Les faits : le 2 mars 2022, une citoyenne, membre de l’association « Anticrim » – fondée en décembre 2021, en Suisse, par l’activiste François Meylan et le Docteur Francisco Verdú Vicente, avec la finalité de dénoncer l’absence de débat équilibré sur les sujets qui fâchent, saisit le Conseil suisse de la presse au sujet d’un article du Big média zurichois « Blick », site francophone.
Cet article signé par Johannes Hillig et « adapté » par Yvan Mulone s’intitule « Un professeur zurichois coronasceptique bloqué par Twitter ». Ce n’est pas le fait de tirer à boulets rouges sur le malheureux professeur zurichois Martin Janssen qui vraisemblablement ne file pas droit au regard de la pensée unique que dénonce notre plaignante. Mais que dans moins de trois pages que compte le texte le journaliste Johannes Hillig descende en flammes l’ivermectine en la réduisant au statut de vermifuge pour chevaux. Ce qui est inexact. L’ivermectine est répertoriée par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) comme médicament de base pour l’être humain. Découverte dans les années 1970 par le Docteur Satoshi Omura, prix Nobel de Médecine en 2015, a été distribuée quelques sept milliards de fois à l’humain, durant 40 ans ! Ses propriétés sont antivirales ; anti bactériennes ; anticancéreuses et anti-inflammatoires. Le « Blick » pratique ainsi un concept qui est vieux comme le monde celui de ne dire qu’une partie de la vérité. En l’espèce, il s’agit bien de disqualifier l’ivermectine qui a fait ses preuves durant une quarantaine d’années au profit d’inoculations ARN Messager qui n’étaient qu’au stade expérimental, quand l’article a été publié. Mais est-ce que le « Blick » ? La courageuse journaliste suisse Amèle Debey y répond le 4 janvier 2022 : Blick est-il encore crédible dans son traitement de la Covid ? L’information a fait grand bruit ces derniers jours : le PDG de l’éditeur Ringier, fier membre du duopole médiatique qui informe le pays, a reconnu avoir demandé à ses rédactions de ne pas remettre en question la position gouvernementale à propos de la crise Covid. En Suisse romande, la version francophone du Blick s’est particulièrement illustrée dans le suivisme et la docilité envers la parole officielle. Malgré les explications de son rédacteur en chef, le portail, ainsi que tous les autres titres de Ringier, sont-ils encore crédibles dans le traitement de la pandémie ?
Pour autant, on est en droit d’attendre de la part de l’autorité de surveillance qu’est le Conseil suisse de la presse un minimum de courage. Qu’elle fasse respecter le droit qu’a le public d’être bien informé. Comme le prescrit la Charte de déontologie du journaliste appelée communément la Charte de Münich. Parce que sans une information de qualité – soit la recherche de la vérité – le citoyen ne saurait exercer comme il se doit la démocratie.
Il en est rien. Le 11 octobre 2022, l’avocat Matthias Schwaibold a répondu à la plainte, au nom de la rédaction en chef du « Blick », et demandé qu’elle soit rejetée. Il critique d’abord la longueur de la procédure menée au Conseil suisse de la presse. Et il se permet de rappeler que tout ce qui est vrai n’est pas important ! Le journalisme, selon lui, a pour tâche de mettre en lumière ce qui est important parmi ce qui est vrai.
Ainsi le public dépendrait du bon vouloir du seul journaliste pour être bien informé ; partiellement informé ; mal informé voire pas informé du tout. Où on attendrait l’intervention du Conseil suisse de la presse au profit du citoyen qui par ailleurs l’entretient économiquement parlant par le biais de la redevance le Conseil suisse de la presse se couche une fois de plus devant l’insistance d’un avocat, en plus de ne vraisemblablement pas savoir que Covid-19 s’écrit au féminin et non au masculin. Autre élément révélateur est que la décision de rejeter la plainte prise en date du 30 décembre 2022 rappelle les arguments du journaliste Johannes Hillig : « Il s’agit d’un vermifuge destiné aux chevaux que les opposants à la vaccination présentent pourtant comme une alternative à la piqûre. Swissmedic et divers médecins ont déjà mis en garde contre ce produit. En effet, l’ingestion incontrôlée par l’être humain serait dangereuse pour la santé. Ni les États-Unis, ni l’Allemagne, ni l’Autriche, ni la Suisse n’autorisent ce produit pour combattre le coronavirus. Le vermifuge a malgré tout l’aura d’un remède miracle aux yeux des antivax. »
Depuis quand des pays comme les États-Unis, l’Allemagne, l’Autriche ou encore la Suisse sont-ils des références en matière de traitement de la Covid-19 ? C’est l’Occident hyper inoculé aux injections ARN messager qui présente le plus de pertes humaines !
Le Comité d’Anticrim
PA François Meylan
Case postale
1110 Morges 2
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Source : Lire l'article complet par Réseau International
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