Un camarade, devenu depuis un ami, publie son témoignage. Mentionnons que nous avions déjà publié pour lui lors de la disparition dramatique de sa fille Karin, victime du vaccin Moderna. Voir nos publications du 7 mars 2023 « Le Moderna a tué ma fille » et du 2 décembre 2022 « Le Moderna m’a tuée«
A la suite de ce drame, Dominique Baudinaud, puisqu’il s’agit de lui, a été à l’initiative de la carte « Les victimes des injections anti-covid 19 » que nous vous invitons à consulter et à compléter par vos témoignages.
« Histoire véridique »
Début janvier 2022 en fin de matinée, ceux qui nous connaissent le savent déjà, ma femme et moi avons appris une nouvelle catastrophique concernant notre fille aînée Karin qui, était à l’Hôpital à Pessac (33) car elle venait d’être retrouvée dans le coma sur le parking de cet Hôpital.
Nous avons pris immédiatement la route depuis la Corse pour rejoindre le Sud-Ouest où ma fille habitait.
Lorsque je m’absente de chez moi pour plusieurs jours, je laisse nos clés et les consignes à notre voisine Marie-Paule car elle surveille et s’occupe de notre maison.
Par habitude, je l’appelle toujours le soir, lorsque nous allons loin et, ce soir du 7 Janvier 2022, tout allait bien à mon domicile … sauf que de son côté, elle me dit qu’elle avait peur !
De mon côté, j’avais déjà compris que ma fille était morte des suites de ses 3 injections de Moderna mais je voulais en savoir plus sur le problème de Marie-Paule parce que je pourrais peut-être l’aider, comme souvent et avec dévouement depuis pas mal de temps.
Elle m’explique que Pascal, son mari, qui avait fait un AVC en 2010, avait l’intention de se faire injecter le « vaxxin », comme ils disent à la télé, pour rendre visite à sa mère vieillissante, sur le continent et comme elle pensait, à juste titre, que cette injection pouvait lui causer plus de complications que de bienfaits, elle angoissait.
J’étais très embêté par ça, parce que Pascal est quelqu’un de sensé, que j’apprécie beaucoup et qu’il n’aurait jamais pris une telle décision, si brutalement, sans s’y sentir un peu obligé.
En fait c’est l’addition des messages de la télé qu’il regarde non stop (BFMTV entre autres) associés aux directives téléphoniques de sa sœur, rigoureusement pro-vaxx anti-covid, qui lui ont fait comprendre que : «pas de « vaxxin », pas de visite à maman» … et le rendez-vous avec l’infirmière avait été calé pour le surlendemain, 9 Janvier 2022.
Ne sachant plus comment empêcher ça, je lui ai répondu en lui rappelant qu’il connaissait Karin pour l’avoir rencontrée 1 an 1/2 avant, lorsqu’elle était venue chez nous avec ses enfants et sa soeur et que maintenant je savais que c’était les injections qu’elle avait eue qui l’avaient tuée. Elle m’a promis de faire comme ça.
Le lendemain, 8 janvier 2022, nous étions à l’appartement de ma fille pour commencer à nous occuper de toutes les formalités qu’il y a à faire en ce cas quand j’ai reçu un appel sur mon téléphone portable de Marie-Paule, ma voisine, qui me racontait que la mort de Karin avait complètement refroidi les envies de Pascal et qu’il avait fait décommander l’infirmière, même si cette dernière avait posé bien des questions au sujet de ce revirement de situation. Peu importe, mon voisin avait échappé à ce poison.
Depuis que nous sommes rentrés et que nous avons repris nos habitudes de voisinage, il n’est pas rare que j’évoque à qui veut l’entendre, cette tranche de vie, si douloureuse pour nous, et qui aura au moins servi de déclencheur pour que quelqu’un prenne la bonne décision au lieu de participer involontairement à un suicide non contrôlé, souhaité ardemment par des instances supérieures.
TÉMOIGNER DE CE QUI NOUS ARRIVE …
RESTE LE MEILLEUR MOYEN
DE FAIRE CESSER CET HOLOCAUSTE.
Source : Dominique Baudinaud
Source: Lire l'article complet de Profession Gendarme
