Olivier Soulier, médecin homéopathe, impliqué dans la dénonciation du délire covidiste, est décédé brutalement dans la nuit du mercredi 28 au jeudi 29 juin. Depuis, la question que se posent beaucoup de gens dans son entourage est: qu’est-il arrivé à Olivier Soulier ?
Olivier Soulier était connu parmi les contestataires de la gestion absolument ubuesque du covid, et a contribué à mettre en place des structures importantes telles que le Syndicat Liberté Santé qui vient en aide aux soignants suspendus et le Conseil Scientifique Indépendant dont il a démissionné peu avant son décès, et il avait de nombreux autres projets.
C’était un altruiste, un médecin homéopathe qui prônait le recours à des médecines alternatives au tout chimique sans pour autant être opposé à la médecine allopathique qu’il pouvait aussi recommander. Dans ses actions, il cherchait aussi à réconcilier les humains.
Son décès a été un choc pour les gens qui le connaissaient: même si des problèmes cardiaques lui étaient connus, il était en forme physiquement et faisait très attention à son hygiène de vie. Personne ne s’attendait à ce qu’il décède d’une crise cardiaque à 67 ans. Encore moins dans les circonstances mentionnées par la justice et les médias.
Médias dont nous avons, très rapidement, eu la version, celle qui a été diffusée avec un empressement qui ne laisse pas d’étonner par le parquet de Paris, cette histoire de « soirée chamanique » dans le 14e arrondissement de Paris, au cours de laquelle on nous a d’abord dit qu’il avait ingéré des champignons hallucinogènes, puis de la substance active d’ayahuasca, de la DMT [1].
Et on se demande: pourquoi une telle attention de la part des médias mainstream, ceux qui nous vendent le covid et ses injections, qui nous vendent la guerre en Ukraine, l’Europe de von der Leyen, la dérive totalitaire du micron…
La famille a demandé une autopsie, une enquête préliminaire a été ouverte pour »homicide involontaire » et « exercice illégal de la médecine », et un chamane de 75 ans a été interrogé et placé en garde-à-vue.
Suite à cette communication du parquet de Paris, nous assistons à une sorte de battage médiatique qui a commencé le 7 juillet avec La Voix du Nord (Olivier Soulier vivait à Marcq-en-Baroeul). Une propagande dont les messages principaux sont:
- La mort d’Olivier Soulier est accidentelle et est intervenue au cours d’une soirée chamanique
- Olivier Soulier était « complotiste » (mot qui revient sans cesse dans ces communiqués) parce qu’il a critiqué la dérive covidiste.
- Le chamanisme tue, les médecines alternatives sont complotistes.
Le harcèlement continue donc dans les médias, qui ont déjà attaqué Olivier Soulier par le passé.
Peut-être que, comme l’a dit un témoin à France-Soir, Olivier allait souvent voir ce chamane. En tout cas ce soir là personne parmi les gens de son entourage à qui j’ai parlé n’était au courant de cette soirée. Beaucoup ignoraient même qu’il suivait des séances de chamanisme.
Quant à une prise de drogue lors de cette soirée: elle interroge quand on sait que le médecin faisait attention à ce qu’il mangeait, buvait, évitait les produits toxiques.
Il y aussi la dernière journée d’Olivier Soulier, qui reste un grand mystère. Rien ne s’est passé comme d’habitude, ou comme prévu.
Il était victime d’une sorte de harcèlement de plus en plus violent, de rumeurs de plus en plus graves diffusées par certains, notamment sur les réseaux sociaux. D’ailleurs, ce harcèlement se poursuit après son décès.
On sait qu’il embêtait du monde, mais on se demande jusqu’où il pouvait déranger, jusqu’à qui se sentait éventuellement menacé par son activisme.
Soyons clairs, on est amené à s’interroger sur ce décès. Pourquoi une telle propagande médiatique, qui dure encore aujourd’hui ?
Pourquoi l’un des premiers à publier un hommge étit quelqu’un qui le détestait ?
Pourquoi n’a-t-il pas répondu aux messages SMS des uns et des autres après le milieu de matinée ? Pourquoi a-t-il manqué un rendez-vous important le matin?
Et ce tweet à 16 h et quelques, est-ce que c’est bien lui qui l’a posté? Ce n’est pas qu’il comporte des erreurs, mais lui non plus n’était pas prévu. Et c’est le seul mouvement connu de la fin de journée, à une exception qui reste à confirmer.
Beaucoup de questions se posent et nombreux sont ceux qui cherchent à comprendre.
Il faut aussi relever que les « problèmes » se multiplient du côté de certains lanceurs d’alerte, des autonomes en général, parfois sans qu’on puisse savoir s’il s’agit d’un hasard ou d’une forme de harcèlement. On observe ces derniers temps, par exemple :
- Des fermetures inopinées de comptes bancaires, qui tendent à devenir un classique. Les banques ne savent pas en donner la raison, impossible aussi de rouvrir un compte.
- Des suspensions de cartes vitales.
- Des véhicules suspects qui se garent à l’arrière d’une habitation vers laquelle les pleins phares étaient dirigés.
- Des dégradations de véhicules, parfois potentiellement mortelles, que les garagistes ne savent pas expliquer rationnellement.
- Des habitations ou bureau visités, sans qu’un vol ait forément lieu
Bref, il faudrait être aveugle et sourd pour ne pas envisager qu’il se passe quelque chose de l’ordre de la mise en silence des voix qui dérangent. Il ne faudrait pas que quelque chose de fâcheux arrive à d’autres lanceurs d’alerte, parce qu’alors nos soupçons se verraient confirmés.
Même si de nombreuses questions restent en suspens, le doute est généralisé sur les circonstances de la mort d’Olivier, la presse a ironisé sur ces interrogations mais on sent clairement le malaise. Ce ne serait pas le premier à qui cela arrive, même si ce genre de chose ne fait jamais la Une des médias.
[1] Selon Wikipedia : « L’un des constituants – les feuilles de Psychotria viridis ou une espèce apparentée – contient l’alcaloïde N,N-diméthyltryptamine (DMT), qui se trouve être inactif lorsqu’il est ingéré oralement, car il est rapidement dégradé par des monoamines oxydase (MAO) périphériques, naturellement présentes dans l’appareil digestif. L’absorption simultanée de β-carbolines, inhibitrices puissantes des MAO, apportées par le deuxième constituant du breuvage – l’écorce de la liane Banisteriopsis caapi – confère à la DMT une protection contre la dégradation enzymatique et lui permet alors d’exercer son effet sur le système nerveux central. Cette interaction est la base de l’action psychotrope de l’ayahuasca. »
Source : Donde Vamos
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