(Georgi Fadejev/Shutterstock)
Cet article vise à aider les lecteurs à réfléchir à des sujets importants : comment prévenir réellement les pandémies et la guerre biologique ? Comment évaluer les propositions de l’OMS et de ses membres en matière de prévention et de réponse aux pandémies ? Est-il possible de compter sur les responsables de la santé pour aborder ces domaines d’une manière sensée et utile, au bénéfice des populations ? Commençons par un historique du contrôle des armes biologiques. Nous passerons ensuite à la pandémie de Covid, et enfin, aux plans de protection futurs.
Armes de destruction massive : chimiques et biologiques
Traditionnellement, les armes de destruction massive (ADM) sont qualifiées de chimiques, biologiques, radiologiques et nucléaires (CBRN).
Les peuples du monde ne veulent pas qu’elles soient utilisées à leur encontre, car elles constituent un moyen peu coûteux de tuer et de mutiler rapidement un grand nombre de personnes. Des traités internationaux ont donc été créés pour tenter d’empêcher le développement des ADM (uniquement dans les traités les plus récents) et leur utilisation (dans tous les traités de contrôle des armes biologiques). La première initiative de la sorte est le protocole de Genève de 1925, qui interdit l’utilisation d’armes biologiques et chimiques en temps de guerre. Elle fait suite à l’utilisation de gaz toxiques et d’armes biologiques limitées lors de la Première Guerre mondiale. Les États-Unis et de nombreux pays l’ont signé. Or, il a fallu 50 ans pour que les États-Unis le ratifient, et pendant ces 50 années, les États-Unis ont affirmé ne pas être liés au traité.
Au cours de ces 50 années, les États-Unis ont utilisé des armes biologiques et chimiques. Ils ont presque certainement utilisé des armes biologiques pendant la guerre de Corée (voir ceci, ceci, ceci et ceci) et ont peut-être utilisé les deux types d’armes au Vietnam, qui a connu une étrange épidémie de peste pendant la guerre. L’utilisation du napalm, du phosphore blanc, de l’agent orange (composé de dioxine, est à l’origine d’un grand nombre de malformations congénitales et autres tragédies) et probablement d’autres armes chimiques comme le gaz BZ (un hallucinogène/incapacitant) a suscité de vives réactions, d’autant plus que les américains avaient signé le protocole de Genève et qu’ils étaient censés être une nation civilisée.
En 1968 et 1969, deux livres importants ont été publiés, qui ont eu une grande influence sur la psyché américaine concernant le stockage et l’utilisation massifs de ces produits. Le premier livre, écrit par le jeune Seymour Hersh sur le programme américain de guerre chimique et biologique, s’intitule « Chemical and Biological Warfare : America’s Hidden Arsenal » (La guerre chimique et biologique : L’arsenal caché de l’Amérique, ndlt). En 1969, le député Richard D. McCarthy, un ancien journaliste de Buffalo, dans l’État de New York, a écrit le livre « The Ultimate Folly : War by Pestilence, Asphyxiation, and Defoliation » (L’ultime folie : la guerre par la peste, l’asphyxie et la défoliation, ndlt) sur la production et l’utilisation d’armes chimiques et biologiques par les États-Unis. Le professeur Matthew Meselson a publié une critique de l’ouvrage :
« Notre opération, ‘Flying Ranch Hand’, a pulvérisé des produits chimiques anti-végétaux sur une zone presque aussi grande que l’État du Massachusetts, soit plus de 10% de ses terres cultivées. L’expression ‘Ranch Hand’ n’a plus grand-chose à voir avec la justification officielle de la prévention des embuscades. Il s’agit plutôt d’une sorte de guerre environnementale, qui consiste à dévaster de vastes étendues de forêts afin de faciliter notre reconnaissance aérienne. Notre utilisation de ‘super gaz lacrymogène’ (il s’agit également d’un puissant irritant pulmonaire) est passée de l’objectif initialement annoncé de sauver des vies dans des ‘situations de contrôle des émeutes’ à l’utilisation à grande échelle d’obus d’artillerie à gaz, de roquettes à gaz et de bombes à gaz visant à renforcer le pouvoir meurtrier des armes conventionnelles à explosifs brisants et à flammes. Quatorze millions de livres [six millions de kilogrammes, ndlt] ont été utilisées jusqu’à présent, ce qui est suffisant pour couvrir tout le Vietnam avec une concentration efficace sur le terrain. De nombreux pays, y compris certains de nos propres alliés, ont exprimé l’opinion que ce type de guerre au gaz viole le protocole de Genève, une opinion partagée par McCarthy. »
La convention sur les armes biologiques
En novembre 1969, alors que la conduite des États-Unis au Vietnam suscitait de vives réactions et qu’il cherchait à rehausser sa présidence, le président Nixon a annoncé au monde entier que les États-Unis allaient mettre un terme à leur programme d’armes biologiques (mais pas à leur programme d’armes chimiques). Après qu’on ait reproché aux États-Unis de ne pas renoncer à l’utilisation de toxines, en février 1970, Nixon a annoncé qu’ils allaient également se débarrasser des armes à toxines, qui comprenaient des toxines de serpent, d’escargot, de grenouille, de poisson, bactériennes et fongiques, susceptibles d’être utilisées pour causer la mort et à d’autres fins.
On a prétendu que ces déclarations résultaient d’un calcul minutieux, du fait que les États-Unis étaient techniquement très en avance sur la plupart des autres nations en matière d’armes chimiques et nucléaires. Les armes biologiques étaient considérées comme la « bombe atomique du pauvre » et leur production nécessitait beaucoup moins de sophistication. N’étant pas très avancés dans le domaine des armes biologiques, les États-Unis gagneraient sur le plan stratégique en interdisant cette catégorie d’armes.
Le président Nixon a annoncé que les États-Unis allaient lancer un traité international visant à empêcher l’utilisation future de ces armes. Cela a été fait avec la « Convention sur l’interdiction de la mise au point, de la fabrication et du stockage des armes bactériologiques (biologiques) ou à toxines et sur leur destruction » de 1972, ou Convention sur les armes biologiques (CAB), est entrée en vigueur en 1975.
Or, en 1973, le génie génétique (ADN recombinant) a été découvert par les Américains Herbert Boyer et Stanley Cohen, ce qui a changé les prévisions en matière de guerre biologique. Les États-Unis avaient repris l’avantage technologique dans ce domaine.
La convention sur les armes biologiques prévoit l’organisation de conférences tous les cinq ans afin de renforcer le traité. On s’attendait à ce que ces conférences incluent une méthode permettant des « inspections de contrôle » afin d’empêcher les pays de tricher et qu’elles ajoutent des sanctions (punitions) en cas de non-respect. Cependant, depuis 1991, les États-Unis ont constamment bloqué l’ajout de protocoles qui auraient un impact sur la tricherie. Aujourd’hui, tout le monde admet que la tricherie existe et qu’elle est probablement très répandue.
En 1979, une fuite dans une installation de production d’anthrax à Sverdlovsk, en URSS, a causé la mort d’une soixantaine de personnes. Bien que l’URSS ait tenté de camoufler l’affaire en pointant du doigt la viande contaminée du marché noir, il s’agissait d’une violation évidente de la convention sur les armes biologiques.
Les expériences américaines de production d’anthrax menées sous l’administration Clinton, détaillées par Judith Miller et ses collaborateurs dans le livre « Germs » paru en 2001, ont également été considérées par les experts comme une transgression de la convention sur les armes biologiques.
Il a fallu plus de 40 ans, mais en 2022, tous les stocks déclarés d’armes chimiques avaient été détruits par les États-Unis, la Russie et les 193 autres États membres signataires. La convention sur les armes chimiques prévoit des inspections surprises et des sanctions.
Les pandémies et la guerre biologique ont les mêmes sources de financement
Nous sommes en 2023. La Convention sur les armes biologiques est en vigueur depuis 48 ans. Or, le mur érigé à l’encontre du développement, de la production et de l’utilisation d’armes biologiques ne cesse de s’éroder. Entre-temps, surtout depuis les lettres empoisonnées à l’anthrax de 2001, les pays (les États-Unis en tête) ont renforcé leurs capacités de « biodéfense » et de « préparation aux pandémies ».
Sous prétexte de se préparer à se défendre en cas de guerre biologique et de pandémies, les pays ont mené des activités de recherche et de développement à « double usage » (offensif et défensif). Cela a conduit à la création de micro-organismes plus mortels et plus transmissibles. La recherche sur la guerre biologique a été rebaptisée « recherche à gain de fonction ». Ce nouveau vocabulaire permet de se soustraire à l’encadrement rigoureux qui balise normalement ces domaines.
La recherche sur le gain de fonction est un euphémisme désignant la recherche sur la guerre biologique (ou bactériologique). Elle est tellement risquée que son financement a été interdit par le gouvernement américain (mais uniquement pour les coronavirus du SRAS et les virus de la grippe aviaire) en 2014, à la suite d’un tollé de centaines de scientifiques. En 2017, les docteurs Tony Fauci et Francis Collins ont levé le moratoire, sans mettre en place de véritables garde-fous. Les Dr Fauci et Collins ont même eu la témérité de publier leur opinion selon laquelle le risque lié à la recherche sur le gain de fonction « en vaut la peine ».
Qu’entend-on par gain de fonction ? Cela signifie que les scientifiques utilisent une variété de techniques pour transformer des virus et bactéries ordinaires ou pathogènes en armes biologiques. La recherche est justifiée par le fait que les scientifiques peuvent devancer la nature et prédire ce qui pourrait constituer une menace de pandémie éventuelle ou une arme biologique qu’un autre pays pourrait utiliser. Les fonctions acquises par les virus ou autres micro-organismes pour être transformés en agents de guerre biologique se répartissent en deux catégories : l’augmentation de leur transmission ou l’augmentation de leur pathogénicité (gravité de la maladie).
1) De l’augmentation de la transmissibilité peut résulter ce qui suit :
a) une réduction du nombre de copies virales ou bactériennes nécessaires pour provoquer l’infection ;
b) la génération de titres viraux ou bactériens plus élevés ;
c) un nouveau mode de propagation, tel que l’ajout d’une transmission par voie aérienne à un virus qui ne se propageait auparavant que par les fluides corporels ;
d) une gamme élargie d’organes sensibles (tropisme tissulaire). Par exemple, le virus peut être transmis non seulement par les sécrétions respiratoires, mais aussi par l’urine ou les selles, ce qui a été constaté dans le cas du SRAS-CoV-2 ;
e) l’élargissement de la gamme d’hôtes. Par exemple, au lieu d’infecter des chauves-souris, le virus passe par des souris humanisées et s’acclimate ainsi au récepteur humain ACE-2, ce qui a été constaté dans le cas du SRAS-CoV-2 ;
f) l’amélioration de l’entrée cellulaire. Par exemple par l’ajout d’un site de clivage de la furine, qui a été trouvé dans le SRAS-CoV-2.
2) Une pathogénicité accrue peut amener un agent pathogène à provoquer, par diverses méthodes, une maladie grave ou la mort, plutôt que d’une maladie bénigne. Le SARS-CoV-2 présentait des homologies inhabituelles (courts segments identiques) avec des tissus humains et le virus VIH, ce qui peut avoir causé ou contribué à la phase auto-immune tardive de la maladie, à l’altération de la réponse immunitaire et au « long Covid ».
Le financement relatif aux pandémies (naturelles), y compris la grippe annuelle, a été regroupé avec le financement de la défense biologique
Aux États-Unis, il est possible que le mélange des financements ait été conçu pour que le Congrès et le public américains aient du mal à discerner les postes budgétaires financés et quelle part de l’argent des contribuables était consacrée aux travaux sur le gain de fonction. Mettre en évidence le financement de cette recherche, aurait pu amener ces derniers à demander des justifications, compte tenu de leur interdiction par la Convention sur les armes biologiques, et à remettre en question leur valeur. L’ancien directeur du CDC, Robert Redfield, médecin et virologue, a déclaré au Congrès en mars 2023 que la recherche sur le gain de fonction n’avait pas abouti, à sa connaissance, à un seul médicament, vaccin ou thérapie bénéfique.
Des organisations à but non lucratif et des universités comme EcoHealth Alliance et son école vétérinaire affiliée de l’université de Californie à Davis ont servi d’intermédiaires pour masquer le fait que les contribuables américains soutenaient des scientifiques dans des dizaines de pays étrangers, dont la Chine, pour des recherches qui incluaient le gain de fonction sur des coronavirus.
C’est peut-être pour maintenir ce financement lucratif que les craintes de pandémies ont été délibérément amplifiées au cours des dernières décennies. Le gouvernement fédéral a consacré des sommes considérables à la préparation aux pandémies au cours des 20 dernières années, en les acheminant par l’intermédiaire de nombreuses agences fédérales et nationales. Le budget proposé par le président Biden pour 2024 demandait « 20 milliards de dollars de financement obligatoire pour l’ensemble du ministère de la Santé et des services sociaux pour la préparation aux pandémies ». Le ministère de la Sécurité intérieure, le ministère de la Défense et le département d’État disposent également de financement supplémentaire pour la préparation aux pandémies, tant pour les dépenses nationales qu’internationales.
Bien que le XXe siècle n’ait connu que trois pandémies importantes (la grippe espagnole de 1918-1919 et deux pandémies de grippe en 1957 et 1968), les médias grand public nous ont présenté des pandémies presque sans interruption au cours du XXIe siècle : SRAS-1 (2002-2003), grippe aviaire (depuis 2004), grippe porcine (2009-2010), Ebola (2014, 2018-2019), Zika (2016), Covid (2020-2023) et variole du singe (2022-2023). Et l’on ne cesse de nous dire que d’autres sont à venir, et risquent d’être pires.
Depuis plus de vingt ans, l’on nous assaille d’avertissements et de menaces afin de susciter une peur profonde des maladies infectieuses. Il semble que cela ait fonctionné.
Les génomes du SRAS-CoV-2 et du virus de la variole du singe (monkeypox, MPOX) de 2022 nous incite à soupçonner qu’il s’agit d’agents pathogènes issus de la bio-ingénierie et provenant de laboratoires. Dès le 1er février 2020, le groupe de virologues constitué par les docteurs Fauci et Farrar a identifié 6 parties inhabituelles (probablement issues de laboratoires) du génome du SRAS-CoV-2 et d’autres ont été suggérées par la suite.
Je ne sais pas si ces virus ont été libérés accidentellement ou délibérément. Toutefois, je penche en faveur de la conclusion selon laquelle les deux virus ont été volontairement diffusés, étant donné les lieux où ils sont apparus pour la première fois, les vidéos bien orchestrées, mais truquées, diffusées par les médias grand public relatives au Covid, et les réponses officielles, illogiques et nuisibles, pour chacun d’entre eux. Dans les deux cas, le public n’a pas reçu d’informations précises sur la gravité des infections ni sur leur traitement, et les réponses des gouvernements occidentaux n’ont jamais été logiques sur le plan scientifique. Pourquoi ne pas traiter les cas à un stade précoce, comme les médecins le font pour toutes les autres affections ? Il semble que nos gouvernements aient profité du fait que peu de gens en savaient assez sur les virus et les traitements pour évaluer de manière indépendante les informations qu’ils recevaient.
Pourtant, en août 2021, il n’y a pas eu de changement de cap correspondant. Au contraire, le gouvernement fédéral a redoublé d’efforts, imposant des vaccins à 100 millions d’Américains en septembre 2021, en dépit des « données scientifiques ». Aucune agence fédérale n’a encore fait de déclaration précise sur le manque d’utilité du port du masque pour un virus aéroporté (c’est probablement la raison pour laquelle le gouvernement américain et l’OMS ont retardé de 18 mois la reconnaissance de la propagation aérienne du Covid), sur le manque d’efficacité de la distanciation sociale pour un virus aéroporté, et sur les risques et la faible efficacité de deux médicaments oraux dangereux (Paxlovid et Molnupiravir) achetés par le gouvernement américain pour le traitement du Covid, et délivrés sans prescription médicale.
A ce jour, aucune agence fédérale n’a reconnu la vérité au sujet de la sécurité et l’efficacité des vaccins Covid. Au lieu de cela, les CDC font des jeux de définitions et statistiques pour continuer à prétendre qu’ils sont « sécuritaires et efficaces ». Pire encore, malgré ce que nous savons, un vaccin Covid de troisième génération doit être mis sur le marché cet automne et la FDA a annoncé que des doses de rappel annuel sont prévues.
Tout cela continue, même un an après que nous ayons appris (avec des corroborations continues) que les enfants et les adultes en âge de travailler meurent à des taux supérieurs de 25% ou plus aux moyennes attendues, et que les effets secondaires vasculaires de la vaccination sont la seule explication raisonnable.
Mutilé par la myocardite
Les deux vaccins américains contre la variole du singe et la variole (Jynneos et ACAM2000) sont connus pour provoquer des myocardites, tout comme les trois vaccins Covid actuellement disponibles aux États-Unis : les vaccins Covid à ARNm de Pfizer et Moderna et le vaccin Novavax. Le vaccin Novavax a d’abord été associé à la myocardite lors de son essai clinique. Toutefois, cette association a été minimisée et le vaccin a été autorisé et déployé malgré tout, à l’intention de ceux qui refusaient les vaccins à ARNm en raison de l’utilisation de tissus fœtaux dans leur fabrication.
Voici ce que les évaluateurs de la FDA ont écrit sur les effets secondaires cardiaques observés lors des essais cliniques de Jynneos :
« Jusqu’à 18,4% des sujets dans 2 études ont développé une augmentation de la troponine [une enzyme du muscle cardiaque indicatrice des dommages cardiaques] à la suite de la vaccination. Cependant, toutes ces augmentation de troponine étaient asymptomatiques et sans événement clinique associé ou autre signe de myopéricardite ». (p. 198)
« Le demandeur s’est engagé à mener une étude observationnelle, après la commercialisation, dans le cadre de son PVP de routine. Le promoteur recueillera des données sur les événements cardiaques qui surviennent et sont évalués dans le cadre des soins médicaux de routine. » (p. 200)
En d’autres termes, alors que la seule façon de provoquer un taux élevé de troponine est de détruire les cellules du muscle cardiaque, la FDA n’a pas exigé d’étude spécifique pour évaluer l’étendue des dommages cardiaques qui pourraient être causés par le vaccin Jynneos lorsqu’elle a délivré sa licence pour 2019. Quelle est la fréquence de myocardites post-vaccination ? Si l’augmentation du taux d’enzymes cardiaques est utilisé comme indicateur, le vaccin ACAM2000 a induit ce phénomène chez une personne sur trente qui le recevait pour la première fois. Si d’autres mesures sont utilisées, telles que l’imagerie par résonnance magnétique (IRM) ou une échographie cardiaque anormale, selon les CDC, la myocardite survient chez une personne vaccinée sur 175. Je n’ai pas vu d’étude sur les taux de myocardite pour le vaccin Jynneos, mais une augmentation non spécifiée des enzymes cardiaques a été observée chez 10% et 18% des receveurs de Jynneos dans deux études non publiées, disponibles sur le site web de la FDA. Je pense que les vaccins Covid à ARNm provoquent des myocardites dans cette gamme générale, dont la grande majorité n’est pas diagnostiquée et est probablement asymptomatique.
Pourquoi nos gouvernements imposeraient-ils cinq vaccins différents, tous connus pour provoquer une myocardite, à de jeunes hommes qui ont couru un risque extrêmement faible avec le Covid et qui, s’ils ne sont pas immunodéprimés, n’ont que quelques boutons pendant 1 à 4 semaines, induits par la variole du singe ? Il s’agit d’une question importante. Cela n’est pas logique sur le plan médical. D’autant plus que le vaccin ne fonctionne probablement pas – Jynneos n’a pas empêché l’infection chez les singes sur lesquels il a été testé et n’a pas non plus donné de bons résultats chez l’humain. Les CDC n’ont pas publié leur essai clinique du vaccin Jynneos chez les quelques 1600 agents de santé congolais réalisé en 2017. Les CDC ont commis l’erreur d’annoncer l’essai clinique et de publier l’annonce sur clinicaltrials.gov comme il se doit, mais ils n’ont pas communiqué les résultats obtenus, ni au comité consultatif , ni au public.
Il ne fait aucun doute que les agences de santé américaines sont coupables de malversations, de fausses déclarations et d’avoir délibérément infligé des dommages à leurs propres populations. Les agences de santé ont d’abord semé la terreur avec des prédictions apocalyptiques, puis elles ont exigé que les patients soient médicalement négligés, et enfin, elles ont imposé des vaccins et des traitements qui s’apparentent à des fautes professionnelles.
Les vaccins Covid : l’œuf ou la poule ?
Les autorités sanitaires étaient peut-être ignorantes, expliquant les premiers mois de déploiement des vaccins Covid. Or, une fois qu’elles ont compris, et même annoncé en août 2021, que les vaccins n’empêchaient pas de contracter ou de transmettre le Covid, pourquoi nos autorités sanitaires ont-elles continué à administrer les vaccins Covid à des populations à faible risque qui étaient manifestement plus exposées à un effet secondaire résultant du vaccin qu’au Covid lui-même ? Et ce, dans un contexte où, le temps passant, les nouveaux variants sont de moins en moins virulents ?
Une fois que l’on reconnaît ces faits fondamentaux, l’on pourrait penser que les vaccins n’ont peut-être pas été conçus pour la pandémie, mais plutôt que la pandémie a été conçue pour déployer les vaccins. Nous ne pouvons en être sûrs, mais devrions tout de même être méfiants. Et le fait que les États-Unis aient conclu des contrats équivalent à 10 doses par personne (voir les achats ici, ici, ici, ici et ici), tout comme l’Union européenne (ici et ici) et le Canada, devrait nous rendre encore plus méfiants : rien ne justifie d’acheter autant de doses de vaccins dont la capacité à prévenir l’infection et la transmission sont douteuses, et où leur sécurité est suspecte ou inquiétante.
Pourquoi les gouvernements voudraient-ils 10 doses par personne ? Trois peut-être. Mais dix ?! Même si des rappels annuels étaient prévus, il n’y avait aucune raison de signer des contrats pour une quantité de vaccins suffisante pour les neuf prochaines années pour un virus qui évolue rapidement. L’Australie a acheté huit doses par personne. Le 20 décembre 2020, la Nouvelle-Zélande avait obtenu le triple des vaccins dont elle avait besoin et a proposé d’en partager une partie avec les pays voisins. Personne ne s’est manifesté pour expliquer la raison de ces achats excessifs.
En outre, il n’est pas nécessaire de disposer d’un passeport vaccinal (autrement dit une pièce d’identité numérique, c’est-à-dire une application téléphonique qui en Europe incluait un mécanisme pour un système de paiement électronique), sauf si l’on prévoit des doses de rappel à fréquence régulière. Les vaccins ont-ils été conçus comme un moyen de mettre nos vaccins, nos dossiers médicaux, nos documents officiels et, surtout, de transférer nos transactions financières en ligne, le tout géré par une application téléphonique ? Il s’agirait d’une atteinte à la vie privée et d’un pas vers la mise en place d’un système de crédit social en Occident. Il est intéressant de noter que des passeports vaccinaux étaient déjà prévus pour l’Union européenne d’ici 2018.
Un traité sur les pandémies et ses amendements : proposés par les mêmes individus qui ont mal géré les trois dernières années – est-ce pour nous sauver d’eux-mêmes ?
Les mêmes gouvernements, américain et autres, ainsi que l’OMS, – qui ont imposé des mesures draconiennes aux citoyens pour les forcer à se faire vacciner, à prendre des médicaments dangereux, coûteux et expérimentaux, qui ont refusé des traitements efficaces, qui ont refusé de nous dire que la plupart des patients qui ont dû être soignée à l’unité de soins intensifs en raison du Covid souffraient d’une carence en vitamine D et que la vitamine D réduit la gravité du Covid, – ont décidé, en 2021, que nous avions soudain besoin d’un traité international sur les pandémies. Pourquoi ? Pour prévenir et améliorer la gestion de pandémies futures ou de guerres biologiques… afin d’éviter la souffrance que nous avons subie au cours de la pandémie de Covid, insistent-ils. L’OMS en assurerait la gestion.
Pour paraphraser Ronald Reagan, les mots « Je suis de l’OMS et je suis là pour vous aider » devraient être les mots les plus terrifiants à entendre après avoir vécu le fiasco du Covid.
L’OMS et les gouvernements omettent commodément de mentionner que c’est de leur mauvaise gestion médicale, des impitoyables confinements et de leur mauvaise gestion de l’économie dont nous avons tant souffert. Selon la Banque mondiale, 70 millions de personnes supplémentaires ont été plongées dans l’extrême pauvreté rien qu’en 2020. Cette situation est due aux politiques mises en place par les dirigeants de nos nations, leurs conseillers d’élite et l’Organisation mondiale de la santé, qui a recommandé de suspendre l’activité économique, ce que la plupart des pays ont fait sans poser de questions. L’OMS est parfaitement consciente des conséquences des confinements et du ralentissement économique, puisqu’elle a publié ce qui suit :
« La malnutrition a persisté sous toutes ses formes et les enfants en ont payé le prix fort : en 2020, on estime que plus de 149 millions d’enfants de moins de cinq ans souffriront d’un retard de croissance, c’est-à-dire qu’ils seront trop petits pour leur âge, et que plus de 45 millions d’enfants seront trop maigres pour leur taille […] ».
La famine a peut-être fait plus de victimes que le Covid lui-même, et parmi ces dernières, les plus jeunes sont surreprésentés, plutôt que les plus âgés. Pourtant, l’OMS vante l’équité, la diversité et la solidarité, mais a elle-même provoqué la pire crise alimentaire de notre époque, non pas due à des désastres naturels, mais créée par l’homme.
Comment prendre au sérieux les déclarations de ces mêmes fonctionnaires qui ont mal géré le Covid, et qui prétendent maintenant nous épargner une future catastrophe médicale et économique, en employant les mêmes stratégies que celles déployées pour le Covid, à l’origine du dernier désastre ? Le fait qu’aucun gouvernement ou responsable sanitaire n’ait reconnu ses erreurs ne devrait-il pas nous convaincre de ne plus jamais les laisser gérer quoi que ce soit ? Pourquoi les laisser élaborer un traité international et de nouveaux amendements au Règlement sanitaire international (RSI) existant qui lieront nos gouvernements pour toujours aux diktats de l’OMS ?
Ces diktats, soit dit en passant, comprennent la mise au point de vaccins à une vitesse fulgurante, le pouvoir d’imposer les médicaments qui seront disponibles ou interdits, la surveillance des médias visant à déceler toute « désinformation », et la censure, afin que seul le discours de l’OMS en matière de santé publique domine.
Le projet de traité de l’OMS sur les pandémies exige le partage d’agents pathogènes potentiellement pandémiques – un euphémisme pour désigner la prolifération des armes biologiques
De toute évidence, la meilleure façon d’éviter une nouvelle pandémie est de cesser immédiatement de financer la recherche sur le gain de fonction et de se débarrasser de tous les organismes à gain de fonction existants. Que tous les pays fassent d’immenses feux de joie et brûlent leurs créations diaboliques, tout en permettant aux autres pays d’inspecter leurs installations biologiques et leurs archives.
Or, l’OMS, dans son projet de traité sur les pandémies de juin 2023, propose un plan allant exactement à l’encontre de ce principe. Le projet de traité de l’OMS, auquel la plupart des dirigeants nationaux semblent avoir adhéré, prévoie que tous les gouvernements partageront tous les virus et bactéries qu’ils auront découverts et qui auront un « potentiel pandémique ». Ils les partageront avec l’OMS et d’autres gouvernements, en mettant leurs séquences génomiques en ligne. Non, je n’invente rien. (Voir les captures d’écran du projet de traité ci-dessous). L’OMS et tous les Dr Fauci de ce monde auraient alors accès à tous les virus dangereux nouvellement identifiés. Les pirates informatiques auraient-ils également accès aux séquences ? Ce plan de lutte contre la pandémie ne devrait pas vous rassurer.
D’un côté, le Dr Fauci, Dr Tedros et leurs semblables à l’OMS, ainsi que les gestionnaire des secteurs de la biodéfense et de la recherche biomédicale pour les États, qui accède à toujours plus d’armes biologiques potentielles. Et de l’autre, le reste d’entre nous, à leur merci.
Ce plan mal conçu s’appelait autrefois la prolifération des armes de destruction massive – un secteur presque certainement illégal (voir, par exemple, la résolution 1540 du Conseil de sécurité adoptée en 2004). Or, il s’agit du plan de l’OMS et de beaucoup de nos dirigeants. Les gouvernements se partageront tous les armes.
L’énigme du séquençage génomique
Toujours dans le cadre de ce traité, les gouvernements doivent s’engager à construire des laboratoires biologiques qui doivent inclure le séquençage génomique. Aucune explication n’a été donnée sur la raison pour laquelle chaque pays doit installer ses propres laboratoires de séquençage du génome. Bien entendu, ces laboratoires séquenceront les nombreux virus qui seront détectés dans le cadre des activités de surveillance des agents pathogènes que les pays doivent mener, conformément au projet de traité de l’OMS. Mais les mêmes techniques peuvent être utilisées pour séquencer les génomes humains. Le fait que l’UE, le Royaume-Uni et les États-Unis soient actuellement engagés dans des projets visant à séquencer environ 2 millions de génomes de leurs citoyens donne à penser qu’ils pourraient vouloir collecter d’autres génomes d’Africains, d’Asiatiques et d’autres personnes.
On pourrait penser qu’il s’agit simplement d’un partage de la science de pointe avec nos voisins moins développés. Mais il est curieux que l’accent soit mis à ce point sur la génomique, alors que le projet de traité ou les amendements au Règlement sanitaire international (RSI) n’abordent pas la question de la mise au point de médicaments adaptés aux pandémies.
Nous ne pouvons pas oublier que la quasi-totalité des pays développés ont restreint l’utilisation de l’hydroxychloroquine, de l’ivermectine et d’autres médicaments génériques sécuritaires pendant la pandémie. Rétrospectivement, la seule explication logique de cette action sans précédent était de préserver le marché des médicaments et vaccins brevetables coûteux, et éventuellement de prolonger la pandémie.
Les génomes offrent d’importants profits potentiels et constituent le substrat d’expériences transhumanistes qui pourraient inclure des bébés sur mesure.
La dernière version (c’est-à-dire le projet du Bureau de l’OMS) du traité sur les pandémies est accessible ici. Je fournis des captures d’écran pour illustrer des points supplémentaires.
Projet de traité, pages 11 et 12 :
Le projet de traité de l’OMS encourage la recherche sur les gains de fonction
Quels sont les autres éléments du traité ? Le traité encourage explicitement la recherche sur les gains de fonction (visant à rendre les micro-organismes plus transmissibles ou plus pathogènes). Le traité exige que les obstacles administratifs à ce type de recherche soient réduits au minimum et que les conséquences imprévues (pandémies) soient évitées. Bien sûr, lorsqu’on effectue ce type de recherche, il n’est pas toujours possible d’éviter les fuites et les pertes d’agents pathogènes. Le programme conjoint CDC-USDA Federal Select Agent Program (FSAP), qui monitore la recherche sur les agents pathogènes potentiellement pandémiques, recueille des rapports sur environ 200 accidents ou fuites par an dans des laboratoires situés aux États-Unis. Le rapport annuel du FSAP pour 2021 note :
« En 2021, le FSAP a reçu 8 rapports de pertes, 177 rapports de mises en liberté et aucun rapport de vol [d’agents pathogènes]. »
La recherche sur les agents pathogènes mortels ne peut se faire sans risques, tant pour les chercheurs que pour le monde extérieur.
Projet de traité, page 14 :
Il faut normalement 10 à 15 ans pour mettre au point des vaccins. Au cas où vous penseriez que les vaccins Covid ont mis trop de temps à être déployés (326 jours entre la disponibilité de la séquence virale et l’autorisation du premier vaccin Covid américain), le projet de traité de l’OMS prévoit de raccourcir les essais cliniques. Il y aura de nouvelles plateformes d’essais cliniques. Les pays doivent accroître leur capacité en matière d’essais cliniques. (Cela pourrait-il signifier qu’il faut obliger les gens à devenir des sujets humains dans des endroits isolés comme l’Afrique, par exemple ?) Et il y aura de nouveaux « dispositifs pour faciliter l’interprétation rapide des données issues des essais cliniques » ainsi que des « stratégies pour gérer les risques de responsabilité ».
Projet de traité, page 16 :
La responsabilité des fabricants et des gouvernements en cas de lésions dues aux vaccins doit être « gérée »
Les pays sont censés utiliser les « modèles pertinents existants » comme référence pour l’indemnisation des lésions causées par les vaccins pandémiques. Bien entendu, la plupart des pays n’ont pas ce système d’indemnisation et, lorsqu’ils en ont un, les compensations sont généralement minimes.
Le programme du gouvernement américain doit-il servir de modèle pour la mise en œuvre au niveau international ?
Le programme du gouvernement américain pour les blessures dues aux produits pandémiques Covid (le Countermeasures Injury Compensation Program ou CICP) a indemnisé exactement 4 (oui, quatre) des 12.000 demandeurs pour des lésions liées aux produits Covid au 1er août 2023. Tous les médicaments et vaccins pandémiques de l’UE confèrent au gouvernement et aux fabricants une protection en matière de responsabilité (cela comprend les anticorps monoclonaux, le remdesivir avant autorisation, le paxlovid, le molnupiravir, certains ventilateurs et tous les vaccins Covid) et le seul moyen d’obtenir une indemnisation pour les lésions est de passer par ce programme.
Un peu plus de 1000 des 12.000 demandes ont été traitées, tandis que 10.887 sont en attente d’examen. Vingt demandes ont été jugées éligibles et sont en attente d’un examen des compensations. Les compensations ne sont versées que pour les frais médicaux non couverts ou la perte de revenus. Au total, 983 personnes, soit 98% de celles dont la demande a été examinée, ont vu leur demande rejetée, souvent parce qu’elles n’avaient pas respecté le bref délai de prescription d’un an. Les données les plus récentes de ce programme sont présentées ci-dessous :
Extrait traduit du site web :
Sous l’article « Renforcement de la réglementation », le projet de traité exige également, en situation d’urgence, l’assouplissement de la réglementation en matière de médicaments et de vaccins. Comme annoncé au Royaume-Uni, l’approbation [préalable] de [médicaments ou vaccins par des] « partenaires de confiance » accélérera l’approbation de ces produits pour d’autres nations. Il s’agit de s’orienter vers une approbation ou une autorisation unique de l’agence de réglementation (p. 25) [pour toutes les nations].
Projet de traité, page 27 :
Prochaine étape : des vaccins développés en 100 jours
Un plan visant à développer des vaccins en 100 jours et à les faire fabriquer en 30 jours supplémentaires a été largement diffusé par l’organisation à but non lucratif CEPI, fondée en 2017 par Sir Dr Jeremy Farrar, qui est maintenant le scientifique en chef de l’OMS. Le plan a été repris par les gouvernements américain et britannique et a reçu un certain soutien de la part du G7 en 2021. Ce délai ne permettrait que des essais très brefs sur l’humain ou, plus vraisemblablement, limiterait les essais aux animaux. Pourquoi un pays s’engagerait-il dans cette voie ? Est-ce là ce que nous voulons, nous les citoyens ?
En outre, le plan repose sur le fait que les vaccins ne sont testés que pour leur capacité à induire des anticorps, ce que l’on appelle l’immunogénicité, et non pour leur capacité à prévenir la maladie, du moins dans un premier temps. D’après ce que j’ai compris de la réglementation de la FDA, les taux d’anticorps ne constituent pas un substitut acceptable de l’immunité, à moins qu’il n’ait été démontré qu’ils sont réellement en corrélation avec la protection. Toutefois, les récentes décisions de la FDA en matière de vaccins ont supprimé tout cela et les vaccins sont désormais approuvés sur la base des seuls titres d’anticorps. Le comité consultatif des vaccins de la FDA a demandé de meilleurs indicateurs d’efficacité, mais les conseillers ont également voté en faveur de l’approbation ou de l’autorisation de vaccins en l’absence de toute mesure réelle démontrant leur efficacité. J’ai appris cela parce que je regarde les réunions du comité consultatif sur les vaccins de la FDA et que j’en tiens un blog en direct.
Nous savons tous combien de temps il a fallu pour que la population prenne conscience du fait que les vaccins Covid n’empêchent pas la transmission et n’offrent un effet protecteur aux vaccinés que pendant quelques semaines ou quelques mois. Le gouvernement américain ne l’a toujours pas admis officiellement, même si la directrice des CDC, Rochelle Walensky, a admis cette vérité lors d’une interview avec Wolf Blitzer sur CNN le 6 août 2021.
Il est essentiel que le public comprenne que les essais visant à assurer la sécurité des vaccins ne peuvent être réalisés que sur des êtres humains, car les animaux réagissent différemment des humains aux médicaments et aux vaccins. Par conséquent, des essais limités sur les animaux signifieraient qu’il n’y a pas eu de tests d’innocuité à proprement parler. Mais il est également inacceptable de ne tester les vaccins chez l’homme que pendant de courtes périodes.
Le fait de ne tester les vaccins qu’avec de courts essais chez l’homme (les essais de Pfizer n’ont suivi qu’un « sous-ensemble de sécurité » de sujets d’essai pendant une durée médiane de deux mois) a permis le déploiement des vaccins Covid sans que la population ne soit informée que ces vaccins peuvent provoquer une myocardite, une mort subite, le plus souvent chez de jeunes hommes sportifs adolescents ou d’une vingtaine d’années, ou encore une myriade d’autres affections.
Enfin, le plan de fabrication rapide des vaccins a échoué à examiner de manière approfondie d’éventuelles défaillances des processus de fabrication. Avec le projet actuel d’installations de fabrication décentralisées et éloignées, censées être nécessaires pour parvenir à l’équité en matière de vaccins pour tous, il n’y a pas suffisamment d’organismes de réglementation capables de les inspecter et de les approuver.
L’OMS respectera-t-elle les droits de l’homme ?
La nécessité de respecter « les droits de l’homme, la dignité et la liberté des personnes » est inscrite dans le Règlement sanitaire international (RSI) actuel, ainsi que dans d’autres traités des Nations unies. Cependant, le libellé garantissant les droits de l’homme, la dignité et la liberté des personnes a été supprimée de façon péremptoire des amendements proposés au RSI, et ce, sans explication. La suppression des passages garantissant le respect des droits de l’homme n’est pas passée inaperçue, et l’OMS a été largement critiquée pour cela.
Apparemment, l’OMS a réagit à ces critiques. Ainsi, le libellé garantissant le respect des droits de l’homme, auparavant retiré des amendements au règlement sanitaire international, a été inséré dans la dernière version du traité sur les pandémies.
Conclusions
Comme le prédit depuis longtemps la science-fiction, nos réalisations bio- et cyber-scientifiques nous ont finalement échappé. Nous sommes en mesure de produire des vaccins en 100 jours et de les fabriquer en 130 jours, mais rien ne garantira qu’ils seront sécuritaires, efficaces ou fabriqués de manière adéquate. Nous pouvons nous attendre à des profits mirobolants, mais à aucune conséquence pour les fabricants.
Nos gènes peuvent être décodés et les fruits de la médecine personnalisée mis à notre disposition. Ou peut-être nos gènes seront-ils brevetés et vendus au plus offrant. Nous pourrions être en mesure de sélectionner des caractéristiques particulières chez nos enfants, mais en même temps, une sous-classe humaine pourrait être créée.
Nos communications électroniques peuvent être complètement surveillées et censurées, et une information uniformisée peut être imposée à tout le monde. Mais pour qui cela serait-il bon ?
De nouvelles armes biologiques peuvent être conçues. Elles peuvent être partagées. Cela permettra peut-être d’accélérer le développement de vaccins et de thérapies. Mais qui profite réellement de ce système ? Qui paie le prix des accidents ou de l’utilisation délibérée ? Ne serait-il pas préférable de mettre un terme à la recherche dite de gain de fonction par des restrictions de financement et d’autres réglementations, plutôt que d’encourager sa prolifération ?
Il s’agit de questions importantes pour l’humanité, et j’encourage tout le monde à participer à la conversation.
De l’Institut Brownstone
Source : EpochTimes
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