Héros, holocaustes et hijabs

1. Campagne de dons Janvier 2023

   Chers amis lecteurs. 2023 devrait être une année majeure dans le dévoilement de tous les mensonges qui ont permis à certaines puissances de prendre le contrôle de toute l’humanité. Le Great Reset aura peut-être bien lieu cette année, mais pas comme le voudrait le WEF de Davos. En parallèle des guerres économique et militaire, la guerre médiatique est de plus en plus virulente et la nécessité pour les médias alternatifs d’être prêts à y faire face est plus qu’urgente. A Réseau International, nous avons décidé de passer à une étape supérieure avec tous les moyens nous permettant d’être au rendez-vous des grands chamboulements qui nous attendent. Pour cela, nous avons besoin de vous et de votre soutien.

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par Miri Banne

Cela arrive enfin : ce que nous, les marginaux fous, qui habitons dans des sous-sols, disons depuis des années (et j’ai en fait un sous-sol, enfin une cave, entièrement câblé et tout, et j’ai envisagé de m’y installer en cas de guerre nucléaire / d’invasion d’armées / de descente d’extraterrestres, ou si l’une des autres alertes autrefois connues sous le nom de théories du complot se réalisait…).

Andrew Bridgen, député du North West Leicestershire, fait actuellement la une de tous les journaux pour avoir partagé sur les médias sociaux une déclaration comparant le déploiement du vaccin à ARNm à l’Holocauste. Cette déclaration fait suite au récent discours de Bridgen au Parlement, dans lequel il a appelé à une « suspension complète » de tous les vaccins Covid, sur la base de « données solides faisant état d’effets néfastes importants et de peu de bénéfices continus ».

Inutile de dire que Bridgen a tout à fait raison, comme le confirment les études les unes après les autres, et en écho à ce que nous, les « théoriciens du complot » (c’est-à-dire ceux qui ne sont pas incapables de reconnaître l’évidence flagrante ni d’utiliser une logique rudimentaire), disons depuis le début : les injections Covid ne sont pas, et n’ont jamais été, des « vaccins » – des prophylactiques destinés à prévenir les maladies – ils sont, et ont toujours été, une arme de dépeuplement destinée à réduire la fertilité et à accélérer la mort. Nous disposons désormais de données réelles qui confirment que les vaccins ne sont pas du tout des moyens de prévention des maladies (le NHS est actuellement soumis à une pression plus forte que jamais depuis que l’on a commencé à enregistrer les données), mais qu’ils sont en corrélation avec une surmortalité en constante augmentation dans tous les pays fortement vaccinés.

Les dégâts sont si étendus et si dévastateurs qu’il a toujours été évident que « la vérité » (ou plutôt une version « limitée » de celle-ci) finirait par éclater, et comme je le dis depuis des mois, ceci – « la grande révélation » – a toujours fait partie du plan : un précurseur nécessaire à « la grande réinitialisation ». En résumé : nous sommes censés perdre toute confiance et toute foi dans les institutions existantes (le gouvernement, le NHS, etc.), afin qu’elles puissent être détruites et balayées, pour faire place à quelque chose de complètement nouveau (l’ordre mondial).

Mais, objecterez-vous, les commentaires de Bridgen sont condamnés ! Il a été abondamment réprimandé et s’est vu retirer le titre de Whip du parti, et il purge actuellement une suspension de cinq jours de son parti.

C’est vrai, mais pensez-vous que ces maîtres de la scène mondiale, producteurs chevronnés de certains des théâtres politiques les plus captivants de toute l’histoire, ne savent pas comment raconter une bonne histoire ?

Après tout, le héros en puissance ne se contente pas de défier l’establishment corrompu et de sauver instantanément la situation. Regardez n’importe quel bon drame judiciaire ou thriller d’espionnage à gros budget. Il doit rencontrer une résistance, sinon il n’y aurait pas d’histoire. Tout scénariste digne de ce nom comprend le type de scénarios qui plaisent aux gens et sait que ce que nous apprécions par-dessus tout, c’est l’expérience de la « tension et du relâchement ».

Lorsque nous allons au cinéma pour voir notre héros d’action préféré sauver le monde une fois de plus, nous voulons le voir défié, persécuté, contrecarré à chaque tournant – nous voulons que la tension et le suspense montent et montent – avant que, finalement, dans un crescendo époustouflant plein de surprises et de rebondissements, il triomphe et sauve la situation. C’est ainsi que se déroulent les histoires de sauveurs héroïques, et elles ne retiennent pas toute notre attention et ne suscitent pas notre soutien maximal si ce n’est pas le cas.

Imaginez que Bridgen soit entré au Parlement et ait dit « les vaccins tuent tout le monde et il faut les arrêter », et que le Parlement ait répondu par « oh, d’accord ».

Cela n’intéresserait pas les gens autant que l’histoire d’un vrai sauveur, et ce ne serait pas non plus plausible en tant que récit : il n’est pas plausible que des établissements maléfiques impitoyablement puissants se laissent aller au premier défi lancé par le petit gars. Donc, ils doivent faire comme ça. Bridgen doit rencontrer une opposition et une fureur féroces, afin de renforcer son statut de héros mythique (tous les héros doivent endurer des persécutions pour consolider leur statut de sauveur plus tard), et pour diaboliser davantage l’establishment existant comme étant irrémédiablement corrompu jusqu’à la moelle (il doit donc être définitivement éliminé) une fois que la vérité est enfin reconnue.

Car rappelez-vous toujours : il n’y a pas de mauvaise publicité. Il n’y en a vraiment pas. Comme le savent trop bien les rédacteurs en chef des médias traditionnels, la véritable façon d’écraser une histoire, un mouvement, une personne, c’est de les priver de l’élément vital dont ils ont besoin pour rester pertinents et attirer des soutiens – la publicité – et non pas de les placarder sur toutes les premières pages pour qu’ils soient littéralement la seule chose dont on parle. C’est précisément le même phénomène que nous avons vu avec Andrew Tate, comme je l’ai détaillé au début du mois.

Il est intéressant de noter que ces deux prétendus héros et sauveurs persécutés partagent le nom d’Andrew, qui signifie courageux, fort, guerrier.

On nous vend des héros (« quand le peuple voudra un héros, nous le lui fournirons » – Albert Pike) et les scénaristes de la scène mondiale nous disent haut et fort que c’est ce qu’ils sont : tout d’abord, en leur faisant subir la période d’attaque et de persécution requise, et ensuite, même par leur nom – « Andrew ». Leurs noms signifient littéralement « guerriers courageux ». Nos sauveurs sont là !

Maintenant, une chose intéressante à noter à propos de Bridgen, c’est ce qui suit :

Ce que cette image vous dit (parce qu’ils sont toujours tenus de nous dire ce qu’ils font vraiment), c’est que tout ceci est du théâtre maçonnique. En termes simples, des ingénieurs sociaux de haut niveau, qui sont très souvent des francs-maçons, mettent en scène des événements sur la scène mondiale et les font passer pour réels, afin de faire de la propagande auprès du public. C’est d’ailleurs une chose tout à fait légale à faire, et comme l’explique le Dr Naomi Wolf, journaliste et militante politique chevronnée, dans cette brève conférence (9 minutes), les classes politiques le font tout le temps.

Comme le dit Wolf, « Nous sommes entrés dans une ère où il n’est pas fou d’évaluer les événements d’actualité pour voir s’ils sont réels ou non… En fait, il est plutôt fou de ne pas le faire ».

Ainsi, Bridgen joue maintenant le rôle de « héros sauveur persécuté » pour ses maîtres maçonniques (après avoir joué le rôle de « receveur de piqûres enthousiaste »), tout comme Andrew Tate.

Andrew Tate résiderait actuellement dans une « prison roumaine de l’enfer », où, fait remarquable, il est capable de composer fréquemment des tweets, et les journaux nous informent avec empressement de tous les derniers événements dramatiques de cette saga entièrement scénarisée, renforçant ainsi son profil de héros du peuple brutalement opprimé, accusé d’avoir défié l’establishment maléfique.

Tate, d’ailleurs, finira par être déclaré totalement innocent, car tout ceci n’est que du théâtre – un scénario, une mise en scène, un jeu – pour accroître sa notoriété et son profil médiatique. Cela fonctionne exceptionnellement bien, n’est-ce pas (après tout, combien de personnes qui n’avaient pas la moindre idée de qui il était le mois dernier, savent maintenant qui il est ?)

Ce que vous ne savez peut-être pas au sujet de Tate, c’est qu’il est devenu un sujet de discussion fréquent dans les écoles du pays, parce qu’il est apparemment en train de « radicaliser » des adolescents et de leur inculquer des idées si rétrogrades et patriarcales certaines femmes commencent à refuser de les enseigner.

Un formateur professionnel d’enseignants, qui organise des sessions de formation dans les écoles sur la lutte contre le sexisme et la promotion de relations sans violence, déclare : « Depuis septembre, chaque session de formation que j’ai organisée s’est soldée par un succès » :

Depuis septembre, dans chaque session de formation que j’ai organisée, les enseignants ont mentionné le nom de Tate…

Les enseignants ont dit que lorsque les élèves parlent de lui, ils gonflent leur poitrine comme s’ils le représentaient. Il y a définitivement l’idée qu’il est une sorte d’avatar pour eux.

Les enseignants disent que son influence est palpable et qu’il y a très peu de jeunes hommes qui ne connaissent pas son travail.

C’est un niveau d’influence phénoménal sur la nouvelle génération, et ce n’est pas un hasard. Ce niveau incroyable de notoriété ne se produit jamais. Tate est présenté comme le sauveur-héros de la prochaine cohorte de jeunes hommes privés de leurs droits qui, comme l’a identifié Jordan Peterson, sont de plus en plus perdus et mis sur la touche dans le récit social dominant sur l’égalité des chances et les droits des femmes.

Les garçons et les jeunes hommes ont de plus en plus de mal, réussissent moins bien à tous les niveaux de l’enseignement (ce n’est un secret pour personne que le système scolaire convient mieux aux filles), et sont confrontés à d’autres difficultés sociales (notamment en ce qui concerne l’éclatement de la famille et les questions de garde d’enfants, où les femmes sont considérées comme ayant le dessus), et tout cela est en train de prendre une tournure (artificielle).

Andrew Tate a été décrit par les écoles comme un « joueur de flûte », et c’est exact – c’est exactement ce qu’il est. Mais où mène-t-il ses élèves hypnotisés ? Vers un style de vie luxueux fait de voitures rapides et de belles femmes ? Ou… à autre chose ? Voici une photo d’Andrew Tate, en route vers le tribunal pour faire appel de sa récente arrestation. Pouvez-vous voir ce qu’il tient dans ses mains ?

C’est une copie du Coran. Il est de notoriété publique que Tate s’est converti à l’Islam, mais ce n’est pas une forme d’Islam que la plupart des musulmans reconnaîtraient. Au contraire, Tate a déclaré que « ISIS sont les vrais musulmans ».

Il semble prôner une forme extrêmement militante et ultraconservatrice de la religion, approuvant la vision talibanesque selon laquelle les femmes ne devraient pas travailler mais rester à la maison pour élever les enfants.

Exprimant son soutien à Tate, l’agence de presse pro-ISIS Bariqah a partagé la vidéo TikTok de Tate sur son compte Telegram, en commentant :

« Andrew Tate – 99,99% des femmes du monde le détestent parce qu’il est contre les féministes et dit que la place de la femme est à la maison, et qu’elle doit obéir à l’homme. [Puis] Andrew Tate annonce sa conversion à l’Islam [et] il y a eu un afflux massif de tweets de femmes affiliées à l’Islam qui le maudissent, y compris certaines qui ont annoncé qu’elles quitteraient l’Islam parce que Tate s’y est rallié…. Bien, qu’elles soient remplacées… Non, nous avons dans le clip vidéo ci-dessus Andrew Tate avant sa conversion à l’Islam reconnaissant que les hommes de l’État islamique sont les vrais musulmans et personne d’autre qu’eux, parce qu’ils adhèrent aux enseignements du Coran et de la Sunna littéralement, tandis que ceux qui lisent le Coran et ne tiennent pas compte de ses enseignements ne sont pas vraiment musulmans ».

Tout cela est tout à fait conforme à mes prédictions selon lesquelles nous approchons rapidement d’un point dans notre culture où il y a un changement social dramatique – du « pic du libéralisme » que nous avons actuellement (des extrêmes fous de folie dégénérée avec lesquels personne ne peut raisonnablement être d’accord, par exemple, des Drag Queens se produisant devant des enfants en bas âge), à son opposé exact – l’ultra-conservatisme, rempli d’attitudes super régressives et patriarcales, du genre de celles qu’épouse Tate.

Le fait est qu’Andrew Tate est très bien versé dans les soi-disant « théories du complot » populaires, et qu’il a très justement déclaré que le mouvement international « women’s lib » a été créé et financé par des ingénieurs sociaux sournois, dans deux buts principaux : 1) amener les femmes sur le lieu de travail où elles peuvent être imposées (lorsque les femmes étaient plus souvent au foyer, leur travail n’était pas imposable), et 2) faire sortir les deux parents de la maison afin que les enfants puissent être placés dans des garderies d’État le plus rapidement possible et être initiés aux valeurs de l’État.

En réalité, le mouvement de libération des femmes n’avait rien à voir avec l’amélioration de la vie des femmes – ce n’était que de la communication de masse pour que le public l’accepte – et toutes les données des soixante dernières années confirment que ce n’est pas le cas (les femmes sont de plus en plus malheureuses et moins épanouies chaque décennie depuis les années 1970). En réalité, il s’agissait avant tout d’élargir l’assiette fiscale, de réduire le taux de natalité (les femmes qui font carrière ont moins d’enfants) et d’amener les enfants à accepter l’État, plutôt que la famille, comme principale autorité directrice dans leur vie – et ces objectifs ont été atteints avec succès.

Si une petite élite de femmes privilégiées a pu bénéficier de la libération des femmes – en étant capables de poursuivre des carrières prestigieuses et glamour tout en payant des nounous et un enseignement privé pour leurs enfants – les femmes ordinaires n’en ont pas profité du tout, puisqu’on attend désormais d’elles qu’elles soient salariées à plein temps dans des emplois souvent pénibles ET qu’elles s’occupent d’un foyer et des enfants. S’il va sans dire que toutes les opportunités devraient être ouvertes à toutes les personnes qualifiées et que les femmes devraient – bien entendu – avoir le même accès à l’éducation et à l’emploi que les hommes, il est néanmoins évident que ceux qui ont réellement bénéficié de la libération des femmes sont les ingénieurs sociaux qui l’ont inventée pour pouvoir escroquer davantage d’argent au public.

Ainsi, lorsque Tate expose que c’est ce que la « libération des femmes » était vraiment, il a la vérité de son côté. Ce qui fait de lui une force particulièrement dangereuse et subversive lorsqu’il va jusqu’à une conclusion illogique – que, par conséquent, les pays occidentaux devraient plutôt se plonger dans les pires extrêmes du conservatisme ultra-régressif. Nous pouvons reconnaître que certaines tendances sociales ont été planifiées pour des raisons néfastes, sans pour autant faire un virage à 180° dans l’autre sens – mais ce n’est pas le plan. Le retournement social à 180° est le plan, et il gagnera en légitimité en basant certains de ses principes fondateurs sur des faits, comme la raison pour laquelle l’Occident a réellement introduit le féminisme.

Bien sûr, ce n’est pas une coïncidence (celles-ci n’existent pas sur la scène mondiale) que les États-Unis se soient récemment retirés d’Afghanistan, abandonnant leur mission d’apporter au pays une démocratie libérale, et le laissant à la place retourner à des attitudes médiévalement misogynes (certainement très non-féministes) – tandis que certaines parties du Royaume-Uni adoptent une législation ultra-misogyne qui effacera les femmes de la vie publique aussi efficacement que le fera l’approche des Talibans consistant à interdire aux femmes tout ce qui se trouve en dehors du foyer.

Les vents culturels changent très rapidement sur toute la planète, et Andrew Tate (le guerrier « courageux, fort » – actuellement « injustement persécuté ») est là pour être le fer de lance d’une révolution culturelle et religieuse où nous serons tous intronisés dans un islamisme ultra-strict.

La programmation prédictive « The Handmaid’s Tale » a donné un plan très clair de ce que les ingénieurs sociaux nous réservent, c’est simplement que la version « réelle » utilisera une version tordue de l’Islam, plutôt qu’une version tordue du Christianisme.

Attendez une minute, me direz-vous, qu’est-ce que tout cela a à voir avec Andrew Bridgen et le vaccin Covid ?

Beaucoup de choses. La seule chose qu’Andrew Bridgen, Andrew Tate et les Taliban ont en commun est qu’ils se sont tous opposés au vaccin Covid.

Il y a donc un croisement très important entre l’idéologie religieuse extrémiste et l’opposition à la vaccination. Les méfaits du vaccin sont en train d’être révélés sur la scène mondiale – avec, comme je l’ai dit, la période nécessaire de résistance et de persécution des héros dénonciateurs – tandis que l’Islam fondamentaliste gagne des bastions dans divers endroits du monde, et est introduit en Occident par – entre autres – Andrew Tate (qui remplit le rôle critique de le rendre attrayant pour la prochaine génération).

Nous avons également des milliers de jeunes hommes en âge de servir dans l’armée, originaires de pays islamiques radicaux, qui sont actuellement stationnés dans les hôtels du pays.

Tout cela mène inévitablement à quelque chose, que l’on peut résumer grossièrement par « la grande démolition ». Finalement, la vérité (version limitée) sur les vaccins Covid sera reconnue sur la scène mondiale, et les comparaisons de Bridgen avec l’holocauste seront exactes.

L’horreur, la fureur et le désarroi social complet s’ensuivront, alors que le peuple brutalement trahi descendra dans la rue, se révoltant violemment et exigeant le changement, une situation qui sera aggravée par les ressources militaires de l’ONU situées stratégiquement dans chaque grande ville du pays et attendant les ordres.

Le gouvernement sera renversé (et beaucoup de choses seront jouées – mises en scène – mais cela aura l’air très réel), les principaux responsables seront amenés à rendre des comptes (ou on nous dira qu’ils se sont suicidés, et on leur donnera une nouvelle identité et on les expédiera pour un autre rôle), et un nouveau régime très religieux sera installé, qui semblera avoir une légitimité puisqu’il a exposé les terribles maux de notre régime précédent et exposé toute la corruption et la dépravation de notre prétendue démocratie libérale.

C’est plus ou moins ce vers quoi nous semblons nous diriger, et il y a de nombreux autres indices clairs que nous sommes destinés à devenir une république ultra-islamiste, comme par exemple la comédie dramatique en cours qu’est le spectacle Harry ‘n’ Meghan, dont je maintiens depuis le début qu’il s’agit plutôt d’un théâtre socio-politique dont le but ultime est de faire tomber la monarchie (qui n’est pas compatible avec les objectifs du futur « gouvernement mondial unique »). C’est pourquoi les soi-disant « mémoires » d’Harry ont déjà été révélées comme étant une fiction très transparente – que toute l’affaire est, et était depuis le début (Meghan est une actrice, jouant juste un autre rôle). Nous sommes appelés à devenir une république, et c’est de cela qu’il s’agit en réalité dans tout ce « drame royal » très médiatisé. C’est également la raison pour laquelle le prince Andrew a été exposé, plutôt que protégé, comme le sont généralement les gens de son espèce.

Nous pouvons également voir notre industrie des pubs s’effondrer, avec la spirale des factures pour les lieux eux-mêmes, couplée à la réduction de la fréquentation résultant à la fois de la crise du coût de la vie et des grèves incessantes des trains, ce qui signifie que 50 pubs ferment chaque mois.

L’effondrement programmé de cette industrie est conforme à la stricte prohibition de l’alcool qui existe dans les pays islamistes, la consommation d’alcool en Arabie saoudite islamique étant passible de flagellation publique, d’amendes ou de longues peines d’emprisonnement.

Ce n’est pas, bien sûr, une coïncidence (pour répéter : sur la scène mondiale, il n’y en a pas) que la récente Coupe du monde se soit déroulée dans le Qatar islamique, qui a des règles très strictes sur la consommation d’alcool, ce qui signifie que la tradition britannique, établie de longue date, de boire de nombreuses pintes en regardant le football a été brusquement contrecarrée. Si l’alcool n’est pas totalement illégal au Qatar, sa consommation est très limitée (et coûteuse) et les personnes sous l’emprise de l’alcool en public sont sévèrement punies. Il n’y a pas de pubs ou de clubs – institutions si centrales dans la vie sociale et culturelle de la Grande-Bretagne.

Notez également que, ces derniers mois, la destination touristique à la mode qu’est l’Indonésie – troisième plus grande démocratie du monde – a carrément interdit les relations sexuelles avant le mariage, tant pour les touristes que pour les résidents. Ce pays – qui avait déjà proscrit l’adultère – est très majoritairement (87%) musulman. Ces nouvelles lois ne sont pas compatibles avec les pays démocratiques, où l’État ne dicte pas la manière dont les gens doivent organiser leur vie personnelle, mais elles sont parfaitement conformes à la charia. Vous noterez que, dans l’histoire très récente du Royaume-Uni, il fut un temps où nous étions presque conformes à la charia de cette manière également, puisque notre gouvernement a également criminalisé les relations sexuelles occasionnelles.

Il faut considérer tous ces événements comme faisant partie d’un tableau plus vaste et entrelacé, et réaliser que tout ce que j’ai décrit ci-dessus – la révélation de « l’holocauste » des vaccins, la « persécution » de deux héros Andrews, la montée de l’ultra-islamisme et d’attitudes sociales beaucoup plus conservatrices dans le monde entier, et le déclin de traditions britanniques non islamiques telles que le pub – sont tous liés les uns aux autres, et tous s’accélèrent vers un crescendo dramatique.

Nous sommes au milieu d’une énorme révolution sociale et culturelle, et pour la traverser du mieux que nous pouvons et nous adapter aux nouveaux défis sans craquer sous leur poids, nous devons être aussi conscients que possible de ce qui se passe. Le choc est totalement handicapant – c’est pourquoi tant de gens ont été pris de panique et de peur lorsque la soi-disant « pandémie » a commencé. « Les théoriciens du complot » ne l’ont pas fait, cependant, parce que nous savions que cela allait arriver. J’ai relaté en avril 2019 ma prédiction selon laquelle une fausse pandémie allait faire ses débuts de manière imminente, à des fins de contrôle de la population par l’injection d’une arme biologique, et de contrôle social généralement accru, et que nous devions nous préparer à des « jours sombres » à venir.

En tant que tel, je n’ai pas ressenti de panique ou de peur lorsque cela a commencé à se produire, parce que je m’y attendais, et j’ai donc été capable de naviguer assez bien, en refusant de me plier à la tyrannie et en aidant les autres à résister aussi. C’est pourquoi je consacre du temps à repérer les « indices » et à voir les modèles maintenant – pour aider les autres à comprendre ce qui est susceptible d’arriver, pour nous donner le temps de le digérer et de nous préparer, plutôt que d’être surpris par un choc paralysant parce que nous ne l’avons pas anticipé.

Alors s’il vous plaît, voyez les indices, repérez les modèles et prenez ce temps vital pour vous préparer. Il ne fait aucun doute que des temps difficiles nous attendent, mais c’est pour cela que vous et moi sommes ici maintenant – pour jouer un rôle essentiel dans cette bataille épique pour l’âme même de notre société et son avenir.

(Ou pour me cacher dans le sous-sol – enfin, en supposant que je puisse obtenir le WiFi en bas – je n’ai pas encore tout à fait décidé…)

source : Miri AF

traduction Réseau International
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