Introduction
La médecine allopathique, celle qui s’est imposée en France dans les années 40 par une loi vichyste, rendant illégale toute autre approche de la santé et du soin, s’est laissée séduire par une fallacieuse « évidence » de l’observation, et aujourd’hui, plus que jamais, elle est absolument convaincue d’avoir raison.
Il y a bien entendu de nombreux excellents médecins qui ont un esprit ouvert, intelligent et qui sont intéressés notamment par les médecines alternatives, les ayant parfois adoptées dans leur pratique médicale… Nous voulons ici parler de la caste médicale en tant que telle et non pas de médecins qui peuvent être d’ailleurs de véritables héros dans les temps actuels !
Concernant la caste allopathique, celle-ci affiche des certitudes qui font désormais partie du corpus dogmatique de la « science » médicale et les étudiants en médecine doivent impérativement réciter le catéchisme de la doctrine allopathique, notamment le chapitre sur les vaccins, pour entrer dans la secte et mériter, à la fin de leur conditionnement, le nom prestigieux de médecins ! Le petit catéchisme rouge de la secte vichyste allopathe, considère toute critique du vaccinalisme comme hérétique et conduit le contrevenant à l’orthodoxie allopathique vers les bûchers de la répression totalitaire ! Les médecins se montrant critiques à l’égard de la doctrine vaccinale peuvent avoir de gros ennuis avec l’Ordre des médecins qui veille sur l’orthodoxie de la pratique médicale comme l’Inquisition veillait sur l’orthodoxie du dogme catholique !
Tout comme les inquisiteurs étaient absolument convaincus d’une course du Soleil autour de la Terre, la médecine allopathe pense que le vaccin est la solution miracle, « scientifique », qui permet de forcer le système immunitaire de l’humain à produire le stock indispensable d’anticorps, car, pense-t-elle, cette production d’anticorps n’est pas déclenchée naturellement dès l’intrusion du virus dans le corps, ce virus n’étant pourtant pas affaibli, comme dans le vaccin, mais en pleine force de sa virulence !!!
Galilée démontrait scientifiquement que ce qui paraissait « évident » à l’observation sommaire et fallacieuse, n’était pas la vérité, lorsqu’on se donnait la peine de regarder la réalité plus attentivement ! Bien qu’ayant effectivement raison, (c’est la Terre qui tourne autour du Soleil), Galilée était cependant condamné par les savants de son époque et il dû se rétracter en acceptant de reconnaître les sottises des savants, comme vérité incontestable et non critiquable, sous peine de bûcher !
Avec la médecine vichyste allopathe, nous en sommes tout à fait au même point, c’est-à-dire à une mentalité qui nous ramène à plus de 4 siècles en arrière !
On se souviendra « ad vitam aeternam » des nombreuses contre-vérités radotées par les médecins de plateaux TV vendus aux conflits d’intérêts et de ceux qui étaient muets, pétrifiés, menacés pour l’avenir de leur carrière, pour leurs revenus, pour leur subsistance…
Nous savons tous comment, dans cette crise du coronavirus, des médecins et le personnel soignant restés honnêtes, ont été maltraités, sanctionnés, violemment condamnés à la mort sociale et à la mort tout court en étant censurés, sanctionnés, suspendus, dans l’impossibilité de travailler, ni de chercher même un autre emploi pour survivre !
Le monde médical à travers ses « autorités », s’est révélé être un monde hautement sectaire, hautement tyrannique, hautement pervers… et hautement criminel !
Dans la crise de la Covid-19, les bien-portants « asymptomatiques », pourtant déclarés obligatoirement « infectés », ne développaient aucun symptôme, aucun signe de maladie, rien, et devenaient les principaux « responsables » de la diffusion du virus, puisqu’ils représentaient les 3/4 des contaminés théoriques !
Des grands professeurs de médecine s’échinaient à dénoncer ces « malades clandestins », « dangereux pour les autres », « coupables d’un délit d’illusion de bonne santé », mais qu’une vaccination massive pourrait racheter !
A partir de là, les « autorités sanitaires » allaient organiser la terreur par la culpabilisation et les statistiques grossièrement manipulées et systématiquement falsifiées. Une médecine totalitaire allait exiger des politiques qu’ils appliquent leurs décisions pourtant entièrement fondées sur plusieurs mensonges y compris scientifiques ! Avec le recul, l’étude attentive des chiffres qui a été faite par de nombreux experts de ces questions de santé publique, a démontré qu’une corruption des autorités sanitaires était mondiale, organisée, orchestrée par les responsables de cette perversion, comme on l’a très largement commenté depuis trois ans, les sources multiples d’informations ayant anéanti le narratif mensonger officiel, de manière irréversible. (Cf., le gros dossier Covid de www.mondialisation.ca)
Il n’est plus suffisant de bêler stupidement l’accusation de « complotisme », la gueule enfarinée et convaincu que la sottise soit devenue une preuve d’intelligence !
L’épidémiologie a voulu recourir aux équations mathématiques pour fonder son discours et dorer son blason au prestige de la science des sciences. C’est de cette manière que les statistiques devinrent « la vérité incontestable » quasi « révélée » ! Précisément, c’est sur cette « fiction mathématique » que repose le précepte « bénéfices/risques » qui est le fondement des prescriptions médicales et des mesures que l’organisation sanitaire impose arbitrairement à la société.
L’épidémiologiste Britannique, Neil Ferguson, travaillant sur les modélisations mathématiques des épidémies, annonçait le 16 mars 2020, que, si rien n’était fait, « la Grande-Bretagne dénombrerait jusqu’à 550 000 morts de la Covid-19, les Etats-Unis, 1,2 million et la France, 3 % de sa population, soit 2 millions de personnes ! Macron allait se baser avec le « Conseil Scientifique » pour la gestion de la crise, sur les prédictions de Ferguson et sur les conseils de « McKinsey & Company », cela lui permettant aussitôt de répandre largement la terreur sur la population…
La théorie des vaccins en particulier s’est largement inspirée de la peur, des fantasmes, des archaïsmes culturels, d’anciennes terreurs habitant la profondeur de l’inconscient collectif habilement manipulé à l’occasion de cette crise organisée ! Mais nous devons examiner tout cela depuis le début de l’histoire des vaccins qui prétendait consacrer l’entrée de la médecine dans la modernité, la faisant accéder enfin au prestige du monde scientifique !
Nous devons recourir aux historiens qui sont là pour accomplir leur tâche consistant à débroussailler les archives de l’histoire, en les examinant attentivement pour nous restituer l’objectivité de la réalité factuelle qu’elles contiennent.
C’est ainsi que nous allons découvrir comment la grande Histoire nous fait le récit bien différent de celui qui a été convenu par la secte médicale allopathique ayant éliminé tous les concurrents et ceux qui pouvaient, par leur pratique, démontrer à quel point la légende du vaccin était mensongère, abusant des millions de gens depuis qu’elle s’est imposée comme « vérité scientifique incontestable » et faisant des millions de victimes, sans que sa criminalité ne soit jamais remise en cause !
1 – Pasteur et l’Histoire
Le médecin anglais Edward Jenner a été le premier à inoculer la vaccine, maladie spécifique des bovins, afin de protéger les hommes de la variole ou petite vérole, mais c’est Pasteur (1822-1895) qui reste le père de la vaccination, à cause de ses travaux mieux vulgarisés et diffusés sur la mise au point d’un vaccin. Pasteur exploitait à la perfection les travaux des autres. Il s’informait de tout ce qui pouvait se faire et utilisait cette connaissance pour orienter ses propres recherches.
A cause des années de sacrifices consentis, de solitude et de travail acharné dans l’isolement de son laboratoire de recherche, à cause des fortunes dépensées pour ses recherches, Pasteur avec son entourage, y compris les responsables de la santé publique, estimèrent qu’il n’était pas possible d’accepter le bilan négatif final qu’il tirait de ses expériences. Ils estimaient qu’ils avaient hissé la médecine au niveau des sciences et qu’ils lui avaient donné un statut de respectabilité jamais atteint auparavant. Accepter la reconnaissance de l’échec n’était plus envisageable : un retour en arrière n’était pas tolérable !
C’est ainsi que le dogme pasteurien s’est ancré dans les esprits devenus aveugles et incapables de reconnaître l’imposture. Pasteur a été convaincu de maquiller les résultats d’expériences qui infirmaient sa théorie vaccinale, dans les publications présentées à l’Académie de médecine. Dans un second temps, il s’est habilement approprié des travaux d’autres chercheurs, comme ceux d’Antoine Béchamp (1816-1908), l’un des plus grands savants du XIXème siècle, médecin biologiste, naturaliste, professeur de chimie médicale et pharmaceutique de la faculté de Montpellier et professeur de chimie biologique et de physique à l’Université de Paris, puis doyen de la Faculté libre de Lille.
(Cf., « Pour en finir avec Pasteur », Dr Eric ANCELET, éditions Marco Pietteur, 1998 ; Marc Menant, « L’inquiétante histoire des vaccins », Plon, 2022, 265 pages.)
C’est Béchamp qui avait démontré la validité des hypothèses de Claude Bernard sur la valeur du terrain propre à chaque individu et c’est lui qui fut le premier à comprendre la cause microbienne des pathologies infectieuses. Son œuvre est quasi inconnue de nos jours, parce qu’elle a été éclipsée, détournée au profit des intérêts personnels de Pasteur qui en a récupéré les lauriers.
On connaît les doutes de Pasteur et de son entourage sur l’affaire du petit Joseph Meister qu’il aurait sauvé de la rage, car Pasteur savait bien que beaucoup d’éléments grevaient la validité de cette expérience. Trop de facteurs objectifs pouvaient remettre en cause la certitude de Pasteur lui-même et c’est ce qui arriva pour le chercheur qui savait pertinemment que les conditions de l’expérience de vaccination n’étaient ni réunies, ni satisfaisantes, ni finalement concluantes.
Le vaccin de Pasteur, à base de moelle desséchée, était très dangereux et fut rapidement abandonné, moyennant d’ailleurs un conflit tenace avec son principal collaborateur le Dr Roux qui n’avait pas apprécié un détournement de « paternité » par Louis Pasteur qui lui avait dérobé ses échantillons et ses notes. On peut dire que le jeune Meister avait échappé à une issue fatale désastreuse de cette expérience du vaccin contre la rage. L’histoire réécrite par les protagonistes de cette expérience a retenu cet épisode de vaccin comme un succès, mais en oubliant volontairement de dire que ce vaccin avait multiplié les décès dans le contexte de la rage.
Entre 1869 et 1872, Pasteur énonçait trois principes de base erronés qui servent pourtant encore aujourd’hui de fondement à la vaccination !
Le premier estimait que l’asepsie règne dans nos cellules : la cellule est propre, tous les microbes sont exogènes (c’est-à-dire qu’ils viennent de l’extérieur) et attaquent les cellules depuis l’extérieur. Ces germes ont une existence indépendante des organismes vivants.
Le second c’est que chaque maladie correspond à un agent spécifique, microbe ou virus, contre lequel on peut se prémunir grâce à un vaccin.
Le troisième disait que l’immunité s’obtient par la production d’anticorps en réaction à l’introduction d’antigènes contenus dans le vaccin et ces anticorps confèrent une protection.
Nous savons depuis longtemps que ces trois postulats sont faux. Les découvertes en immunologie les contredisent totalement, mais les vaccinalistes font toujours semblant d’ignorer ces travaux. On se demande pourquoi ?
Nous vivons en symbiose avec les micro-organismes et si nous les considérons comme nos ennemis, nous entrons dans une logique de guerre qui met en péril notre système immunitaire. Car, ce sont des bactéries qui maintiennent notre équilibre biologique et qui ne deviennent pathogènes qu’au moment où notre système immunitaire est perturbé en ne remplissant plus ses fonctions naturelles.
Quant aux virus, ils se reproduisent uniquement à partir de leur matériel génétique et ne sont que des parasites des cellules. Notre corps peut abriter de nombreux virus sans que nous ne soyons malades pour autant. Il est donc essentiel de comprendre que tout ce monde microbien ou viral n’est pas un ennemi qu’il faut éradiquer à tout prix, tout en croyant que seul importe le terrain devant être préservé de ses véritables agresseurs.
A la naissance, le système immunitaire n’est pas encore mature. Pour survivre, le nourrisson est protégé par les anticorps maternels. Cette immunité héritée est remplacée par une immunité personnelle au fur et à mesure que l’enfant rencontre des germes, microbes ou virus, particulièrement grâce aux maladies infantiles. C’est pour cette raison que les vaccinations apparaissent comme des éléments perturbateurs incontrôlables et particulièrement inopportuns.
Le Pr J. Tissot, professeur de physiologie générale au Muséum d’histoire naturelle, mettait déjà en garde le monde médical bien avant le délire vaccinaliste actuel :
« L’immunité par vaccination ne s’acquiert qu’en conférant à l’individu la phase chronique de la maladie qu’on veut précisément éviter, phase chronique qui comporte, dans un avenir proche ou très éloigné, de redoutables complications ». (Cf., Pr J. Tissot, « Constitution des organismes animaux et végétaux, causes des maladies qui les éloignent »).
De plus, il faut le répéter : les vaccinations ne procurent pas la même immunité que les maladies elles-mêmes et les taux d’anticorps évalués après les vaccinations sont généralement inférieurs à ceux qui sont évalués après les maladies. L’immunité conférée par la maladie est définitive, ce qui n’est pas le cas par la médiation de la vaccination. Cela entraîne de graves problèmes lorsque la personne humaine vieillit : les maladies deviennent plus graves chez les personnes âgées, à cause du retard des capacités immunitaires provoqué par les vaccins.
Ils sont légions, dans le corps médical et dans le personnel soignant, comme dans la population, à penser sincèrement que la plupart des épidémies ont disparu grâce aux vaccinations et refusent catégoriquement de remettre en cause leur certitude dogmatique héritée de la légende Pasteurienne. Pourtant, l’objectivité historique et scientifique démontre, sans l’ombre d’un doute, que les épidémies ayant ravagé nos pays ont bel et bien disparu sans aucun vaccin, ce que les partisans des vaccins font semblant d’ignorer, car il est impossible de ne pas savoir !
Comme on va le voir, les courbes de décroissance des maladies débutent toujours bien avant les vaccinations rendues obligatoires lorsque les maladies ont pratiquement disparu !
Les fanatiques du vaccin ne se demandent jamais pourquoi ces épidémies ne continuent pas de sévir dans les pays qui n’ont pas pratiqué les vaccinations ou qui les ont abandonnées. Ces gens ne se demandent jamais pourquoi l’épidémiologie et la presse scientifique internationale attestent que des épidémies surgissent encore dans des pays où la couverture vaccinale est totale ? !
Les immunologistes s’interrogent toujours sur les poussées épidémiques survenant dans les populations vaccinées contre la rougeole, la polio, la tuberculose, la diphtérie et la coqueluche. Ce constat est une évidence bien dérangeante pour les partisans de la vaccination, car cela veut dire clairement la faillite de la vaccination.
Dans Médecine praticienne (N°467), le Pr Lépine constatait à son tour :
« Dans plusieurs pays en voie de développement, on s’était imaginé qu’avec une seule campagne de vaccinations, on arriverait à résoudre le problème. Or, dans plusieurs de ces pays, la fréquence de ces maladies a augmenté, allant même jusqu’à quintupler depuis la vaccination ».
« S’il n’y avait que les vrais malades à soigner, la médecine serait en situation économiquement difficile. Il faut donc convaincre l’ensemble de la population qu’elle est potentiellement malade et vendre des médicaments à ceux qui n’en ont pas besoin ». (Pr. Didier SICARD chef du service interne à l’hôpital Cochin, président du Comité national consultatif d’éthique)
Redisons-le encore clairement : un enfant de parents en bonne santé naît avec un potentiel important et développe progressivement son immunité. Il est tout à fait capable d’affronter les maladies infantiles. Il est aberrant de dramatiser à la pensée que les petits seraient immanquablement menacés par des ennemis impitoyables les guettant dès leur arrivée en ce monde ! Les parents conditionnés par la propagande et anxieux face au danger inévitable pensent que les vaccinations sont une panacée et qu’elles éviteront les maladies de leurs enfants. C’est tout le contraire qui est vrai et celui qui prétend bêtement que ce discours est « complotiste » serait bien incapable de prouver son infaillibilité idéologique alors que nous avons l’embarras du choix en termes de démonstrations scientifiques contraires à la croyance archaïque officielle et intolérante basée sur du mensonge et de la vulgaire falsification !
« Les vaccinations affaiblissent considérablement le terrain. Les maladies aiguës, incapables de s’exprimer, peuvent se développer de façon larvée, insidieuse, faisant le lit de maladies chroniques souvent graves et inguérissables. Il ne faut donc pas redouter les maladies infantiles, rester serein, et aider l’enfant à surmonter cette légère épreuve. Comme le disait déjà Hippocrate : « Le corps fait une maladie pour se guérir ». »
(Cf., Sylvie Simon, « Les 10 plus gros mensonges sur les vaccins », DANGLES 2005 (3ème livre d’une collection « les 10 plus gros mensonges »).
Il va de soi qu’il faut surveiller l’évolution des maladies infantiles afin de ne pas commettre d’imprudences qui pourraient entraîner des complications chez les enfants fragiles ou prédisposés à certaines pathologies. Paradoxalement, ce sont précisément ces enfants-là qui manifestent les effets secondaires les plus graves après la vaccination.
Louis Pasteur et son équipe étaient persuadés de sortir la médecine de la superstition et des pratiques moyenâgeuses, ils étaient convaincus qu’ils allaient initier des thérapies salvatrices de l’humanité. A l’époque, le Professeur Brouardel disait au docteur Roux qui travaillait avec Pasteur :
« Si je ne prends pas position en votre faveur, c’est un recul immédiat de cinquante ans dans l’évolution de la science. (Malgré le mensonge auquel il faut s’en tenir), nous devons éviter cela ! »
Comment après tant d’années de sacrifices, l’équipe de Pasteur et les responsables de la santé publique auraient pu avoir le courage de remettre en cause leur travail qui s’était égaré sur une piste fallacieuse ?
Ils ne pensaient pas se rendre coupables d’une terrible imposture, ils s’abusaient eux-mêmes, en toute bonne foi !
Jean-Yves Jézéquel
A suivre…
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