Harvey Risch, professeur émérite d’épidémiologie à la faculté de santé publique de Yale, à New York le 7 juillet 2022. (Bao Qiu/Epoch Times)
Le Dr Harvey Risch parle des nouveaux « cancers turbo » de la vaccination et de la façon dont le virus Covid devrait être géré.Par Efthymis Oraiopoulos & Jan Jekielek
23 septembre 2023 06:54 Mis à jour: 23 septembre 2023 11:26
Selon le Dr Harvey Risch, des preuves montrent que des cancers surviennent fréquemment chez des personnes vaccinées contre le Covid-19.
Le Dr Risch est professeur émérite d’épidémiologie au département d’épidémiologie et de santé publique des facultés de santé publique et de médecine de Yale. Ses recherches se sont largement concentrées sur les origines du cancer et sur la prévention et le dépistage précoce.
Dans une interview accordée à l’émission « American Thought Leaders » d’EpochTV, le Dr Risch a indiqué que les patients devaient désormais attendre des mois, et non plus des semaines, afin d’obtenir un rendez-vous dans une clinique d’oncologie à New York.
Il est difficile d’observer si un vaccin peut provoquer un cancer, car le cancer met généralement du temps à se développer, a expliqué le Dr Risch. Cela peut prendre de deux à trente ans, selon les différents types de cancer, de la leucémie au cancer du côlon.
« Ce que les cliniciens ont vu, ce sont des choses très étranges : par exemple, des jeunes de 25 ans atteints d’un cancer du côlon, qui n’ont pas d’antécédents familiaux de la maladie – ce qui est fondamentalement impossible selon le paradigme connu du fonctionnement du cancer du côlon – et d’autres cancers à latence longue qu’ils observent chez des personnes très jeunes ».
Selon lui, ce n’est pas ainsi que le cancer se développe normalement.
« Il doit y avoir un stimulus à l’origine de ce phénomène. »
Lutter contre le cancer
Le Dr Risch a expliqué qu’à son avis, un corps humain sain peut combattre et neutraliser un cancer, car les cellules cancéreuses anormales sont absorbées lorsqu’elles sont détectées dans un corps doté d’un système immunitaire fonctionnel. En revanche, si le système immunitaire est affaibli, il n’est pas en mesure de neutraliser les cellules cancéreuses, qui continuent alors à se multiplier et à se développer, ce qui provoque les symptômes du cancer.
« C’est le mécanisme qui me semble le plus probable dans ce cas. Nous savons que les vaccins Covid ont endommagé à des degrés divers le système immunitaire d’une fraction des personnes qui les ont reçus. »
Ces dommages pourraient se traduire par des infections plus fréquentes par le Covid, par d’autres maladies infectieuses ou par des cancers.
Un autre exemple donné par le Dr Risch est celui du cancer du sein. Normalement, s’il y a une rémanence après une ablation chirurgicale, la rémanence se produit après deux décennies. Or, on constate aujourd’hui que les femmes vaccinées présentent une rémanence de leur cancer du sein dans des délais beaucoup plus courts.
« Ce sont les premiers signaux que nous avons observés et, comme ces cancers sont apparus chez des personnes trop jeunes pour les contracter, par rapport à la manière habituelle dont cela fonctionne, ils ont été qualifiés de turbo-cancers. »
« Certains de ces cancers sont si agressifs qu’entre le moment où ils sont détectés pour la première fois et celui où ils reviennent pour un traitement après quelques semaines, ils ont connu un développement spectaculaire alors que les oncologues ne s’y attendaient pas compte tenu de la progression normale du cancer. »
«Soyez à l’écoute de votre corps», recommande le Dr Risch, pour remarquer tout nouveau signal que le corps pourrait émettre.
Effets indésirables après la vaccination
Le Dr Risch a également évoqué le fait que les agences médicales officielles ne reconnaissent pas une personne comme étant vaccinée au cours des deux premières semaines de vaccination. Elles affirment en effet que les effets du vaccin ne commencent à se manifester qu’au bout de deux semaines. Les effets indésirables survenus quelques jours après la vaccination sont officiellement comptabilisés comme des problèmes de santé se manifestant chez des personnes « non vaccinées ».
Toutefois, le Dr Risch a constaté que les effets indésirables graves du vaccin se produisaient dans les quatre premiers jours. Ajoutant que les trois quarts des effets indésirables enregistrés concernent des personnes « non vaccinées ».
Les décideurs aux commandes pendant la pandémie « ont rejeté les principes de santé publique six jours après le début de la pandémie et ont fait le contraire de tout ce que nous savions qu’il fallait faire pour les virus respiratoires »
Un exemple est le refus d’un traitement précoce efficace et les vaccinations inutiles, qui témoignent d’un « échec colossal de la santé publique pendant cette période », a-t-il déclaré.
Pour le Dr Risch, beaucoup de gens sont aujourd’hui plus réticents face à la « propagande » concernant le Covid, et les informations sur un nouveau variant qui pourrait envahir le monde le mois prochain ne sont que de la « propagande destinée à vendre le prochain lot de vaccins qui sortira dans quelques semaines ».
« Les gens en ont assez de cette situation et les réactions vont se multiplier. »
Risques pour la société
Le Dr Risch a souligné que même si le risque individuel d’une réaction indésirable au vaccin est relativement faible, une fois que ce risque se manifeste à plus grande échelle, lorsque des millions de personnes ont été vaccinées, des centaines de milliers de gens se retrouvent avec des dommages et des effets indésirables graves qui se révèlent souvent pires que le virus lui-même.
Selon le Dr Risch, personne ne devrait se faire vacciner avec un produit à ARNm, car les nouveaux variants sont bénins et ne mettent pas la vie en danger. Il a entendu parler de quelques hospitalisations qui ont duré quelques jours, mais comme la plupart des gens ont contracté le Covid dans le passé, ils ont également acquis une certaine immunité face à ces nouveaux variants.
« Il n’y a aucune raison pour que les gens soient vaccinés aujourd’hui, à quelque degré que ce soit. »
Selon lui, le Covid est devenu une maladie similaire à la grippe par son degré de gravité, et la propagande alarmiste est encouragée par les gouvernements au nom des sociétés pharmaceutiques qui veulent vendre davantage de vaccins.
« Nous vivons en contact les uns avec les autres et, par conséquent, nous propageons des infections de faible intensité. Cela fait partie de la vie humaine. »
Source : EpochTimes
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