Une ancienne avorteuse raconte comment ses yeux se sont ouverts sur l’avortement

Une ancienne avorteuse raconte comment ses yeux se sont ouverts sur l’avortement


Dr Berverly McMillan.

Par Nancy Flanders (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie

Dans un entretien exclusif avec Lila Rose, présidente et fondatrice de Live Action, Dr Beverly McMillan, ancienne avorteuse, a parlé de sa conversion de pro-avortement à pro-vie — et a rappelé le moment où elle a réalisé qu’elle ne pourrait plus jamais commettre d’avortement.

Le désir d’aider les femmes

Élevée dans la religion catholique, Mme McMillan a grandi en voulant devenir médecin. Après son entrée à l’université, elle s’est rendu compte que la plupart de ses professeurs et de ses condisciples ne croyaient pas en Dieu. Elle a senti qu’elle devait prendre des décisions concernant sa propre vie et a décidé qu’elle n’allait plus vivre selon les dix commandements. Elle se souvient d’être allée à la messe une dernière fois pour dire au revoir à Dieu. Il faudra attendre 14 ans avant qu’elle ne retourne à l’église.

C’est au cours de son internat en obstétrique et gynécologie, en 1969, que Mme McMillan a été exposée pour la première fois à l’avortement, lorsqu’elle a passé six semaines dans le « service des infections obstétriques ». C’est là, entre 17 heures et minuit chaque soir, que les patientes étaient amenées de la salle d’urgence. Chacune d’entre elles saignait et avait un utérus hypertrophié. Aucune d’entre elles ne voulait parler.

« La première nuit, j’étais de garde. J’étais assise au poste des infirmières, en train de rédiger des ordres et d’autres documents, et il se trouve que j’ai entendu les infirmières parler et j’ai soudain compris ce qui se passait. Ces femmes venaient de l’arrière-boutique des usines d’avortement [clandestins] de Chicago », raconte-t-elle. « Elles ne parlaient pas parce que les avorteurs leur avaient dit à tort que si elles admettaient avoir subi un avortement provoqué, elles auraient des problèmes juridiques. Ce n’était pas vrai. Les avorteurs en auraient et, bien sûr, ils se protégeaient. C’est ainsi que l’on s’est rendu compte de ce qui se passait ».

Source : Lire l'article complet par Campagne Québec-Vie

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À propos de l'auteur Campagne Québec-Vie

Campagne Québec-Vie est une association québécoise qui travaille de concert avec tout individu ou association de bonne volonté, à l’établissement d’une société chrétienne qui protège la foi, la famille et la vie, de la conception à la mort naturelle.CQV a trois objectifs : i) Promouvoir la reconnaissance, par les représentants de tous les corps sociaux, y compris ceux de l’État, de la nécessité du christianisme, en tant que seule religion intégralement vraie, pour une réalisation pleine et entière du bien commun ; ii) Promouvoir la reconnaissance du fait que la foi chrétienne est raisonnable, et que la raison soutient la foi et la morale chrétiennes ; iii) Promouvoir le respect de la vie humaine depuis la conception jusqu’à la mort naturelle ainsi que les droits de la personne et de la famille ;CQV œuvre à instaurer une « Culture de Vie », c’est-à-dire que nous favorisons, en manifestant, en organisant des colloques, en diffusant des nouvelles par Internet et offrant de l’aide aux femmes enceintes en difficulté, le développement d’une société dont les lois et les mœurs concourent, entre autres, à la reconnaissance du droit à la vie de toute personne humaine, de la conception à la mort naturelle, ainsi qu’à la reconnaissance de la famille traditionnelle (homme, femme, et les enfants qui découlent de leur union aimante) comme lieu privilégié pour l’épanouissement de la personne humaine.

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