Le wokisme a entraîné la faillite de la Banque Silicon Valley
en plaçant leurs pions incompétents
Obéir aveuglément à toute idéologie ne peut mener qu’à des ravages sans nom. On ne l’a que trop vu avec le petit livre rouge du communiste Mao, l’application au premier degré du Coran, et maintenant avec le wokisme radical qui tente de se donner des airs de redresseur de torts pour faire accepter l’inanité totale de ses principes imbuvables.
Les wokes gangrènent le marché du travail en faisant placer de force leurs pions incompétents à des postes stratégiques.
En effet, les organismes et entreprises qui s’abaissent honteusement à suivre leurs principes biaiseurs pour être « tendance » remplacent les employés les plus aptes et qualifiés par des potiches, des beaux-parleurs, des « symboles », des coquilles vides, des diversifiés, bref, par des incompétents qui n’ont pas mérité d’être où ils sont.
L’idée n’est pas de moi. Un journaliste français lanceur d’alerte vient de révéler que la faillite de la Banque américaine Silicon Valley était probablement le résultat de nominations de candidats parfaitement wokes à des postes décisionnels, ce qui au bout d’une cascade de mauvaises décisions, a entraîné sa perte.
Les postes ne doivent jamais être accordés en fonction des basses considérations wokes, toutes plus injustifiables et irraisonnées les unes que les autres.
Ils doivent plutôt être attribués selon:
- les compétences
- les qualifications
- l’expérience acquise
- l’expertise
- la spécialisation
- la reconnaissance des pairs
- la motivation personnelle dans le domaine visé
- les récompenses et les honneurs
- les qualités spécifiques requises à l’emploi donné (créativité, intelligence, innovation, entregent, leadership, flexibilité, etc.)
Un autre exemple. Ces derniers temps, les médias ont fait grand état d’une certaine Haïtienne toxique, parachutée à un poste stratégique à l’Université d’Ottawa expressément pour faire rouler les têtes blanches l’une après l’autre (et par têtes blanches on ne parle pas des tablettés aux cheveux blancs devenus inutiles mais protégés par leur syndicat).
Le plus ridicule dans tout ça, ce sont les victimes blanches visées elles-mêmes, fortement endoctrinées au wokisme ambiant comme des zombies obéissants, qui applaudissaient à la chose!
Tôt ou tard, les méfaits et dégâts du wokisme remplaceur et délayeur, en se multipliant et se généralisant, entraîneront la déliquescence des institutions et la détérioration de la société en général, dans un effet domino impossible à arrêter.
Conséquemment, c’est un refus catégorique et ferme qu’il faut opposer à toutes les formes de wokisme existantes.
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Source: Lire l'article complet de Vigile.Québec