Le stade le plus avancé des grands délirants politiques, médiatiques et financiers. Jamais la civilisation n’a eu à subir une telle violence si concentrée (pour nous lovée autour de puérilités aussi insensées). Dernière fois : le nazisme ! Tant y est concentré d’enfantillages dissymétriques. Soit j’ai tous les droits et vous aucun. Cela ne vous dit rien ? Ce sont les pensées non inhibées de l’enfant entrant dans les apprentissages culturels. Pensées non inhibées de l’enfant qui ne les met pas en œuvre. Et qui ne sont connues que par les mots qu’ils babillent.
Or, actuellement, au prétendu sommet de la société, nous avons de « faux adultes », enfants à vie qui n’ont plus aucune inhibition. Qui se prouvent surtout les pires barbares déguisés en costards cravates. Bien identifiés comme les pires « dangers publics » actuels – les flagrants Ennemis de la société. Voici comment ils se sont tous démasqués : ce qu’ils se permettent tout le temps ! Non non, ils le permettent pas aux autres. Parvenant ainsi aux sommets de toutes les déraisons tout le temps.
Que les autres vous permettent tout et que vous ne permettiez rien aux autres ! Horrible à ressentir hein ? Pensées non inhibées que ces « faux » adultes mettent maléfiquement en œuvre. Devenus donc monstres complets. Tout leur serait permis, absolument tout : c’est dans l’exposition du prétexte, petit en général, mais là très outrepassé en taille minuscule. Genre : « je suis élu. Je peux faire tout ce que je veux ». Soit les levées anormales des inhibitions habituelles. Pour nous, un élu s’entend avec « bien plus de devoirs impératifs que de droits…personnels ». La fonction seule lèvent des possibilités (très encadrées par les lois) non la « personnalisation abusive » de pouvoir tout piétiner, tout casser et de vouloir (en plus) écraser les autres ! Car ? « être élu » n’offre pas toutes « les facilités » aux sadismes débridés et aux cruautés à disposition avec irruptions « désinhibées » de la police qui cogne uniquement les victimes. Oui, uniquement sur les victimes des sadiques « parce que » élus, victimes qui subissent déjà tout, et doivent endurer encore la Tartuffe violence qui n’est déclenchée que par ces sommets inacceptables. Ce sont les gouvernants qu’il faut… fermement réprimer – personne d’autre. Eux qui ne permettent pas aux autres ce qu’ils se permettent tout le temps !
Dans ces conditions, cette police devient aussi infantile et donc dangereuse que qui lui ordonnent illégalement. Police barbarement désinhibée : soit devenue la déraison même. Celle « Que » les autres vous permettraient tout et que vous ne permettriez rien aux autres ? Non ça ne passe plus du tout. Ces puérils doivent reculer, reculer, reculer, reculer jusqu’à ce que la raison leur dise stop. Plus dignes du mot police. Livrés à eux-mêmes ils ne sont pas fiables. Nul ne peut plus leur faire confiance !
Oui en tout la formule verbale peut atteindre la meilleure perfection possible de la formule mathématique : « Que les autres vous permettent tout et que vous ne permettiez rien aux autres. » Une formule véridiquement scientifique. Une « qualification » suprêmement juridique. Une diction vraiment pure qui touche aux fondations mêmes de la civilisation. La folie furieuse, déclenchée par les si fausses élites et ce « haut de bassesses » de la société, devenu incontrôlable, sont ainsi circonscrits. Nassés et possiblement éradicables. Oui la vraie science existe aussi en littérature. Qu’est-ce qu’ils croient !
Que les autres vous permettent tout et que vous ne permettiez rien aux autres. Oui de le comprendre à 100 % cela nous cogne si énergiquement sur la gueule. Comment nous en sommes arrivés là ? Nous avons laissé passer de tels malades moraux et sans empathies ? Des monstres qui font tant de mal aux autres et à nous : qui n’usent des mots Que pour blesser atrocement. Et illégalement. Plus aucune inhibition chez ces vandales malfaisants. Ils vagissent ces pré-pensées des jeunes enfants. Que nous reconnaissons enfin. Ces caprices insensés de bébés à vie. Et, au lieu de faire salubre barrage, nous devrions devenir complices de ces crimes contre l’Humanité ? Tout erroné, donc tout retrouvé intact parce que formule trouvée signifie fin immédiate des monstres des pouvoirs illégitimes !
Pensées non inhibées de l’enfant qui ne les met pas en œuvre. Pensées non inhibées chez le « faux » adulte mais qui, lui, les met désastreusement en œuvre. Comme s’il était tout le temps ivre ! Archi ivres. Clair que nous allons dompter ces barbares si déchus. Barbares déguisés en costards cravates. Forcenés devenus directement hyper violents évidents. Par la force, le force-né peut détruire tous les liens sociaux. La société a rarement eu de si pires ennemis. L’étymologie de forcenés se montre très contre eux : « fors » et « séné » hors de et…sens – hors du sens. Donc très clairement insensés. La boucle infernale dévoilée : et insensés devinrent insensibles. Insensés insensibles. Ne poussent-ils pas aux utilisations « insensées » de Squads et de Lbd, multipliant par cent les risques d’une mutilation mettant la vie en danger ? Oui plus insensibles que ces faux adultes à violences non inhibées :
Qui peut admettre encore de tels forcenés au pouvoir ?
Que les autres ne leur permettent plus tout et que ces caractériels compulsifs permettent enfin aux autres
De vivre tranquilles !
Donc sans eux surtout.
Question ? : Pierre Rimbert (Monde Diplomatique) « En France, les dividendiers ont touché plus de 80 milliards d’euros au titre de l’exercice 2022 (monde : plus de 1 500 milliards d’euros !), soit 3 % du produit intérieur brut : c’est trente fois le déficit des caisses de retraite attendu cette année et 4,5 fois le montant des « économies » escomptées dans la version initiale de la réforme. » Tiens ? Pas de réponse ? C’est quoi donc votre problème ?
Autre Question ? « La réforme des retraites obligera les salariés à financer par leur travail deux années supplémentaires de profits dont une partie disparaîtra en rachats d’actions exonérés d’impôts et l’autre dans des paradis fiscaux. » Pourquoi n’y a-t-il là que délinquances sur délinquances ??
Source: Lire l'article complet de Le Grand Soir