Les équipes chinoises et russes ont rapportés d’étranges cas de décès imputés au COVID-19 en Italie et en Chine. C’est également le cas du premier marin du porte-avions nucléaire USS Theodore Roosevelt (CVN-71) même si le communiqué officiel de l’US Navy évoque un état inconscient avant une tentative de réanimation et un passage en unité de soins intensifs.
Depuis quelques jours en Ecuador, des gens tombent subitement dans la rue sans signes précurseurs et sont transférés en unité de soins intensifs. Les personnes qui décèdent en unité de soins intensifs sont automatiquement recensés comme des victimes de COVID-19.
Que faut-il en conclure ? Pour le moment un comité d’experts au sein de l’académie des sciences de Moscou se montre perplexe tandis que Beijing vient d’interdire par une loi toute forme de recherche scientifique sur l’origine du SRAS-nCov-2. En Iran, le plus haut comité scientifique du pays à été officiellement chargé par les services du Guide suprême de la Révolution islamique de chercher à établir que le COVID-19 est une arme biologique et dans l’affirmative, de déterminer les moyens de sa dissémination.
Tous concluent provisoirement que le COVID-19 cache un facteur X totalement inconnu et imprévisible qui aurait déconcerté les meilleurs spécialistes en guerre biologique russes, héritiers d’une grande école en la matière du temps de l’Union Soviétique.
Autre point, le facteur X aggravant du SRAS-nCov-2 semble majorer la prémorbidité et la co-morbidité tout en présentant des signes asymptomatique, voire aucun signe du tout.
Autre conclusion, le SRAS-nCov-2 est dans la nature pour une très longue période de temps et probablement pour toujours. Il est le septième type de virus de la famille des Coronaviridae connu et il ne va jamais disparaître. D’où l’inutilité d’un confinement des populations humaines même si les mesures de quarantaine sont de retour en Chine suite à une nouvelle vague.
Des médecins russes sont pratiquement les premiers à avoir rapporté d’étranges cas de décès en Italie dus au COVID-19: des patients testés positifs et ne présentant aucun signe mourraient simplement lors de leur sommeil. Ils ne se relevaient plus.
Autre hypothèse avancée cette fois en Chine continentale et très durement réprimée par les autorités chinoises: le SRAS-nCov-2 serait un marqueur précurseur d’une autre syndrome pathologique. C’est à dire que l’infection inevitable de la majorité de la population favorisera des mutations du virus ou libérera un potentiel caché susceptible d’aboutir à une nouvelle conditions favorisant la mort subite chez des personnes saines porteuses de ce virus. La thèse des Zombies n’est pas loin.
Notre conclusion- temporaire- à nous et indépendamment des conclusions scientifiques est que la pandémie du COVID-19 est l’une des plus grandes psyops (opération de guerre psychologique) de l’histoire contemporaine et est déjà liée à un effondrement économique global dans le cadre d’une troisième guerre mondiale hybride en cours que les historiens auront le devoir de la qualifier ainsi. Ceci dit nous mettons fortement en garde contre le facteur X létal concomittent ou couvert par le COVID-19. Car il est clair que l’on a affaire à un tueur fort imprévisible et totalement inconnu. Et d’après les échos des chercheurs russes, pour le moment désemparés face à quelque chose de surprenant, dont on sait si c’est inerte ou vivant et qui mute sans cesse (mêmes conclusions de leurs homologues français, italiens et chinois), ce facteur X est d’une dangerosité extrême.
C’est un segment de la troisième guerre mondiale hybride en cours depuis la fin de la guerre froide.
A la fin de la guerre froide, Francis Fukuyama prédisait la fin de l’histoire avec le triomphe définitif du libéralisme. Ce dernier a mené l’ensemble de la planète à un véritable désastre dans tous les domaines et à fini par se détruire.
Nous y reviendrons.
Source: Lire l'article complet de Strategika 51