SARS-CoV-2 est une arme biologique nous dit David E.Martin

SARS-CoV-2 est une arme biologique nous dit David E.Martin

« Nous avons affaire au final à une arme biologique (un poison binaire) – sélectionnant le vivant – où le virus synthétique n’est rien comparativement à la délivrance du « vaccin » », a déclaré récemment David E.Martin au Covid Summit III au Parlement Européen « Il n’y a pas eu de fuite de laboratoire à Wuhan mais une bio-militarisation intentionnelle d’un virus »

SARS-CoV-2 est une arme biologique nous dit David E.Martin

« Nous avons affaire au final à une arme biologique (un poison binaire) – sélectionnant le vivant – où le virus synthétique n’est rien comparativement à la délivrance du « vaccin » », a déclaré récemment David E.Martin au Covid Summit III  au Parlement Européen

La 3e édition de l’International Covid Summit (ICS 2023) s’est déroulée au Parlement européen à Bruxelles, du 2 au 4 mai dernier. L’ICS est un espace créé pour que les médecins et professionnels du monde entier puissent échanger sur la gestion (ou l’origine en l’occurrence) de la crise sanitaire, dans un temps et un espace politique. Ici européen. Mais l’ICS n’est ni organisé ni financé par l’assemblée européenne. Il est à l’initiative de certains députés européens, co-animé principalement par 2 députés de la droite et extrême droite, et par trois députés non-inscrits, engagés dans la lutte contre la corruption. Plusieurs dizaines de scientifiques y ont été invités, dont du côté français, Christian Perronne et Louis Fouché, et côté américain, entre autres les docteurs Robert Malone et David E.Martin , diplômé en maîtrise en Sciences.

Martin y a été invité en tant que fondateur et président-directeur général de M.CAM, une société internationale qui a pour activité le “capital immatériel”. Soit tout ce qui englobe les éléments non monétaire et non physique qui développe de la valeur : par exemple, les brevets intellectuels. David Martin s’est spécialisé dans les dépôts de brevet de l’industrie pharmaceutique. Il a été engagé, par exemple, par le gouvernement US pour rechercher l’origine des souches d’anthrax des attaques du début de années 2000.

Tout au long de l’automne 2001, M-CAM a commencé à surveiller un nombre énorme d’agents pathogènes bactériens et viraux qui étaient brevetés par le NIH, le NIAID, l’USAMRIID et d’autres agences internationales. Concernant le coronavirus, leur préoccupation était qu’il était considéré non seulement comme un agent manipulable potentiel pour être utilisé comme vecteur de vaccin, mais aussi comme un candidat à l’arme biologique.

Au Sumitt III, David Martin nous a délivré sa version de l’histoire de Sars-Cov – 2 et de son vaccin.

Le coronavirus en tant que modèle d’agent pathogène, nous dit-il, a été isolé en 1965. Il était associé au simple rhume. Il a été immédiatement identifié comme un agent pathogène pouvant être utilisé et modifié pour toute une série d’objectifs. Et en 1967, il a été procédé aux premiers essais humains sur l’inoculation de personnes. Ensuite, 1975, 1976 et 1977, on a commencé à chercher comment modifier le coronavirus en l’introduisant dans différents animaux, les porcs et les chiens.  C’est sur cette base que Pfizer a déposé le brevet du premier vaccin à base de protéines de pointe en 1990.

Dix ans plus tard, le 28 janvier 2000, Timothy Miller, Sharon Klepfer, Albert Paul Reed et Elaine Jones dépose, toujours pour Pfizer, le brevet d’un vaccin à protéine de pointe contre le coronavirus canin. Il est publié sous le nom de brevet américain 6372224. Ce vaccin comprenait spécifiquement la protéine de pointe « S ».

En 2003, c’est le CDC (Central of Desease Control and Prévention) qui dépose un brevet pour “isoler” le SARS-CoV-1 et protéger la totalité de la séquence génomique ainsi que les méthodes de détection du Sars Cov. La séquence génétique déposée par les CDC en 2003, 2005 et 2006 présente une identité dans 89 à 99 % de la séquence chevauchant le SARS-CoV-2.

Martin nous affirme que 73 brevets délivrés par la suite exposeront aussi clairement dans leur séquençage génétique, le domaine de liaison ACE-2, la protéine de pointe spike S1 et d’autres éléments de Covid-19 dont  le site de clivage polybasique. Avant 2003, un brevet américain en particulier –  le 7279327 – a marqué cependant un tournant dans l’histoire des brevets liés aux coronavirus.

Ce brevet est déposé en avril 2002 par l’Université de Caroline du Nord, Chapel Hill sous la dénomination : « The mRNA Vaccine « model » is patented as « an infectious, replication defective clone » aux noms de  Krisopher M. Curtis et Boyd Yount. La source du financement qui a permis la recherche : le National Institute of Allergy and Infectious Diseases (NIAID) dirigé par Anthony Fauci ((ce brevet 7279327 a été transféré de l’UNC Chapel Hill aux NIH en 2018).

Du fait de cette dénomination de l’étude– en français- « Le « modèle » du vaccin à ARNm est breveté comme « un clone infectieux à réplication défectueuse », Martin nous dit que l’UNC a réussi à fabriquer un virus capable de cibler un individu – en l’occurrence l’épithélium pulmonaire humain – mais sans causer de dommages collatéraux à d’autres individus, et qu’il s’agit donc d’une arme biologique. D’après Martin, ce pathogène particulier a été spécifiquement étiqueté comme une technologie de plate-forme de bioterrorisme et d’armes biologiques en 2005.

L’étude -in vivo – sur la protéine de pointe du virus, s’est poursuivi ensuite à l’Université de Caroline du Nord à partir de coronavirus échantillonnés par l’Institut de virologie de Wuhan  entre 2011 et 2013 – malgré le moratoire sur le gain de fonction décidé en 2014 – et a abouti à deux articles – : un, en 2015 et un, en 2016, indiquant tous deux que la chimère conçue par le laboratoire ciblait le tissu endothélial, le tissu pulmonaire, le tissu rénal, « et qu’elle était «  prête pour l’émergence humaine ».

En 2015, Moderna – le concurrent principal de Pfizer dans la course au vaccin anti- Covid –  fait un pas décisif pour le développement d’un vaccin à ARNm. Elle achète à AlCana ​​Therapeutics, la licence pour la technologie des nanoparticules lipidiques. Et en avril 2019,  Moderna est amenée à modifier 4 demandes de brevet rejetées pour inclure le terme libération accidentelle ou intentionnelle d’un agent pathogène respiratoire comme justification de la fabrication d’un vaccin. 

Huit mois plus tard, en novembre 2019 –  bien avant que soit déclarée la pandémie – après avoir conclu un accord de coopération avec  l’UNC Chapel Hill et le NIAID –  Moderna  commence le séquençage d’un vaccin à base de protéine de pointe contre le Covid-19.

C’est en particulier, cette date de séquençage, et cette historique de dépôt de brevets liés au coronavirus, qui fait dire à David Martin  qu’il n’y a pas eu de fuite de laboratoire à Wuhan mais une bio-militarisation intentionnelle d’un virus.

Source : Médiapart

Des armes biologiques conçues pour tuer uniquement les personnes d’une race particulière

Après le grand remplacement, le grand nettoyage ethnique ?

parThierry Jirkovsky

18 avril 2022

sur SANTE, EDITORIAL

Il est possible de ne tuer que des personnes d’une race particulière, et cela en utilisant des armes biologiques comme les vaccins ARNm Covid. L’article publié dans le Guardian le 20 août 2019 le prouve ouvertement. Alors après le grand remplacement prôné par certains, le grand nettoyage ethnique ?

Vaccin ARNm : Armes biologiques ou pas ?

L’université de Cambridge avertit que le monde doit se préparer à l’utilisation d’armes biologiques ciblant des groupes ethniques sur la base de leur patrimoine génétique.

Les scientifiques avertissent que les humains devraient s’inquiéter d’être anéantis par un agent pathogène tueur spécifiquement conçu pour tuer les personnes d’une race particulière, sur la base de leur matériel génétique/acide désoxyribonucléique (ADN).

Bioweapons : Les Armes Biologiques Ethniques existent

Selon un nouveau rapport du Centre for the Study of Existential Risk de l’université de Cambridge, les gouvernements du monde entier ont échoué lorsqu’il s’est agi de se préparer à des menaces telles que les armes biologiques futuristes alimentées par l’intelligence artificielle (IA) et la manipulation génétique. Ces armes auraient le pouvoir de cibler un ADN spécifique et de tuer certaines races de personnes en laissant d’autres pans de la population indemnes.

Imaginez qu’elles soient pulvérisées sous la forme de la conspiration des chemtrails et qu’elles anéantissent certaines parties de la population. Les auteurs avertissent : “La technologie devient de plus en plus sophistiquée à des prix de plus en plus bas, démocratisant la capacité de nuire plus rapidement et de manière plus létale. Dans un cas particulièrement grave, une arme biologique pourrait être construite pour cibler un groupe ethnique spécifique sur la base de son profil génomique”.

L’évolution rapide de la science et le risque de détournement des résultats scientifiques pour créer des armes biologiques font de ce domaine un sujet de préoccupation croissante pour la communauté du désarmement.

La seule utilisation majeure confirmée d’armes biologiques a été l’attaque japonaise contre la Mandchourie dans les années 30. Cependant, le nombre d’États disposant de programmes de guerre biologique a été estimé entre 16 et 20. Le nombre d’États ayant la capacité de fabriquer des armes biologiques est supérieur à 100.

Les armes biologiques moins chères que les armes nucléaires ou chimiques

En raison du secret avec lequel ces programmes sont menés et du fait que les installations pour la production d’armes biologiques sont plus faciles à cacher que celles pour les armes nucléaires et chimiques, il est difficile de savoir exactement combien d’États possèdent des armes biologiques ou de détecter les programmes d’armes biologiques. Un autre problème est la nature à double usage de nombreuses installations ; il est difficile de distinguer les utilisations défensives des utilisations offensives.

Les armes biologiques sont considérablement moins chères que les armes nucléaires et chimiques et ont un rapport effet/quantité important. En d’autres termes, une quantité relativement faible d’agent biologique peut provoquer un nombre relativement important de décès – équivalant, selon certaines évaluations, à ceux résultant d’une utilisation nucléaire. Ils ne nécessitent pas de vecteurs complexes, et leur facilité de fabrication augmente avec les progrès de la science.

Compte tenu de leur coût relativement abordable, de leur efficacité et de leur flexibilité, les armes biologiques sont de plus en plus considérées comme une option attrayante par les acteurs non étatiques, ce qui fait du bio terrorisme l’une des principales menaces concernant ce type d’arme.L’utilisation d’agents biologiques pour forcer l’éradication des cultures destinées à la production de drogue est encouragée par les États-Unis, notamment en Colombie.

Les États-Unis mettent au point des agents infectieux qui tuent les plantes servant à la production de drogue. Cette stratégie controversée comporte de grands risques d’atteinte aux interdictions internationales sur les armes biologiques, de risques pour la santé humaine et de dangers pour l’environnement.Le protocole de Genève de 1925 interdit l’utilisation d’armes biologiques comme d’armes chimiques. Il contient toutefois de sérieuses limitations : il n’interdit pas le développement, la production et le stockage d’armes biologiques, et certains pays affirment le droit de riposter s’ils sont attaqués avec des armes biologiques.

Armes vaccinales : aucune procédure de vérification et de conformité pour le biologique

La convention sur les armes biologiques et à toxines (BTWC), entrée en vigueur en 1975, a complété le protocole de Genève. Il s’agit du premier traité multilatéral de désarmement à interdire la production et l’utilisation d’une catégorie entière d’armes. La BTWC compte actuellement 165 États parties et 12 signataires. Elle vise à interdire le développement, la production, le stockage, l’acquisition, la conservation, le transfert et l’utilisation d’armes biologiques par quiconque.

Toutefois, contrairement à la Convention sur les armes chimiques, le traité ne comporte pas de procédures de vérification et de conformité, et il n’y a pas d’organe de mise en œuvre pour en contrôler le respect. Une tentative a été faite en 1991 pour établir un système de vérification, mais les pourparlers ont échoué, essentiellement en raison du retrait de la coopération des États-Unis. Plusieurs événements survenus dans les années 1990 ont révélé que la BTWC n’empêche pas les États de mener des programmes d’armes biologiques (exemple : La Russie et l’Irak, tous deux signataires de la Convention avaient mené des programmes clandestins d’armes biologiques) montrant que le régime actuel est inadéquat.

Pour contrer efficacement la menace que représentent les armes biologiques, il faut un certain nombre d’actions qui se renforcent mutuellement, notamment un régime d’interdiction renforcé et une volonté politique accrue. Au fil du temps, cela permettra d’accroître la transparence et de renforcer la confiance dans le respect de la convention par tous les États parties, tout en dissuadant les contrevenants potentiels. Mais pour y parvenir, il faut une plus grande sensibilisation du public et une pression sur les gouvernements pour qu’ils renforcent le régime.

Apparition d’un nouveau syndrome politique post vaccin : La Peur

Conclusion, le vieillissement de notre société a fabriqué des électeurs vulnérables, inquiets, et raisonnants par instinct de survie. Du coup, peut-on se poser la question suivante … Est-ce que la peur devient un outil politique fondamental dans le choix du vote?

A noter que si nous écrivons directement un tel article sur les réseaux sociaux, nous sommes censurés, voire bannis, pendant une certaine période sous prétexte de Fake News (contredisant certains infos par des journaux qui touchent des subsides de l’état français, subventions pour continuer de vivre) et ce, par la doxa gouvernementale qui décide de la marche à suivre, prenant du coup position contre la neutralité du web.

Quand c’est un média mainstream étranger qui le dit et l’écrit … pas de censure … curieux non ?

Doit-on se méfier des vaccins quand on regarde le nombre d’effets secondaires qui touchent nombre de personnes dont beaucoup de sportifs ?
Doit-on s’interroger sur la liberté de la presse française et de sa neutralité ? Faut il faire confiance à la classe dirigeante? l’expérience et le passé nous prouvent que non … 

Alors faut-il avoir peur du lendemain ? Surement …

Source : TV Languedoc

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À propos de l'auteur Profession Gendarme

L'Association Professionnelle Gendarmerie (APG) a pour objet l’expression, l’information et la défense des droits et intérêts matériels et moraux des personnels militaires de la gendarmerie et de toutes les Forces de l'ordre.Éditeur : Ronald Guillaumont

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