Associated Press fait mine de redécouvrir l’eau: toutes les applications de traçage C19 ont été exclusivement utilisées par la police et les services de renseignement pour le suivi, la traque, le blocage et la répression des populations.
Ces applications n’avaient rien à voir avec une quelconque prévention médicale. C’était des outils de surveillance de masse.
Palme d’or à Palantir Technologies et à des pays comme l’Australie, la Chine et le Qatar qui se sont distingués par un excès de zèle allant parfois jusqu’à changer le statut vaccinal coloré pour bloquer des opposants ou des personnes indésirables.
Des pays comme l’Inde ont exploité le C19 pour utiliser des logiciels de reconnaissance faciale dans des applications de traçage gratuites, assimilant des millions de personnes à des criminels puisque leurs données biométriques ont été collectées à l’insu des utilisateurs.
Israël est allé plus loin en collectant toutes les données des applications anti-C19 gouvernementales utilisées dans une cinquantaine de pays pour créer une architecture sécuritaire inédite avec une base de données recueillies sur des dizaines de millions de personnes.
Chaque gouvernement a adopté une stratégie différentes en la matière mais tous savaient que les applications de traçage du C19 étaient des outils de surveillance de masse utilisant les capteurs embarqués des smartphones, les signaux Bluetooth, les récepteurs GPS et les signaux radio des antennes relais de téléphonie mobile.
Beaucoup d’applications numériques dont un nombre important de jeux en ligne, en PvP, ou en mode multijoueurs sont utilisés pour la collecte des données des utilisateurs par les services chargées de la collecte du renseignement humain ou électronique. Mais l’épisode du C19 a donné lieu à des expériences poussées dans ce domaine afin d’accélérer le processus de mise en place d’une architecture de surveillance de masse dédiée au complexe militaro-industriel et dont des éléments sont déjà utilisés à des niveaux variables par certains États dans le cadre de l’extension de la lutte pour l’hégémonie globale.
L’ironie de l’histoire est que la majorité de ces applications sont plus dangereuses pour l’individu que le virus lui-même.
Sources compilées: Intel et OSINT
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