sous-comité spécial de la Chambre des représentants sur la pandémie de coronavirus a présenté le témoignage d’un « lanceur d’alerte occupant un poste élevé à la CIA » selon lequel des experts scientifiques de la CIA ont été soudoyés au début de l’année 2020 pour soutenir la théorie de la zoonose comme étant à l’origine du Covid, plutôt que la théorie de la fuite d’un laboratoire. La pandémie-canular a été menée par La Science™ a toujours raison et par La Science™ finance grassement pour obtenir les résultats voulus : des confinements dévastateurs.
Le dernier grand présentateur de télévision aux États-Unis, Tucker Carlson, a été en avril licencié de Fox News, ce qui ne l’a pas empêché de revenir rapidement et de conquérir une audience encore plus large qu’avant sur la dernière plateforme gratuite de réseaux sociaux – Facebook et Instagram proposant un abonnement d’environ 10
euros/par mois pour supprimer les publicités – Twitter est mort – Vive X ! L’annonce par Robert F. Kennedy Jr. de son intention de se présenter à l’élection présidentielle étatsunienne en 2024 a accentué l’énergie explosive d’une campagne politique déjà très animée, mais en déclarant récemment son amour indéfectible pour Israël, il a souillé toutes les vérités factuelles qu’il scande publiquement depuis trois ans sur les « vaccins » Covid, le programme d’armes biologiques Fauci-CIA, le complexe militaro-industriel et l’appauvrissement délibéré des classes moyennes et ouvrières.
Au mois de mai, et après une bataille titanesque de six mois, les forces russes ont finalement « dénazifié » Bakhmut, dans l’est de l’Ukraine. En fait, au grand dam des médias occidentaux, l’entrepreneur militaire privé russe « Wagner » a conquis Bakhmut (avec le soutien total du commandement militaire russe), mais des signes avant-coureurs lors du dénouement de cette bataille ont suggéré que quelque chose ne tournait vraiment pas rond du côté du copropriétaire civil de Wagner, Yevgeny Prigozhin. Soucieuses de maintenir l’illusion que l’Ukraine a une chance de « gagner » contre la Russie, les forces soutenues par Kiev – sans aucun doute aidées par des « spécialistes » de l’OTAN – ont commencé à bombarder des cibles russes de premier plan comme le Kremlin, à abattre des hélicoptères à l’intérieur même de la Russie et à envoyer des escouades de néo-nazis russes formés par l’OTAN au-delà de la frontière ukrainienne pour terroriser les villes russes.
Et puis, en juin, Wagner s’est mutiné ! Le monde entier a retenu son souffle lorsque, dans la ville de Rostov-sur-le-Don, au sud de la Russie, les chars d’assaut ont pris position et que plusieurs milliers de combattants parmi les « héros de Bakhmout » ont formé un convoi blindé en direction de Moscou. Pendant près d’une journée entière, les détracteurs
occidentaux de la Russie ont savouré ce qui constituait à leurs yeux le moment le plus truculent de toute l’année, se délectant des spéculations selon lesquelles une guerre civile était sur le point d’engloutir la Russie et de la disloquer, ou que la destitution de Poutine était imminente. Cependant, une fois de plus, ils ont été victimes de leur ignorance de la politique russe et de leur interprétation erronée de la lutte qui a duré des mois entre Prigozhin et le commandement militaire russe. Compte tenu de la rapidité avec laquelle le danger a été traité et de la manière dont tous les secteurs de l’État et du peuple russes se sont rangés derrière Poutine, il s’agissait très probablement d’une manœuvre risquée, mais nécessaire, de Poutine pour piéger les mutins de Wagner qui lui a permis de faire entrer pleinement le groupe Wagner dans le giron de l’armée russe. Quant à Prigozhin et à son malheureux accident d’avion non loin de Moscou à la fin du mois d’août, disons simplement que ceux qui vivent par l’épée, meurent par l’épée.
Pour ne pas être en reste sur le plan dramatique, les médias étatsuniens ont peu après fait leurs choux gras des « révélations » de David Grusch, officier de l’armée de l’air et ancien responsable du renseignement, qui a déclaré lors d’une audition au Congrès qu’il avait eu des conversations avec des responsables anonymes l’ayant amené à penser que le gouvernement des États-Unis entretient un programme secret visant à récupérer des OVNIs et se trouve en possession de vaisseaux spatiaux « non humains » – ainsi que de leurs « pilotes décédés ». La NASA et le Pentagone ont bien sûr tout nié, mais ce fut tout de même un gros « plouf » au milieu des révélations dispensées au « compte-goutte ». Monsieur et Madame tout le monde est en train de se familiariser avec ce que, nous à SOTT, appelons la « réalité hyperdimensionnelle » – des niveaux de réalité « supérieurs et au-delà » du nôtre, à partir desquels des intelligences non-humaines influencent de manière significative les événements qui se déroulent en 3D ; le tout est de savoir quand, et dans quelle mesure, cet aspect de la réalité deviendra « la nouvelle normalité ».
Fin juin, des émeutes ont éclaté dans certaines villes françaises après la mort d’un adolescent franco-algérien qui avait été arrêté pour conduite dangereuse et tué par la police. Fait remarquable, les émeutes ont pris fin soudainement une semaine plus tard, lorsque les barons de la drogue des zones urbaines ont fait savoir que ces violences devaient s’arrêter parce qu’elles nuisaient à leurs chiffres d’affaires ! Bien que de moindre ampleur que les émeutes qui avaient duré trois semaines en France en 2005 à la suite du meurtre accidentel par la police de deux adolescents d’origine africaine, cet épisode a rappelé une fois de plus que la complicité des gouvernements avec le crime organisé et les ONG véreuses permettant l’immigration rapide de plusieurs millions de personnes en Occident – dont beaucoup ne s’intègrent pas et deviennent au contraire extrêmement antisociales – constitue un danger clair et immédiat qui menace le maintien les fondements même de l’ordre social.
Les habitués de nos vidéos mensuelles sur les Changements terrestres savent à quel point les conditions météorologiques ont été extrêmes au cours de cette année ; toutefois, l’importance excessive que donnent les médias à un seul et unique paramètre lorsqu’ils parlent de l’augmentation des extrêmes climatiques – les vagues de chaleur et les incendies de forêt qui y sont associés – dépasse l’entendement. S’exprimant une fois de plus au nom de La Science™, ils nous ont annoncé que la planète avait connu, pendant quatre jours consécutifs en juillet, ses quatre journées les plus chaudes des 120 000 dernières années. Fichtre ! Mais même cette hyperbole a très vite été coiffée au poteau par le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, qui a proclamé que « l’ère de l’ébullition mondiale est arrivée ». Et ce, en dépit du fait que pour la plupart des habitants de l’hémisphère nord, la saison estivale s’est en fait globalement avérée relativement fraîche et humide.
C’est alors qu’en août, un incendie terrifiant s’est produit à Hawaï. Cent personnes ont été tuées lorsqu’une série de brasiers – apparemment déclenchés par des « lignes électriques tombées en panne » et des « vents violents » – ont simultanément encerclé et dévoré la quasi-totalité de la ville historique de Lahaina, sur l’île de Maui. Tout au long du mois, les habitants ont signalé des faits étranges survenus aussi bien pendant qu’après l’incendie : la police a empêché les voitures d’évacuer la ville, les autorités locales ont retardé l’accès à l’eau nécessaire à la lutte contre l’incendie, des panneaux noirs « anti-poussière » ont été érigées autour du périmètre de la ville après l’incendie, les responsables des services d’urgence de Maui se trouvaient sur une autre île pour une session de formation aux catastrophes organisée par la FEMA au moment où les incendies se sont déclarés et, lorsqu’ils sont finalement arrivés sur place, l’intervention des services d’urgence a été complètement bâclée.
Plusieurs milliers de personnes ont été tuées dans de violents tremblements de terre au Maroc en septembre et en Afghanistan en octobre, mais les deux tremblements de terre de magnitude 7 et plus dans le sud de la Turquie au début du mois de février ont été de loin les plus dévastateurs : près de 60 000 personnes ont perdu la vie, des dizaines de milliers de bâtiments ont été détruit et des millions de personnes ont été sinistrées en Turquie et dans la Syrie voisine. Et si vous vous demandez comment de telles catastrophes naturelles s’intègrent dans les modélisations scientifiques délirantes d’un réchauffement climatique dû à une augmentation anthropique du CO2, sachez qu’elles en sont exclues.
Ce pauvre peuple syrien, soumis à une décennie de guerre tandis que des millions d’entre eux ont soit été déplacées dans leur pays soit sont devenus des réfugiés dans d’autres pays, ne « méritait » guère de subir l’un des tremblements de terre naturels les plus dévastateurs de la région depuis un millénaire. Il en va malheureusement de même pour la population libyenne, de plus en plus pauvre depuis 2011, année de la campagne de bombardement de l’OTAN qui a conduit à l’assassinat de Kadhafi et au déclenchement d’une « guerre civile », dont il résulte aujourd’hui des infrastructures défectueuses ; lorsque la tempête Daniel – le cyclone méditerranéen le plus meurtrier de mémoire d’homme – s’est abattu sur les côtes du pays au début du mois de septembre, l’effondrement de deux barrages a entraîné la mort d’environ 20 000 personnes.
Pendant ce temps, dans la guerre par procuration des États-Unis contre la Russie menée en Ukraine, la contre-offensive estivale tant annoncée a lamentablement échoué, malgré l’envoi par l’OTAN de milliards de dollars de matériel de guerre, l’envoi par Kiev de milliers de conscrits, et Dieu seul sait combien de troupes régulières de l’OTAN engagées « sous couverture ». Si « nous » sommes en guerre avec la Russie, alors « nous » sommes en train de perdre. Pas l’« élite » étatsunienne cependant ; elle « gagne » quand même parce que, comme l’ont expliqué les sénateurs Mitch McConnell et Lindsey Graham, la plus grande partie de l’argent est dépensée pour soutenir la base industrielle rouillée des États-Unis – bien que nous soyons prêts à parier que la grande majorité de cet argent ne soit que des pots-de-vin ; et de toute façon, c’est par la même occasion « le meilleur argent que les États-Unis aient jamais dépensé parce que nous avons pu tuer des Russes ».
Par ailleurs, comme le souligne le ministre russe des affaires étrangères, « les États-Unis désindustrialisent l’Europe, à dessein », car ils la considèrent « comme un concurrent ». Les États-Unis veulent des dirigeants fantoches en Europe pour que les entreprises européennes se délocalisent aux États-Unis, un plan B stratégique qui est sur la table depuis le début. Le plan A consistait à affaiblir la Russie militairement et économiquement dans l’espoir qu’elle se désintègre par des protestations, des émeutes et une guerre civile. En cas d’échec, le plan B consistait à affaiblir l’Europe sur le plan économique et à l’écarter de la course géoéconomique entre les États-Unis, l’Europe et la Chine. Il est intéressant de noter que la « dédollarisation » est entrée pour la première fois cette année dans le discours public des États-Unis, notamment après que le nombre de pays adhérant aux BRICS – l’alliance géoéconomique qui fait pendant au G7 occidental – ait été multiplié par deux, comprenant même l’adhésion de l’Arabie saoudite, pilier du pétrodollar étatsunien.
Toutefois, dans leur « exceptionnalisme », les Washingtoniens ne comprennent pas qu’ils sont sur le point de perdre la domination du dollar parce que leurs sanctions unilatérales contre d’autres pays – sanctions qui visent à garantir que le dollar étatsunien reste la monnaie de réserve mondiale – obligent en réalité ces pays à commercer toujours davantage avec leurs propres monnaies. Pendant ce temps, les salaires n’ont toujours pas augmenté depuis la crise de la dette de 2008, et l’inflation récente causée par des dépenses effrénées (et non pas à cause de la « guerre de Poutine ») a
entraîné une crise du « coût de la vie » qui a donné lieu à d’autres manifestations de colère de grande envergure – principalement en Europe, pour l’instant. Si l’énergie de ces manifestations se combine à celle des protestations anti-immigration, la situation va s’enflammer – et peut-être dans un avenir très proche. Nous en avons eu récemment un aperçu à Dublin, en Irlande : des citoyens de la classe ouvrière manifestaient pacifiquement depuis deux ans contre l’immigration de masse et la hausse des prix des produits de base et de l’immobilier, lorsqu’en novembre, les manifestants se sont déchaînés et des émeutes se sont produites après qu’un migrant algérien a poignardé des enfants à la sortie d’une école.
Alors que les Anglo-Étatsuniens commencent à « pousser » Kiev à entamer des négociations avec Moscou et que les médias occidentaux se mettent à reconnaître que le régime néo-nazi pro-occidental de l’Ukraine ne peut pas réellement vaincre la Russie d’un point de vue militaire, Israël a apparemment estimé que le moment était venu de perpétrer un génocide contre les derniers Palestiniens de Gaza qui refusent de baisser les bras en dépit de tout ce qu’ils subissent depuis des décennies. Parce qu’Israël a besoin du soutien militaire et politique sans réserve de Washington pour entreprendre ce gargantuesque crime contre l’humanité, l’État sioniste a visiblement fait le calcul suivant : il doit le commettre maintenant, tant qu’il bénéficie d’un total soutien (ou contrôle ?) politique de l’« uni-parti » étatsunien (terme qui indique une association concertée à un certain niveau des Républicains, des Démocrates, de la presse mainstream, de l’État profond de Washington et des entreprises mondialistes), et avant que la puissance et l’influence militaires des États-Unis ne soient 1) érodées, et/ou 2) mises à mal par l’alliance stratégique sur la scène mondiale de la Russie et de la Chine.
Lancer l’Armageddon sans se condamner à mort est une entreprise délicate. Pour l’instant, la seule « riposte » à laquelle Israël a été confrontée au Moyen-Orient se résume à l’attaque de cibles militaires israéliennes par les forces du Hezbollah le long de sa frontière avec le Liban, et la saisie de plusieurs cargos israéliens par les Houthis yéménites qui tentent par ailleurs d’atteindre des cibles israéliennes avec des missiles rudimentaires. Mais l’important renforcement militaire des États-Unis dans la région suggère que l’Empire du Mensonge se prépare à « éliminer » la Syrie et/ou l’Iran. C’est toujours leur solution à tout : plus de « destruction créatrice » pathologique et de chaos.
Voici donc où nous en sommes à l’aube de 2024 :
Ils savent que nous savons qu’ils ont provoqué la pandémie de Covid afin d’injecter une arme biologique à des milliards de personnes ; ils savent que nous savons qu’ils ont truqué l’élection présidentielle des États-Unis en 2020 ; ils savent que nous savons que le phénomène OVNI est réel ; ils savent que nous savons qu’il n’a jamais été question de gagner la guerre en Ukraine ; ils savent que nous savons que les flux migratoires massifs sont délibérément encouragées pour supprimer les salaires et diviser et conquérir les populations à qui ces migrants sont imposées ; ils savent que nous savons qu’Israël s’efforce de procéder à un nettoyage ethnique à Gaza au prétexte d’une attaque aussi fallacieuse que celle du « 11-Septembre » ; et ils savent que nous savons que leur objectif global est de détruire la civilisation afin de la « sauver ».
Nous pouvons tous les voir en train d’agir dans ce sens, et ils savent que nous pouvons tous les voir en train d’agir dans ce sens parce qu’ils surveillent les réseaux sociaux et répriment sévèrement tous ceux qui signalent que nous savons ce qu’ils sont en train de faire. Et pourtant, ils continuent à le faire, pathologiquement convaincus de savoir ce qui est mieux. Qu’ils se débrouillent donc tout seuls. Dénoncez-les si vous le pouvez, opposez la vérité à leurs mensonges, mais surtout, discernez par vous-même ce qui est vrai et ce qui est faux.
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L’année dernière, nous avions déclaré :
2023 sera une grande année à plus d’un titre. Pour ne pas être en reste avec les Russes, Sott.net aura droit à sa propre mise à niveau hypersonique. Oui, nous avons promis la même chose l’année dernière — ou était-ce il y a deux ans ? ! À ceci près que cette fois, le développement progresse bien. […] Nous ne pouvons pas encore promettre de date butoir, mais n’oubliez pas que le 21e anniversaire de Sott.net aura lieu le 26 mars 2023. Juste pour dire !
Bon d’accord, nous nous sommes un peu trompés… Qu’est-il arrivé à la mise à jour promise depuis longtemps, vous demandez-vous ? Elle est officiellement terminée et fonctionne (depuis quelques jours). Il ne reste plus qu’à passer une bonne couche de cire, passer l’aspirateur à l’intérieur, avant d’effacer nos empreintes de doigts sur les vitres… Ensuite, elle sera prête à prendre son envol. À moins que ne survienne une catastrophe naturelle d’ampleur à nous mener à l’extinction, SOTT sera tout neuf et tout brillant en janvier 2024 !
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Source: Lire l'article complet de Signes des Temps (SOTT)