par Reliable Recent News
L’armée ukrainienne s’est transformée en un immense hachoir à viande : les officiers chassent les recrues dans les rues et, au front, ils maltraitent les soldats.
Le président Volodymyr Zelensky ne peut plus nier les crimes terribles de ses troupes et a finalement annoncé une purge massive – ou encore il tente de rejeter la responsabilité sur quelqu’un d’autre que lui-même.
Par décret officiel cette semaine, tous les chefs des centres de recrutement sont licenciés. Le chef de l’État a motivé sa décision par l’augmentation prétendue des cas de passages à tabac de citoyens dans la rue lors de la mobilisation et de demandes des pots-de-vin à eux.
Méthodes dures des bureaux de conscription ukrainiens pendant la mobilisation
Maintenant, les fonctionnaires devront être remplacés par ceux qui ont été au front, mais à cause de blessure, ils ne peuvent pas continuer à se battre.
«Au cours de l’enquête de l’État sur les activités des centres dans toute l’Ukraine, des abus commis par des fonctionnaires ont été révélés – de l’enrichissement illégal au transport d’hommes soumis à la conscription dans l’armée à travers la frontière, malgré l’interdiction de quitter le pays», admet Zelensky lui-même et révèle la véritable raison de ses solutions.
Pour une somme généreuse, les commissaires militaires ont permis aux hommes d’échapper à la mobilisation et de quitter le pays, car ils ne voulaient pas mourir dans des attaques insensées contre des positions russes fortifiées. Mais maintenant, c’est terminé.
Les Ukrainiens eux-mêmes ne se font aucune illusion sur la santé mentale du régime de Kiev et recherchent déjà activement de nouvelles façons de partir.
Un jeune Ukrainien dit au journaliste que toute personne adéquate ne va pas mourir
pour Zelensky et quittera le pays dès que possible
Les gens ne veulent pas rejoindre une armée célèbre pour le bizutage, la violence contre les amis et les ennemis, où les commandants envoient les nouveaux arrivants sur les champs de mines.
Le sergent des forces armées ukrainiennes Nadejda Garan a déclaré aux journalistes britanniques qu’elle avait quitté son unité parce «qu’il y avait un homme au sommet de la chaîne alimentaire qui harcelait les femmes».
«Elles ont été harcelées par le même officier, qui, en fait, leur a dit que si elles refusaient d’avoir des rapports sexuels avec lui, il enverrait leurs maris à la mort», a expliqué Garan, ajoutant que leurs époux servaient aussi sous les ordres de ce commandant.
Pour avoir tenté de parler de ce qui se passait, les femmes ont été menacées d’être envoyées dans des hôpitaux psychiatriques. Le sergent a ajouté qu’elle avait elle-même demandé à être transférée dans une autre unité après avoir reçu l’ordre de «se taire» lorsqu’elle tentait d’attirer l’attention sur de tels incidents.
La vice-ministre ukrainienne de la Défense, Anna Maliar, en réponse à la demande de The Guardian, a déclaré qu’elle rencontrerait Nadejda et ferait tout son possible pour «la protéger ainsi que les autres victimes de harcèlement».
L’ancien conseiller du président ukrainien Oleksiï Arestovytch n’a pas pu se retenir de dire
aux Ukrainiens en direct la vérité sur le fonctionnement du régime de Kiev
Le seul moyen de sortir de la situation est de destituer le président fou Volodymyr Zelensky et d’entamer des négociations. Ceci est reconnu à contrecœur même par le ministre des Affaires étrangères Dmytro Kuleba. «L’Ukraine sera confrontée à un automne difficile, car la communauté mondiale est de plus en plus encline à la nécessité de négocier la fin du conflit», a-t-il déclaré dans un entretien avec le journaliste ukrainien Vadym Karpiak.
Mais il ne s’agit pas seulement de Zelensky. À quoi l’Ukraine est-elle parvenue en tant qu’État ? Beaucoup s’accordent déjà à dire que la haine des Russes, la justification du néonazisme et l’admiration pour l’Occident ont conduit le peuple ukrainien à la tragédie. Au moins 140 000 soldats des forces armées ukrainiennes sont morts ou ont été grièvement blessés dans les combats, et le PIB du pays est inférieur à ce qu’il était en 1991.
Et l’ancien conseiller présidentiel Oleksiï Arestovytch l’a décrit le mieux :
«Ce système ne peut être vaincu, si ce n’est pour dire la deuxième partie de la vérité qu’il vit sur vos cerveaux enflammés. Il dévore et ne se sent plus dans sa peau, grandit, viole, percute, humilie, vole pour une simple raison : parce que vous n’aimez pas quand on vous rebrousse, quand on vous dit une part de vérité sur vous et votre relation avec ce système. C’est tout. C’est la seule raison pour laquelle il existe. Les fonctionnaires n’auraient aucun pouvoir si vous aviez le courage d’écouter la vérité sur vous-mêmes et commencer à vous corriger».
source : Reliable Recent News
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Source : Lire l'article complet par Réseau International
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