Nous accueillons aujourd’hui Guillaume Girard, ingénieur spécialisé en gestion des risques chimiques et biologiques. Il a compris très tôt que cette crise mondiale dépassait de beaucoup tout ce que l’Humanité avait vécu en termes de complexité sociétale. Avec patience et ténacité, il a tenu à réaliser un véritable travail de spécialiste en histoire contemporaine où la complexité de l’utilisation des données se trouve souvent exacerbée par les savoirs manquants. Il nous livre ici un décryptage exceptionnel de tout ce que cette histoire contenait de connu jusqu’en février 2023, à l’appui de 233 documents que l’on devrait tous archiver avant que certains ne disparaissent. Bonne lecture.
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par Guillaume Girard
1. Les précédents du Sars et le détournement de la recherche virologique
Les coronavirus sont étudiés de longue date
Les coronavirus (virus à « couronne ») sont une grande famille connue depuis les années 30, commune aux hommes et aux animaux, tels ceux de la bronchite humaine ou l’hépatite de la souris par exemple. Les études dédiées se sont multipliées à partir de la première épidémie de Sars en 2002.
Les plus jeunes ne sont pas concernés par le syndrome respiratoire, seuls les très âgés décèdent
Les létalités du Sars-Cov-1 (2002) et du Mers (2012) sont limitées aux personnes âgées ou immunodéprimées, et cela vaut aussi pour le Sars-Cov-2, en dépit de mutations particulières lui conférant une plus grande contagiosité. Le taux d’infection en population générale est faible et la létalité est du niveau de la grippe saisonnière.
La protéine de pointe est bien connue
La « spike », en français protéine de pointe, est une protéine commune à de nombreux virus. C’est une protéine infectieuse et inflammatoire, une virotoxine. Celle des coronavirus est très documentée ; elle a fait l’objet de nombreuses publications, voire de brevets,, parfois déposés explicitement à des fins vaccinales, et portant éventuellement sur un coronavirus dans leur entier. Trois chercheurs américains, dont Ralph Baric, encore régulièrement sous contrat avec le National Institutes of Health (NIH), déposent dès début 2002 un brevet sur des méthodes de production de coronavirus recombinants, à l’aube de la première épidémie de Sars. En 2004 c’est au tour de l’Institut Pasteur et du CNRS de déposer un brevet sur une souche de coronavirus du Sars.
Le « gain de fonction » est une pratique éprouvée et censée être encadrée
Les pratiques de biotechnologie consistant à insérer une ou des portions de génome dans un génome existant sont pratiquées, secrètement ou officiellement, dans tous les pays disposant de laboratoires et de scientifiques qualifiés, en particulier aux USA, mais aussi au Canada, en Chine. Étant donnés les risques sanitaires encourus un moratoire a imposé la suspension de ces pratiques sur le sol américain en 2014 ; partiellement levé en 2017, il est proposé de le renouveler en 2021. Entre 2015 et 2017, Ralph Baric et son collègue Boyd Yount déposent plusieurs versions successives d’un brevet portant sur des protéines « spike » chimériques.
La recherche militaire est sous-traitée
De nombreux établissements effectuent des recherches autour des virus, dont les coronavirus, en particulier à l’initiative des États-Unis ou de la Chine. La DARPA est l’agence américaine de recherche militaire qui dispose de financements pour des programmes de recherche sur les agents biologiques depuis de nombreuses années. Un de ses principaux sous-traitants est la société Moderna, dont Stéphane Bancel l’actuel PDG est co-titulaire d’un brevet de 2017 sur un ARNm à destination oncologique. En plus, EcoHealth Alliance, officiellement non gouvernementale, est une organisation qui bénéficie de plusieurs millions de dollars du gouvernement américain. Dirigée par Peter Daszack elle a entre autres financé le laboratoire de Wuhan pour ses recherches sur le gain de fonction, en partenariat avec l’université de Caroline du Nord (USA). Les circuits de financements de ces travaux externalisés sont détaillés dans l’ouvrage de Michel Cucchi, « Influences et pandémies ». Parmi ces financements certains sont issus du « Pentagone », le département de la Défense, qui soutient également diverses structures de recherche privée via des consortiums, au sein desquels on retrouve nombre d’entreprises pharmaceutiques.
L’OMS est infiltrée par le « philantro-capitalisme »
Depuis la fin des années 90 la gouvernance de l’organisation mondiale de la santé, qui réemploie les principaux responsables de la santé publique du monde entier,, a significativement évolué avec l’intervention de fondations privées devenues ses principaux pourvoyeurs de fonds. En particulier la fondation Bill et Mélinda Gates (BMGf) et la Global Alliance for Vaccine Initiative (GAVI) ont contribué pour respectivement 10 et 9% de son budget en 2021. Selon le credo de Bill Gates, le recours à la vaccination est devenu une stratégie dominante dans les interventions de l’OMS. Et en 2016 se tenait une réunion d’un groupe de travail visant à « réduire le délai entre l’approbation de vaccin et l’impact vaccinal » pour nombre de pathogènes.
2. La peur du virus est démultipliée et produit un effet de choc
L’OMS change sa définition de la pandémie et dramatise la situation
Plusieurs fois remaniée depuis 2005,,, sa définition de la pandémie, considérée comme politique de longue date,, a encore évolué de nouveau peu de temps avant l’apparition du Sars-Cov-2. À l’émergence du Covid-19 Tedros Adhanom Ghebreyesus, le directeur de l’OMS, fait des déclarations dramatiques à la presse, bénéficiant d’une exceptionnelle résonance médiatique. Une pandémie est déclarée sur la base de très faibles nombres d’individus atteints. Les populations seront ensuite matraquées de tels messages catastrophistes, mêlés d’injonctions paradoxales. Ainsi traumatisées elles seront soumises à un crescendo de mesures liberticides.
Le covid19 circulait tôt
Des analyses d’échantillons (d’eaux usées ou de sérums humains) ont permis de retracer a posteriori la circulation du virus, et d’en retrouver des traces précoces dès 2019 en Amérique du Nord et du Sud comme en Europe, alimentant régulièrement l’hypothèse d’une fuite de laboratoire antérieure à l’épisode de Wuhan, lui-même probablement précédé d’autres cas en Chine selon une origine qui aurait été délibérément masquée.,,
Un exercice de préparation bien opportun
Peu de temps avant l’émergence du Sars-Cov-2, en octobre 2019, est pratiqué à New York un exercice de simulation de pandémie, « l’Event 201 », sous le patronage de la Johns Hopkins Bloomberg school of public health, du World Economic Forum (WEF) et de la BMGf. Il rassemble des hauts fonctionnaires de santé, des militaires et des représentants des médias (dont des médias sociaux) et de fondations (dont la BMGf). Dans les recommandations finales figure à nouveau le recours soutenu à la vaccination, y compris expérimentale dans des essais cliniques à mener en collaboration avec l’OMS, la GAVI 20 et la CEPI (association norvégienne fondée en 2017 à Davos par la BMGf, le Wellcome trust, et le WEF pour accélérer les travaux sur les vaccins, en finançant Moderna par exemple). Or la BMGf finance largement et à la fois tous ces organismes.
La contamination de Wuhan est dramatisée par Beijing
La Chine a tardé à admettre officiellement l’épidémie, en censurant les médecins ayant communiqué sur leurs diagnostics ; mais elle inverse brutalement sa position en interdisant tout mouvement à Wuhan fin janvier 2020. Selon une stratégie visant au « zéro Covid », les agglomérations chinoises sont fermées et soumises à un contrôle policier répressif. Stratégie qui se poursuivra jusqu’à la reconduite du dirigeant en place fin 2022. Les populations ont interdiction totale de déplacement et certains quartiers sont barricadés militairement. Le recours quotidien aux tests rapides devient systématique. En parallèle, Neil Ferguson, de l’Imperial College de Londres (financé par le CEPI, la GAVI et la BMGf) et Simon Cauchemez de l’Institut Pasteur, modélisateurs déjà connus pour leur tendance à l’outrance lors d’épidémies précédentes, et dont les conflits d’intérêts du premier restent à lister intégralement, prédisent sans base probabiliste robuste des morts par millions et appellent aux confinements. Leurs prédictions sont mises en cause dès 2020 puis désavouées, y compris par leurs auteurs fin 2021.,
La posture guerrière se propage et la peur est orchestrée
« Nous sommes en guerre ». Dans un discours anxiogène le président de la République française déclare la guerre a un ennemi invisible. Guerre ensuite largement mise en scène dans les médias, photos ou vidéos d’agences de communication à l’appui,, ou au moyen de prises de vue dans les hôpitaux de campagne, dans les services de réanimation, ou encore dans les trains de transit. Et reposant sur une stratégie de communication pilotée par les consultants du cabinet McKinsey, en France comme dans de nombreux pays.,,
Le modèle chinois de confinement se répand
Après confirmation de l’épidémie autour du marché de Wuhan, les simulations catastrophiques, et l’emphase autour du « modèle » chinois, c’est l’Italie qui déclenche en Europe les premiers confinements. Suivie rapidement par tous les pays de l’Union et ses voisins, à l’exception notable de la Suède, unique pays d’Europe à maintenir le cap d’une stratégie raisonnable et nuancée jusqu’au terme de l’épidémie. Les individus les plus impactés sont les patients des Ehpad qui ne peuvent quitter leur chambre sous aucun prétexte, ni recevoir leur famille. Les morts seront inhumés sans que la famille du défunt puisse faire ses adieux ; la déshumanisation des obsèques est brutale.
Des tests rapides détournés à des fins de contrôle de la population ?
Qu’il s’agisse des « tests PCR » comme des tests antigéniques, la sensibilité exacerbée des kits d’analyses l’est d’autant plus que l’on s’écarte des protocoles requis, comme souligné par Kary Banks Mullis, prix Nobel pour l’invention de la méthode PCR, et par des français en capacité d’évaluer leur fiabilité. Le 23 janvier 2020, une méthode de test PCR est publiée moins de 48 heures après sa soumission alors qu’à ce jour le nombre de décès dû au Covid est inférieur à 10 et la séquence du génome du virus n’est pas encore validée. Cet article fait très tôt l’objet d’une revue exhaustive par d’autres scientifiques, qui mettent en évidence de nombreuses aberrations méthodologiques et appellent – sans succès – au retrait de cette publication. Cette méthode en provenance de l’hôpital de la Charité de Berlin se répand, alors que l’OMS a déjà fait de la PCR sa méthode de référence,. Des tests PCR divers, sont pratiqués massivement avec un nombre de cycles de PCR anormalement élevé et une absence de spécificité pour le Sars-Cov-2 – entraînant la disparition de la grippe saisonnière ? – par des laboratoires ainsi rémunérés pour mener des prélèvements très invasifs. Réalisés dans des centres de dépistage – qui composent des foyers de contamination étant donnée leur configuration d’accueil du public – ils contribuent à un surplus d’imagerie guerrière et à l’anxiété de la population. Et à sa résignation.
Les « vagues » de variants du virus se succèdent, les média surfent
Sans effet des mesures décrites ci-après la circulation virale se poursuit régulièrement. Des « vagues » épidémiques, exclusivement basées sur des « cas PCR », sont systématiquement anticipées par des déclarations d’experts reprises ad libitum par les médias. Sans prendre en compte l’évolution des caractéristiques infectieuses des souches en circulation, pourtant parfaitement décrite par le professeur Jacques Fantini et ses collègues, et en dépit d’une vulgarisation réussie par la presse régionale.,.
3. La suppression du diagnostic, du traitement précoce, et de la contradiction, préparatifs aux essais délétères
Les traitements précoces sont identifiés et efficaces
Le Sars-Cov-1 fut traité avec succès par antibiotiques, corticoïdes et oxygénothérapie. Sur la base de cette expérience passée, les scientifiques chinois identifient très tôt l’efficacité de l’hydroxychloroquine,, en association avec une ou plusieurs autres substances dont la panoplie ne cesse de s’étendre depuis. D’autres équipes mettent en œuvre cette thérapeutique tôt avec succès, en association avec l’antibiotique azythromycine, en particulier dans le Sud de la France, à l’initiative des équipes de l’IHU de Marseille piloté par le professeur Didier Raoult. Par ailleurs, les scientifiques chinois ont publié très tôt des résultats visant au repositionnement de diverses substances, sur la base de ce qui était connu pour les coronavirus, ainsi que pour un virus qui présente des traits communs avec le Sars-Cov-2 : le HIV.
Des scientifiques de grande renommée sont ostracisés et diffamés
Très tôt des personnalités de longue expérience et de grande réputation sont la cible de campagnes de dévalorisation : Laurent Toubiana,, Didier Raoult ou Christian Perronne pour la France, Byram Bridle au Canada, Paul Marik, Pierre Kory, Martin Kulldorf et Peter Mc Cullough, aux USA, pour n’en citer que quelques-uns. Peu connus du grand public ils sont tous caractérisés par un CV très conséquent, un grand nombre de publications, et une déontologie affirmée. Pour autant ils sont tous traînés dans la boue, et leurs communications grand public sont censurées ; l’objectif est de les discréditer voire les abattre, sans débat ni nuance. Du côté des sciences sociales, le chercheur Laurent Mucchielli sera publiquement désavoué violemment par ses pairs puis par son institution,, en dépit d’un parcours garantissant une approche globale experte. Même Luc Montagnier, Prix Nobel de médecine pour ses travaux de virologie, fut d’emblée contesté avec virulence par l’AFP et divers medias ; et il est notable que ses obsèques n’ont pas fait l’objet d’un hommage du gouvernement, à l’exception de la ministre de l’Enseignement supérieur.
Les molécules efficaces, dans le domaine public et bon marché, sont écartées puis occultées
Des essais incomplets discréditent les substances éprouvées ; on les prétend soit inefficaces, soit dangereuses, soit les deux, sur la base d’essais mal contrôlés ou incomplets, plus souvent sur la base de rumeurs. Des publications sont retirées par les revues qui les ont référencées. Leurs citations sont bannies des réseaux sociaux, en particulier s’agissant de l’ivermectine et de l’hydroxychloroquine, libres de brevets et dans le domaine public.
La polyvalence d’action de la première est pourtant récapitulée, son efficacité rapidement documentée, entre autres par une équipe française et passée en revue dans une publication du Professeur Pierre-Jean Guillausseau, de l’Hôpital Lariboisière. Certains états indiens vont y recourir massivement, avec succès. Mais l’agence de presse Reuters communique différemment à ce sujet, via une production de sa « Fact-Check Team » (auteurs inconnus), alors que les découvreurs de l’ivermectine, qui ont mis en évidence son activité antivirale en plus de son large spectre antiparasitaire, sont couronnés d’un prix Nobel. Une controverse fera l’objet d’un documentaire accablant ; elle oppose deux docteurs britanniques : Tess Lawrie directrice de recherches cliniques dans plusieurs structures, et son homologue Andrew Hill, consultant en lien d’intérêt avec la BMGf via son université. Alors que démarrent les campagnes de vaccination, Hill rend à l’OMS fin 2020 un avis défavorable à l’ivermectine appuyé par une publication aux conclusions paradoxales, en dépit de résultats favorables partagés avec les Américains Pierre Kory et Paul Marik. Publication qui sera retirée début 2022. Concernant l’hydroxychloroquine, son administration est interrompue dans le cadre de l’essai « Discovery », et sa posologie est trop élevée dans l’essai « Recovery ». La vitamine D, substance immunomodulatrice, est l’autre grande absente des communiqués officiels.
A contrario d’autres molécules sous brevet sont testées, plus ou moins facilement
C’est par exemple le cas du tocilizumab, un anticorps monoclonal du laboratoire Roche aux effets secondaires respiratoires connus ; et du remdesivir de Gilead, développé sans succès à l’occasion de l’épidémie Ebola, qui revient dans des essais de nombreux pays sans faire davantage ses preuves et en dépit d’une toxicité connue,. Une autre substance d’intérêt, le clofoctol, parvient à provisoirement retenir l’attention des médias dans le cadre d’un essai clinique conduit par l’Institut Pasteur de Lille. Ce traitement fera l’objet d’un dépôt de brevet européen mais la conduite de l’essai souffrira de difficultés administratives et il ne pourra pas être mené à terme.,
Le panel complet des substances vraiment efficaces est vaste mais ignoré
Avec le temps vient se confirmer l’intérêt de très nombreuses substances, mais celui-ci n’est soutenu ni par l’OMS, ni le NIH et les CDC américains, ni les ministères de la santé européens. On peut citer, en plus du trio hydroxychloroquine, – azythromycine – ivermectine : la vitamine D, l’artemisinine, le zinc, la silymarine, la quercétine, la curcumine, la famotidine, la cetirizine, l’azvudine, et plus récemment la bromelaïne et la nattokinase. Ainsi, certains groupements de professionnels, comme l’aliance FLCCC, établissent rapidement des protocoles de prise en charge efficace des patients, basés sur le recours à un panel varié de thérapeutiques. Mais les communiqués officiels les oublient et les agences de presse les contrecarrent.
La médecine de ville est écartée
Dans tous les pays qui confinent on demande aux patients de rester chez eux sauf pour solliciter des services d’urgence. Les médecins de ville ne peuvent de facto plus recevoir leurs patients et certaines substances leur sont interdites car d’un coup classées différemment, en particulier l’hydroxychloroquine, dont l’usage devient réservé au milieu hospitalier. Les médecins sont empêchés, et ceux qui tentent de se démarquer sont vilipendés ; à tel point qu’en France une association « Laissons les médecins prescrire » est créée à l’initiative du docteur Violaine Guérin et de Martine Wonner, députée et médecin. Elles seront également rapidement diffamées.
La parole scientifique publique est muselée et les médecins de plateaux tournent en boucle
Les medias les plus présents (« mainstream ») ne donnent la parole aux lanceurs d’alerte que pour les ridiculiser et en lieu et place soutiennent celle de personnalités dont la proximité avec les laboratoires est établie : en France, Gilbert Deray, Karine Lacombe, Yazdan Yazdanpanah... Et se met ainsi en place un « storytelling ».
Les « fact-checkeurs » sont agressifs
Dans les principaux titres de presse et les réseaux sociaux, des groupes de vérification des faits sont actifs et virulents, n’hésitant pas à recourir à la diffamation ou à l’insulte. C’est le cas d’une agence brusquement émergente « Fact and Furious », et de nombreux intervenants individuels (« trolls ») sur les réseaux sociaux, voire de robots. Se compose ainsi ce qui deviendra une « harcelosphère » portée entre autres par l’organisation « Conspiracy Watch » de Rudy Reichstadt, dont les publications relèvent davantage de la propagande et de la diffamation que d’un journalisme professionnel.
Les patients sont des cobayes, les vieux sont euthanasiés
Dans le cadre d’essais cliniques, des molécules sont poussées en avant en dépit des leurs effets secondaires graves et connus : des antiviraux comme le remdesivir de Gilead ou des anticorps monoclonaux comme le tocilizumab de Roche ou le bamlanivimab de Lilly. Par ailleurs dans les établissements hébergeant des personnes âgées dépendantes (Ehpad), un décret du premier ministre autorise provisoirement les injections de Rivotril, un sédatif puissant à base de clonazépam. Or cette substance ne doit pas être utilisée en cas d’insuffisance respiratoire, présente des risques d’interactions avec un grand nombre de médicaments (dont des antiviraux) et peut conduire à la mort avec des symptômes proches de ceux du Covid. A contrario, un Ehpad, où les patients atteints par la gale ont reçu de l’ivermectine, est complètement épargné par le Covid ; mais ce résultat n’est référencé dans aucun protocole de traitement français et est même ridiculement attribué… à la gale.
4. L’enfermement et l’anéantissement socio-économique
La messe est dite depuis Washington
Directeur du NIAID depuis ses travaux sur le Sida, Anthony Fauci, consultant incontournable de la présidence américaine depuis Ronald Reagan, n’a pas hésité à tenir des discours extrêmement contradictoires et à imprimer sa gouvernance sur les médias sociaux et sur les services de santé d’autres pays, comme révélé par ses échanges de mails dans le cadre d’une procédure « FOIA » et par sa déposition récente dans le cadre des plaintes de deux États américains (cf. infra). L’essentiel de ses prises de position relève du scientisme et il ne s’interdit pas de dicter la conduite des Américains dans des interviews lapidaires. Sous sa direction le NIAID finance l’université de Caroline du Nord et l’institut de virologie de Wuhan (WIV), directement ou via EcoHealth Alliance, dès 2014,, pour des travaux de manipulation du génome de coronavirus. Il milite dès début 2020 auprès de la Maison Blanche pour le confinement des populations et la suppression de l’expression des contradicteurs.
Le conseil scientifique détrône les autorités de santé existantes
Alors que la France est dotée d’un Ministère de la santé et ses agences régionales, d’une « Haute Autorité de Santé » (HAS), d’une réserve sanitaire animée par l’agence Santé publique France, qui dispose elle-même d’un conseil scientifique, d’une section immunologie au CNRS, et d’une académie de médecine, l’exécutif instaure ex-nihilo le 10 mars 2020 un « conseil scientifique Covid-19 » à la discrétion du gouvernement. Officialisé a posteriori par décret du premier ministre et fonctionnant sur la base d’un règlement intérieur stipulant qu’il est « consultatif et dépourvu de fonction opérationnelle », sa composition initiale ne prévoit pas de vétérinaire ; omission surprenante s’agissant d’un coronavirus. Cet organe fait figure de caution scientifique tandis que les décisions sont prises en conseil de défense.
Les « mesures barrières » servent surtout à entretenir la peur
Toutes les formes de « distanciation sociale » fleurissent sans aucune rationalité ni cohérence. Plusieurs scientifiques tentent de poser un cadre objectif à leur usage dans une déclaration commune dite de Great Barrington mais ils sont rapidement écartés du débat public. Le port du masque d’abord qualifié d’inutile devient soudain obligatoire même en plein air ; et sa valeur symbolique rend chaque utilisateur potentiellement dangereux pour ses semblables. Son usage en collectivité ne repose pourtant sur aucune étude sérieuse et ses conséquences délétères sont à présent confirmées.
Les confinements et le télétravail isolent et poussent à chercher une issue coûte que coûte
Les familles sont confinées chez elles, les enfants ne vont plus à l’école et tout le monde est sommé de travailler à la maison, sauf certaines professions « indispensables » (agents de caisses, éboueurs, facteurs…). La France met en place un système d’auto-attestation pour autoriser les sorties du domicile. Le Canada espionne ses ressortissants.
L’isolement social est une torture que peu vivent avec plaisir, en dépit d’une communication outrancière sur ce registre ; dès le début les signaux de maladies psychiques deviennent plus forts et le taux de suicide progresse, y compris chez les enfants.
L’effet de groupe et le conformisme clivent la société, les plus lucides sont ostracisés
L’absurdité des mesures est flagrante mais la peur reste entretenue et les individus basculent dans un rapport aux autres irrationnel. Il n’y a plus de nuance ou de subtilité dans l’approche : on est d’accord ou on est contre, et si on est contre on est dangereux. Schéma historiquement bien connu mais toujours efficace, et dont le cas présent est documenté et analysé par le chercheur en sociologie Laurent Mucchielli dans le premier tome de « La doxa du Covid ». Les contradicteurs sont taxés de « complotisme » et, isolés voire conspués, perdent leur audience. Les familles et les amis se déchirent ; la zizanie s’installe et les échanges internationaux sont mis à l’arrêt.
La propagande en marche : médias mainstream et médias sociaux sous contrôle
Dans les grands médias, les « experts médicaux » sont une poignée régulièrement invitée à s’exprimer, sur un mode scientiste et sans déclaration de leurs liens d’intérêts,. Les agences de presse ne sont plus indépendantes. Les réseaux sociaux font l’objet d’une intense pression soit des fabricants, soit gouvernementale. Ils sont directement employeurs d’agents de services de renseignement (cf. les « Twitter files » à propos du FBI). L’usage du terme de « complotiste » se répand, avec ses amalgames d’extrémisme.
5. Le mirage vaccinal biotechnologique
Le vaccin est présenté comme seule alternative et des dizaines d’entreprises sont en compétition
Les traitements précoces ayant été largement discrédités et la maladie dramatisée, les « nouveaux » anti-viraux ayant des résultats catastrophiques, la solution vaccinale est alors présentée comme une panacée libératrice. C’est la ruée vers le Graal, de multiples entreprises de tous pays vont présenter leur solution ; une multitude de candidats vaccins est inscrite dans des essais cliniques. Le département de la santé des USA dispose d’une stratégie nationale de bio-défense et d’une autre agence, la BARDA, dotée d’un plan stratégique réservant une large part à la recherche de vaccins. Dont le développement est sous contrôle du département de la défense.
Quatre puis deux leaders du marché émergent en Europe
Astra-Zeneca, Janssen (Johnson et Johnson), Moderna et Pfizer sont très rapidement en position de prise de marché, et leur cours de bourse grimpe en flèche sur la base d’une communication soutenue à coups de communiqués de presse outranciers, clamant leur efficacité avant même la publication de résultats déformés et basés sur une réduction de risque relative. Assez rapidement les formules des deux premiers, basés sur des ADN sont retirées du marché en raison de risques flagrants et de décès à répétition. Restent les formules à ARNm de Pfizer-BioNtech et Moderna, après le retrait de l’allemand CureVac désormais en procès contre BioNtech.
Une seule cible vaccinale, la protéine « spike » ; une seule technologie, la génomique
La très grande majorité des solutions est basée sur la réaction immunitaire de l’organisme à une seule des protéines du virus, la « spike », alors qu’il en compte quatre potentiellement exploitables, en particulier la protéine N. En outre ces candidats vaccins sont présentés comme des innovations majeures et prometteuses, au motif qu’ils sont basés sur une technologie encore jamais utilisée dans cet objet. Pour autant ils sont d’emblée déployés en population générale, en dépit d’une composition opaque.
Le second round des médecins de plateaux
Les traitements précoces étant bannis, le chemin est tracé vers le vaccin, unique solution finale. À grand renfort de messages médias d’experts autoproclamés, subjectifs et exclusivement favorables, négligeant les effets indésirables pourtant identifiés dès 2021 par le VAERS pour les myocardites par exemple. Dans tous les pays dits développés la vaccination est le but affiché, avec l’engagement des dirigeants dans la publicité.,
Un traitement expérimental sans posologie
Dans le courant de 2020, peu de candidats vaccins restent en lice ; et ils sont pratiquement tous basés sur des technologies génétiques nées dans les années 90 dont le développement est peu onéreux. Les quatre firmes dominantes proposent une synthèse protéique in vivo à partir d’ADN ou d’ARN encapsulé dans des « convoyeurs » lipidiques. Cette biotechnologie présente un inconvénient majeur : on ne sait pas évaluer son dosage effectif, la synthèse de la protéine n’étant pas mesurée dans le corps. Des risques multiples sont mis en exergue très tôt mais ignorés et des journalistes de médias de grande audience s’autorisent à écrire que « les vaccins à ARNm ne peuvent pas modifier l’ADN des cellules humaines » et que « la grande majorité des effets secondaires observés lors des essais cliniques se manifestent dans les jours suivant la vaccination et sont classiques et relativement attendus ».
6. Le déploiement au bulldozer et l’effacement de la contradiction
Des autorisations de mise sur le marché (AMM) délivrées à la hâte
Aux USA la FDA, et en Europe l’EMA, sont sous pression politique et médiatique pour délivrer très rapidement des autorisations, alors que le recrutement des patients pour les essais cliniques des vaccins sont à peine initiés et que les essais précliniques sur animaux sont bâclés. La FDA délivre ainsi une autorisation d’urgence à Pfizer-BioNtech le 11 décembre 2020. L’EMA, dont la directrice Emer Cooke est une ancienne salariée du syndicat européen des entreprises du médicament (EFPIA), suivra 10 jours plus tard en accordant une AMM conditionnelle au produit de Pfizer puis en janvier à celui de Moderna. Des évaluateurs émettent des réserves qui sont rapidement enterrées. Des défaillances emblématiques sont dénoncées, par exemple chez Ventavia, entreprise sous-traitante de Pfizer, par une salariée responsable d’un site d’essai. Licenciée sur le champ, ses révélations feront l’objet d’une enquête du prestigieux British Médical Journal (BMJ), dont l’article de bilan sera censuré sur les réseaux sociaux après l’intervention du « vérificateur » sous-traitant de Facebook. L’abolition des bonnes pratiques des essais cliniques est largement documentée en France par Christine Cotton, qui sera auditionnée par l’OPECST, sans être vraiment entendue.
Des contrats secrets et caviardés
Des contrats d’achat anticipé sont signés dès novembre 2020 pour l’ensemble de l’Union européenne par Stella Kyriakides, la commissaire en charge de la santé. Leur négociation opaque est régulièrement questionnée par des parlementaires européens. En dépit de leurs demandes répétées, les contrats resteront longtemps secrets, puis accessibles avec de larges parties noircies, puis enfin délivrés très tardivement. Cette pratique de contrats d’achat anticipé vaut également au Canada dès août 2020. Des soupçons de corruption émergent rapidement.
Le viol des corps par extorsion de consentement
Après l’oppression des confinements, le retour à une vie normale est conditionné à la vaccination. Et les réfractaires sont ostracisés, au moyen en France d’un passe sanitaire devenant rapidement passe vaccinal, sésame sans lequel la vie sociale est interdite à ceux qui n’obtempèrent pas. En février 2021 le vaccin AstraZeneca est le premier sollicité pour les professionnels de santé français, avant d’être retiré du marché. Puis à compter du 15 septembre 2021, le corps médical, étudiants et professions connexes inclus, est soumis à vaccination obligatoire, largement soutenue par le ministre de la Santé et l’académie de médecine. Puis, innovation réglementaire, les contrats de travail de ces professionnels sont « suspendus » en cas de refus de cette vaccination expérimentale. La France est aujourd’hui le dernier État à conditionner la reprise de leur travail à un « schéma vaccinal complet », étudiants inclus. L’ensemble est en désaccord avec le code de Nuremberg et la convention d’Oviedo.
7. Les lanceurs d’alerte avaient raison
Les morts et les blessés se comptent par milliers
Dans tous les essais cliniques on compte des morts ou des disparus. Et les accidents graves se multiplient rapidement dans les populations injectées. Tant dans la base Eudravigilance européenne – qui fait état d’une croissance exponentielle des signalements dans son rapport de 2021 (page 10) – que dans le VAERS américain – débordé et totalisant 1,5 million de signalements début 2023 – les effets indésirables prennent des proportions considérables devant celles des autres thérapeutiques et les décès sont très nombreux ; ceci en dépit d’un sous-signalement en raison de la complexité des systèmes et de la frilosité du corps médical. Ce sont alors des particuliers, des collectifs et quelques rares parlementaires qui tiennent un terrible inventaire.
Les plus jeunes sont les plus touchés
Le rapport bénéfices/risques est extrêmement défavorable pour les plus jeunes : ils ne tombent pas malades du Covid ou jamais gravement, mais les risques de myocardites vaccinales sont très élevés, spécialement chez les jeunes hommes (17% soit 1 sur 6 d’après une dernière étude de janvier 2023), tandis que chez les jeunes femmes c’est l’utérus et la fonction ovarienne qui sont mis en danger, avec des perturbations significatives voire des interruptions totales du cycle menstruel, parfois non résolues (ménopauses ultra-précoces).
Le covid poursuit son développement dans les pays les plus « vaccinés »
D’après les statistiques mondiales ce sont les pays qui ont le moins vacciné qui aujourd’hui sont épargnés par le Covid, tandis qu’il est résurgent dans les pays « vaccinés » où le système immunitaire des populations est affaibli, et où les variants échappent aux anticorps.
Le vaccin n’empêche ni la contamination, ni la transmission et ni la maladie, qu’il renforce
Une représentante de la société Pfizer l’a reconnu le 10 octobre 2022 devant le Parlement européen ; leur formule vaccinale n’empêche pas la transmission. En outre l’efficacité initialement annoncée très élevée par les fabricants (plus de 95%) est régulièrement revue à la baisse, étant donnée sa diminution très rapide en moins de deux mois et de manifestations en parallèle de la dégradation du système immunitaire des injectés. Leur faible efficacité est devenue un argument renversé par les fabricants en faveur d’injections de rappel (« boosters »). Enfin et de plus, le matériel transmis via les injections peut accroître l’infection par le virus de différentes façons. En premier lieu par sélection d’anticorps facilitant (ADE).
Et – aussi incroyable que cela puisse paraître – dans un article de janvier 2023, Anthony Fauci admet l’inefficacité des vaccins Covid, tout comme ceux contre la grippe ou le RSV en raison du caractère mucosal de la primo-infection, et reconnaît l’immunité acquise durablement après infection virale, thèse soutenue de longue date par le professeur français Pierre Sonigo et par la chercheuse Hélène Banoun, entre autres.
Le graphène est bien un vecteur injectable déjà employé
Non mentionné dans la composition des sérums injectés, la présence de graphène est régulièrement questionnée, en raison en particulier d’un phénomène d’aimantation au point d’injection. D’abord moquée, elle refait régulièrement l’objet de controverses, étant donné l’usage de ce composé en médecine depuis plusieurs années,, et en raison de publications d’observations de chercheurs et de laborantins. En outre des contaminants divers sont détectés en plusieurs points du globe, dont des métaux qui justifieront le retrait de lots conséquents du marché japonais par exemple.
La « biodistribution » des nanoparticules lipidiques et de l’ARN est très large et persistante
Contrairement à ce qui est initialement prétendu par les média (« la présence de cet ARN messager dans l’organisme est très fugace, il disparaît rapidement après son injection »), la « biodistribution » des ARNm sous nanoparticules lipidiques est étendue à tout l’organisme. Elle est connue de Moderna depuis 2017 dans le cadre d’essais de vaccins contre la grippe aviaire et a fait l’objet de publications de Novartis en 2014. S’agissant des vaccins Covid elle est évaluée en détails par la société Acuitas, prestataire de Pfizer. Tandis que de l’ARNm peut être encore détecté dans le sang jusqu’à quinze jours après injection.
Le matériel génétique peut s’inscrire dans l’ADN, et se transmettre
Dans une publication de mai 2021 la rétro-transcription de l’ARNm en ADN est mise en évidence in vitro dans des cellules de foie humain. Cette possibilité avait d’emblée été évoquée par le Professeur Luc Montagnier, puis remarquablement soulignée le même mois de 2021 par Stéphanie Seneff et Greg Nigh, en plus d’autres risques tels que les maladies auto-immunes ou les maladies à prions. Pour autant l’AFP s’est crue autorisée à rapidement contester ces hypothèses, en accaparant le processus de relecture de publications scientifiques.
La protéine « spike » et les autres composants sont intrinsèquement toxiques
Les formules reposent sur une technologie de distribution de pointe : les nanoparticules lipidiques développées en particulier par la société Arbutus (désormais en procès avec Moderna pour usurpation de brevet). Or, enrobées ou non de poly-éthylène-glycol (PEG), elles sont toxiques pour les cellules, sanguines en particulier. La protéine de pointe est quant à elle une toxine très inflammatoire, dont le récepteur privilégié est l’ECA2 présent à la surface de cellules de multiples organes ou tissus. L’action délétère sur ce récepteur est très bien décrite par le professeur Jean-Marc Sabatier et ses collègues,. La protéine spike a d’autres modes d’action – mal connus mais identifiés de longue date – et il en résulte des troubles multi-systémiques et des maladies auto-immunes. Il n’a en outre pas été vérifié dans les organismes que la protéine synthétisée est bien exactement celle prétendue. Ainsi, ces formules vaccinales – au devenir très difficile à évaluer dans l’organisme – présentent un panel considérable et terrible d’effets indésirables, qui entraînent régulièrement la mort. Elles provoquent en particulier des dommages cardiaques irréversibles, voire des arrêts cardiaques soudains, dans des tranches d’âge habituellement exceptionnellement concernées, et dont les prémices sont très difficiles à déceler.
Et à présent, le désastre…
Alors que les autorisations d’urgence courent toujours aux États-Unis comme en Europe, la base de données EudraVigilance recense à présent plus de 50 000 décès et plus de 5 millions de blessés liés à ces produits, dont la mise en marché persiste. Le cadre d’intervention réglementaire semble totalement aboli et des publications critiques sont retirées.
Le moteur de recherche de « Mysciencework » recense près de 200 publications scientifiques concernant les myocardites vaccinales en 2021 et plus de 400 en 2022. Celui de « PubMed » enregistrait depuis l’an 2000 une progression régulière des publications concernant les encéphalopathies possiblement vaccinales ; il marque à présent son explosion avec plus de 800 publications en 2022.
Les cancers reprennent une activité croissante, qui, ainsi que le « covid long » peuvent s’expliquer par d’autres activités de la protéine de pointe. Et la surmortalité prend des proportions record dans les pays les plus vaccinés, en particulier en Australie avec plus de 22 000 décès excédentaires à fin septembre 2022.
…et les procès à venir
Les procédures se multiplient aux États-Unis, essentiellement à l’initiative de collectifs privés : le réseau ICAN est engagé contre la FDA et les CDC sur la base du « freedom of information act » (FOIA) ; le réseau « Public Citizen » est engagé contre Pfizer ; ainsi que le groupement PHMPT qui rassemble plus de 600 scientifiques médicaux. Parmi les plaintes individuelles on relève en particulier celle de Brook Jackson, ex-salariée de Ventavia sous-traitant d’essais cliniques de Pfizer cité plus haut. Encore plus signifiant peut-être, des plaintes sont également directement engagées par des États comme la Louisiane ou le Missouri contre le gouvernement Biden.
À l’été 2022, 500 personnels de santé de l’Illinois, licenciés pour refus de vaccination, ont gagné leur procès collectif contre leur employeur : 10 millions de dollars de dédommagement, dont deux pour couvrir les frais de procédure.,
En Suisse Alain Berset, le chef du département fédéral de l’Intérieur et président de la Confédération, est l’objet d’une plainte. Le Danemark a mis à jour ses recommandations et ne recommande plus la vaccination aux moins de 50 ans depuis septembre 2022. Au Japon un groupe de scientifiques mené par le professeur Fukushima tient une conférence de presse le 2 février 2023 pour annoncer qu’il porte plainte contre le gouvernement japonais.
Les plaintes étaient déjà nombreuses en France dès 2021 et une plainte pour empoisonnement est déposée en avril par Maître Joseph (mais le juge concerné vient d’être dessaisi). Pour autant, les personnels soignants ou assimilés, non vaccinés, restent « suspendus », et depuis le 19 janvier 2023 en France, la vaccination est désormais ouverte aux enfants à partir de 6 mois « à risque de forme grave de Covid-19 et à ceux vivant dans l’entourage d’une personne immunodéprimée ».
Mais les indemnisations des victimes ont commencé au Canada ainsi qu’à Singapour et ce serait possible en Europe, même d’après les « fact-checkeurs ».
Et le média allemand Die Welt vient de s’apercevoir que « l’approbation du vaccin à l’ARNm de Biontech/Pfizer pourrait résulter de faux documents ».
Ce qui n’empêche pas en France le Covars d’écrire dans son avis du 9 février 2023, rédigé après audition des entreprises concernées :
• « Après autorisation, les premières campagnes de vaccination de masse par vaccins à ARNm ont permis de prévenir dans 95% des cas l’infection symptomatique par le Sars-Cov-2, et dans environ 75% l’infection asymptomatique et la transmission » ;
• « Les essais de phase I, II et III portant sur des dizaines de milliers de volontaires ont montré une très bonne tolérance des vaccins à ARNm anti-Covid, sans effets indésirables graves » ;
• « Les myocardites et péricardites, rares de l’ordre de 1/100 000 environ, survenant pour la plupart chez des hommes de moins de 30 ans, sont très majoritairement résolutives, non létales » ;
• « Une bonne tolérance permettant leur utilisation chez les nourrissons de plus de 6 mois, la femme enceinte et les immunodéprimés » ;
et « La baisse de confiance dans les vaccins ARNm au cours de la campagne de vaccination résulte pour partie de la diffusion de nombreuses fausses informations « fake news » et théories non fondées sur la science » avec pour entre autres raisons les « précautions prises en toute transparence par les autorités de santé qui ont pu être récupérées à des fins de désinformation et détournées par les réseaux antivax ».
source : AIMSIB
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Source : Lire l'article complet par Réseau International
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