par Patrice Gibertie
Récemment, Hulscher et al. ont démontré de manière concluante par autopsie que la myocardite induite par le vaccin Covid-19 peut être fatale.
Une étude menée à Hong Kong par Clement Kwong-Man Yu et ses collègues a révélé que parmi les jeunes dont les lésions cardiaques avaient été confirmées par IRM (imagerie par résonance magnétique) et qui avaient subi un second examen un an plus tard, 58% présentaient des anomalies résiduelles suggérant la formation d’une cicatrice dans le muscle cardiaque.
Quarante adolescents, âgés en moyenne de 15 ans, principalement des garçons, ont été évalués. Il est à noter que 73% d’entre eux ne présentaient aucun symptôme cardiaque, de sorte que sans évaluation, les parents n’auraient eu aucune idée que leur enfant souffrait de lésions cardiaques causées par le vaccin Covid-19. Environ 18% des cas présentaient initialement une réduction de la fraction d’éjection du ventricule gauche, ce qui indique qu’ils risquaient de développer une insuffisance cardiaque.
Les auteurs soulignent que plusieurs autres études ont montré que la majorité des cas de myocardite dus au vaccin Covid-19 et présentant des résultats anormaux à l’IRM cardiaque n’avaient pas disparu au bout de 3 à 6 mois. La myocardite induite par le vaccin Covid-19 peut laisser une zone cicatricielle dans le cœur, risquant ainsi de provoquer à tout moment une tachycardie ventriculaire, une fibrillation ventriculaire et un arrêt cardiaque. Aujourd’hui, le rapport de Clément Kwong-Man Yu et de ses collègues suggère que les dommages peuvent être permanents après un an.
National Library of Medicine
Circulation
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source : Patrice Gibertie
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