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Campagne de dons Septembre-Octobre 2023
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par Patrice Gibertie
Merci à Surya Arbi d’avoir retrouvé cet article de Science et Vie de Janvier 2017 sur la fabrication du consensus scientifique. On comprend mieux le narratif sur les pseudo-vaccins covid pour lesquels il faut 22 doses pour avoir 0 efficacité et qui laissent derrière eux des millions de victimes.
«L’habile stratégie d’un labo : Dès 1988, nous avons commencé à sensibiliser les experts européens de l’OMS à la question de l’hépatite B. De 1988 à 1991, nous avons financé des études épidémiologiques sur le sujet pour créer un consensus scientifique sur le fait que cette hépatite était un problème majeur de santé publique. Avec succès puisqu’en 1991, l’OMS a émis de nouvelles recommandations en matière de vaccination contre l’hépatite B». Alain Aufrère, PDS du laboratoire SmithKline Beecham
«En ce qui concerne la salive, aucune transmission n’a jamais été prouvée et les essais sur les chimpanzés ont échoué indique le Pr Gilles Brucker de l’APHP. La dramatisation du message provoque une ruée de la population sur le vaccin».
C’était du temps où les journalistes faisaient leur travail …
Big Pharma (ô surprise !) a créé de toutes pièces la peur de l’hépatite B… pour vendre ses nouveaux vaccins
«En France, nous avons eu la chance de tomber sur Philippe Douste-Blazy, un ministre de la Santé dynamique.
Nous sommes allés le voir et il a compris du premier coup qu’il y avait un problème de santé publique».
Quelle chance, pour le fabricant de vaccins : enfin un ministre compréhensif !
Car dans la plupart des autres pays européens, le même lobbying a échoué.
C’est ce que reconnaît benoîtement le responsable de SKB, dans la même interview :
«Cela n’a pas été le cas avec l’Allemagne et la Grande-Bretagne.
L’hépatite B, les Britanniques n’en démordent pas : ils disent ne pas connaître…
Ailleurs, comme au Benelux, il s’agit d’abord de manque d’argent. Une campagne de vaccination de cette taille coûte une fortune».
De fait, la vaccination de masse contre l’hépatite B en France de 1994 à 1998 a bien coûté une fortune (plusieurs dizaines de milliards de francs, selon l’expert judiciaire Marc Girard).
Pour une maladie que les Britanniques disaient… «ne pas connaître» !
Est-ce que ces milliards dépensés en valaient vraiment la peine ?
Pour les fabricants de vaccin qui ont reçu ces milliards, la réponse est évidemment OUI.
Mais pour les États, la vaccination de masse était dès le départ une très mauvaise idée.
source : Patrice Gibertie
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