Trudeau, au théâtre du « quebec bashing »
Depuis son élection en 2015 à titre de premier ministre du Canada, Justin Trudeau à multiplié les comportements imprévisibles et les gaffes monumentales. De l’affaire Aga Khan aux blackfaces en passant par les scandales avec SNC-Lavalin et WE Charity, il a toujours su trouver la réplique théâtrale pour occuper la scène en sa faveur. Sans oublier les fiascos du système Phénix et de ArriveCan, la crise des passeports et ses déficits à répétition qui propulsent la dette à des sommets jamais atteints.
Et pour ajouter l’affront à la complaisance, le premier ministre du Canada procède à la nomination d’Amira Elghawaby à titre de représentante spéciale du Canada chargée de la lutte contre l’islamophobie, une militante aguerrie qui s’est évertuée à lancer des accusations vicieuses contre les Québécois depuis plusieurs années en les traitant de racistes et d’anti-musulmans. Et cette dame, aux yeux de Justin Trudeau, a toute la « crédibilité’ pour construire des ponts entre les différentes tendances idéologiques.
Et pourtant, comme par miracle, Justin Trudeau réussit à se maintenir en tête dans les sondages auprès de l’électorat québécois.Est-ce à cause de l’aura de son « illustre » père? Ou peut-être de son côté téflon qui transforme les attaques des adversaires en démonstration de sympathie de la part de ses admirateurs?
Enfin, pour parodier la question désormais célèbre de Cicéron adressée à Catilina, « Jusqu’à quand, Trudeau, abuseras-tu de notre patience?
De l’eau au moulin…
https://www.journaldequebec.com/2023/02/03/qui-ravive-les-tensions-au-quebec
https://www.journaldequebec.com/2023/02/03/amira-elghawaby-naurait-jamais-du-etre-nommee
https://www.journaldequebec.com/2023/02/03/trudeau-linoxydable
Henri Marineau, Québec
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