par Sébastien Renault
La théologie progressiste corporative
L’ultra gauche corporative fonctionne aujourd’hui comme une véritable organisation fondamentaliste caractérisée et mue par une mono-pensée. Son Dieu consiste en « la Science » – une conception viciée et bureaucratique de la science sous contrôle et cooptation politico-financière. Trump et aujourd’hui Musk lui font office de Satan. À Twitter, avant son rachat par l’ange déchu ou démon Elon Musk, elle pouvait compter sur ses cohortes d’anges affectés à la censure systématique des forces « démoniaques » de la dissidence anti-wokiste et contre-covidiste sévissant sur les réseaux sociaux. Le message était des plus clairs, mais l’admission de la pratique – au demeurant connue depuis longtemps – désavouée : quiconque voudrait s’écarter de la pensée de groupe de l’ultra gauche corporative s’en trouvera ipso facto entaché de complicité avec les forces démoniaques du « complotisme » et par conséquent passible du filtrage de visibilité (le « shadow banning »).
Dans le cadre de la théologie progressiste corporative, la fin justifie les moyens. L’accaparement des pouvoirs par une petite élite autocratique toujours plus avide de mainmise technocratique et gouvernementale sera nécessairement menacée par le contre exercice de la liberté d’expression véhiculée, sans entrave, sur une plateforme aussi large que Twitter. Il fallait donc pouvoir bannir de l’Eden de la liberté d’expression toute vue déviationniste (péchant par « désinformation »), qu’il s’agisse :
- des élections présidentielles étasuniennes de 2020 (le résultat invraisemblable obtenu par Joe Biden, élu avec 81 millions de voix, le plus grand nombre de l’histoire des États-Unis, au gré de scrutins postaux et électroniques « magiques ») ;
- de la corruption de la famille Biden (blanchiment de fonds par le biais de tractations véreuses avec l’Ukraine et la Chine, infraction à la sécurité nationale, pornographie impliquant des mineurs, viol, etc.) ;
- des crimes publics (émeutes, pillages, meurtres) perpétrés au nom du wokisme « sacrosaint » sous couvert de « justice raciale » ;
- des données relatives à l’inefficacité des injections expérimentales à ARN messager et à leurs effets indésirables (et, en amont de ces produits « vaccinaux », des masques-muselières et des confinements, eux aussi particulièrement néfastes) ;
- de climat réel par contraste à l’alarmisme réchauffiste officiel infondé ;
- de guerre atlantiste en Ukraine ; etc.
Il fallait pouvoir bannir d’Eden et condamner à l’Enfer de la censure systématique toutes les voix qui entendraient exprimer leur opposition ouverte et étayée au narratif officiel érigé au rang de doxa dogmatique inattaquable.
Avec le démantèlement graduel du narratif covidiste et la mise en lumière, moyennant les publications récentes des fichiers Twitter, de la collusion hautement manipulatrice du pouvoir étatique et des plateformes de Big Tech, on en vient à supputer, peut-être par souhait pieux, que le barrage, tôt ou tard, devra finalement céder.
Certes, il pourrait et devrait céder, si du moins nous n’étions pas collectivement immunisés contre la malversation et la tromperie universelle des institutions et des figures du pouvoir. Le problème de la corruption politico-médiatique du monde contemporain est qu’elle est véritablement synonyme de norme. Personne ne s’en soucie plus dans la mesure où le phénomène n’est plus vraiment choquant. La cabale systémique composée des pouvoirs publics, des médias mainstream et des grandes entreprises technologiques et pharmaceutiques est en train de réécrire les règles à tous les niveaux, en toute impunité. Une règle cardinale sert d’épine dorsale au projet : l’ultra gauche corporative fondamentaliste doit gagner, quel qu’en soit le prix. Les vies ne comptent pas, encore moins si elles sont à naître ou déjà très avancées, voire simplement handicapées et/ou appauvries par les aléas de l’existence et les structures socio-économiques imposées par l’idéologie et la décadence intrinsèque d’un système inhumain.
Les politiciens occidentaux sont aujourd’hui principalement sélectionnés pour leur allégeance au monde de la grande finance corporatiste et leur soumission à un projet techno-administratif sans frontières, non pas pour leur intelligence ou leur compréhension du réel. Féminisme, wokisme, écologisme, covidisme, ukrainisme, tout est bon pour faire avancer le monstre totalitaire de l’idéologie mondialiste sous toutes ses formes possibles et imaginables. Le dénominateur commun de cette Bête à plusieurs têtes est la mono-pensée « démocratique ». Une chimère mortifère dont la contradiction interne commence à indiquer qu’elle serait sur le point d’imploser. Revenons brièvement sur quelques indices récents.
La gauche américaine et la liberté d’expression
Les fichiers Twitter dernièrement divulgués par Elon Musk attestent, sans qu’on en soit le moins du monde surpris, que Twitter disposait bien d’une équipe de censure secrète au sein de laquelle les préposés à la gestion algorithmique de la plateforme et leurs confrères administrateurs de communication censuraient méthodiquement (par suppression discrétionnaire ou simple « filtrage de visibilité ») les figures ciblées de leur opposition politique – et tout utilisateur osant contredire la mono-pensée « démocratique » privilégiée par les hauts responsables du gigantesque réseau social de microblogage. Faits aujourd’hui divulgués, mais faits préalablement niées sous serment par les prédécesseurs de Musk aux commandes de Twitter, nous l’avons vu.
À ce stade des révélations, trois grandes catégories d’infractions permettent de dresser un tableau assez éloquent de ce qui se tramait chez Twitter avant son rachat récent par Elon Musk :
• Le Comité national démocrate (de son acronyme anglais DNC) et la direction de la campagne Biden en 2020 se sont entendus avec l’équipe de modération de Twitter sur le filtrage et la suppression des contenus de certains comptes et messages de ses usagers, en violation directe de la liberté d’expression de ces derniers (liberté d’expression normalement protégée par le Premier amendement de la Constitution des États-Unis).
• Twitter a directement interféré avec le processus électoral étasunien en 2020 par dissimulation organisée en hauts lieux du scandale de l’ordinateur portable de Hunter Biden, avec notamment le concours dévoué du FBI (dont son ancien conseiller général, James Baker, devenu entre-temps l’avocat général adjoint de Twitter, on y reviendra ci-dessous). Le prétexte à la clé, factuellement mensonger mais ressassé et amplifié par l’entremise propagandiste en écho des médias dominants du monde entier : il s’agissait de « désinformation russe » (ça marche à tous les coups).
• Certaines administrations américaines et le Parti démocrate se sont entendus avec l’équipe de modération de Twitter sur le filtrage et la suppression des contenus de certains comptes et messages remettant en question le narratif sanitaire covidogmatique. Ont finalement été censurées, conformément à cette exigence, les discussions remettant en question l’efficacité des couches bactériennes faciales (communément appelées « masque » [ou “slip facial”]) ; les discussions démontrant de manière comparative le caractère inefficace et multi-destructeur des confinements systématiques (par rapport aux pays ayant résisté à l’application d’une pensée unique faussement sanitaire) ; les discussions portant sur la possibilité de traitements médicaux alternatifs efficaces et peu coûteux pour traiter du SRAS-CoV-2 ; les discussions alertant des dangers avérés d’injections géniques en phase d’expérimentation, concoctées en quelques mois sans aucune transparence ni la moindre prise de responsabilité éthique de la part de leurs fabricants (de réputation criminelle dans le cas de Pfizer) ; les discussions faisant factuellement état de l’inefficacité de ces injections pour protéger du virus et pour prévenir sa transmission ; etc. Prétexte de fond : il est impératif de « faire confiance à la Science » – qu’il s’agisse de « crise existentielle climatique » ou d’épidémiologie culminant dans des campagnes de « vaccination » expérimentale obligatoire, quelle que soit l’ampleur de ses effets secondaires, y compris mortels.
Ce dont nous pouvons tirer une première conclusion, que l’on pourra étayer plus avant à la lumière des prochaines fournées de fichiers rendues publiques par Musk. En limitant intentionnellement la diffusion des voix dissidentes s’exprimant à l’encontre du narratif officiel érigé au rang de véracité indiscutable, les dirigeants de Twitter – en collaboration avec le Parti démocrate, le FBI, le DHS, le ministère du renseignement national (DNI) et les CDC – se sont arrogés l’exercice d’un pouvoir objectivement criminel de filtrage, de distorsion et de contrôle de l’opinion publique.
Par contraste, selon la gauche américaine au pouvoir, il serait préférable de circuler, tout simplement, puisqu’il n’y aurait « rien à voir » (même conseil, semble-t-il, de la part de la presse française, pratiquement silencieuse quant à cette affaire explosive de divulgation des fichiers Twitter). Pour elle, c’est Elon Musk lui-même qui menacerait aujourd’hui la liberté d’expression sur Twitter en permettant aux gens, quels qu’ils soient, de s’exprimer librement (= sans censure).
Telle est bien la « logique » à laquelle nous a habitué le monde de ces gens au pouvoir de nos institutions démocratiques ne tolérant qu’un seul discours. Le monopole de la pensée et de la parole publique leur serait dévolu. Ils l’exigent donc, à leurs yeux à bon droit, se justifiant ainsi de censurer, avec le concours gracieux de l’empire GAFAMI-que, quiconque dérogera à leurs mensonges éhontés et à leur consternante hypocrisie. Au point de faire croire à une certaine frange de la population que la censure, ici, « sert de garde-fou à la démocratie » …
Machination démocrato-bideniste : Baker à la rescousse
Quelques semaines avant l’élection présidentielle de 2020, le New York Post publiait donc cet article explosif au centre duquel figurait l’ordinateur portable abandonné par Hunter le toxicomane pornographe dans un magasin de réparation de matériel informatique, une pièce à conviction regorgeant d’échanges électroniques et d’enregistrements détaillant une opération de trafic d’influence de plusieurs millions de dollars par la famille Biden (gardons à l’esprit le fait que Joe Biden avait déjà publiquement démenti, quelques jours plus tôt lors d’un débat télévisé l’opposant à Donald Trump, avoir la moindre connaissance des affaires de son fils siégeant au conseil d’administration de la compagnie véreuse d’exploitation de produits pétroliers basée à Kiev en Ukraine). Non seulement le fils de Joe Biden, Hunter, et son frère, James, étaient impliqués dans des transactions douteuses les reliant à tout un réseau de personnalités étrangères pas très catholiques, mais Joe Biden lui-même était référencé – derrière le sobriquet « the big man » – comme bénéficiaire d’une certaine part des fonds en provenance desdites transactions.
Comme le savent tous ceux qui connaissent déjà les principaux éléments factuels de la trame politique de fond de ces révélations d’octobre 2020, il n’y a jamais eu la moindre preuve digne de ce nom d’une quelconque implication russe derrière l’histoire de l’ordinateur portable de Hunter Biden. Les services de renseignement américains ont rapidement rejeté cette allégation grossière de la presse mainstream dès la parution de l’article du New York Post, allégation néanmoins reprise aux quatre coins du monde par un consortium médiatique dominé par sa haine aveugle irrépressible de Donald Trump.
En revanche, l’ordinateur en question constitue bien une source particulièrement importante de documents divers faisant office de pièces à conviction de première main impliquant l’actuel Président des États-Unis dans des opérations non seulement de blanchiment d’argent en Ukraine et en Chine, mais encore de vente d’accès relatifs à la sécurité nationale étasunienne à des ressortissants étrangers. Un scandale d’une proportion telle a non seulement déjoué les aspirations de Joe Biden à remporter la présidentielle américaine en novembre 2020 face à Trump, alors le grand favori, mais surtout à saborder la légitimité même de son propre parti.
D’où le rôle et la manière de procéder de James Baker chez Twitter, à la demande expresse des Bidens et d’autres hautes figures du Comité national démocrate, pour enterrer l’affaire et empêcher que d’autres ne la fassent circuler sur la gigantesque plateforme.
L’utilisation de voies détournées par Biden et autres responsables démocrates pour faire taire les critiques sur Twitter et autres médias sociaux ne fait désormais plus de mystère, grâce à l’initiative d’Elon Musk de faire paraître au grand jour l’étendue véritable de la collusion de ses prédécesseurs à la tête de Twitter avec le Parti démocrate. Il est néanmoins utile de revenir brièvement sur un nom familier et immédiatement mis en exergue avec la publication de la première fournée des fichiers Twitter publiés par le journaliste Matt Taibbi, à savoir : James Baker.
Avant de rejoindre Twitter en qualité de conseiller et d’avocat, Baker a d’abord été une figure de proue de l’enquête menée par le FBI sur le prétexte infondé d’une collusion entre la Russie et le candidat républicain alors en lice dans le cadre de la course à la présidence étasunienne de 2016, Donald Trump.
Le 19 septembre 2016, à tout juste quelques semaines du jour officiel d’une élection présidentielle qui promettait de faire des étincelles, Baker avait rencontré son bon ami Michael Sussmann, alors avocat de la campagne Clinton, pour lui présenter des « éléments d’information » censés attester de l’existence d’un « réseau de communication » secret entre la campagne de Trump et la plus grande banque privée de Russie, l’Alfa Bank. Grossier canular dont se servira pourtant avidement Sussmann, pour le compte de la campagne Clinton, avec pour instruction de fabriquer de toute pièce la fausse allégation d’un arrangement collusif entre la campagne de Trump et le Kremlin.
Baker déclara plus tard avoir immédiatement informé le directeur du FBI alors en exercice, le sournois James Comey, et son directeur adjoint du moment, Andy McCabe, des allégations censées impliquer l’Alfa Bank et Donald Trump, pleinement conscient de leur caractère factice.
N’ayant rien trouvé pour étayer l’allégation, via Baker, d’une liaison secrète entre la campagne de Trump et l’Alfa Bank russe, l’enquête du FBI sera finalement confiée, après l’élection et l’investiture de Trump début 2017, au procureur spécial Robert Mueller. Après près de deux ans d’acharnement de ce dernier, le rapport dit de Mueller n’apportera pas davantage de preuves d’une quelconque collusion. Nouveau coup dans l’eau des démocrates.
Baker sera également impliqué dans la demande du mandat s’appuyant sur le Foreign Intelligence Surveillance Act (FISA) visant à obtenir l’autorisation de surveillance d’un aide de campagne de Donald Trump, nommé Carter Page. C’est ici que Baker, toujours fourbe et juridiquement astucieux, décidera de consolider le canular de ses premières accusations en les reformulant par l’entremise du « dossier Christopher Steele » censé les étayer et servir de justificatif à la demande de mandat de surveillance de Carter Page. Mais les documents publiés dans le cadre de l’enquête de Mueller montreront que le FBI, par l’intermédiaire de James Baker, s’était finalement appuyé sur un dossier financé par le Parti démocrate et par l’ancienne secrétaire d’État Hillary Clinton cherchant artificiellement à produire la preuve d’une « cause probable et suffisante » pour que les juges du DOJ approuvent l’opération d’espionnage de la campagne du candidat Donald Trump. Et cela signera la fin proprement juridique du grand feuilleton du Russiagate, plus justement encore dénommé le Russia hoax (le canular de la collusion Trump-Russie).
En janvier 2019, avant même que soit rendu public le rapport de Mueller, le ministère de la Justice avait ouvert une enquête criminelle impliquant Baker au motif de la fuite potentielle d’informations classifiées lors de ses années passées au FBI. Aucune suite ne sera cependant donnée à l’ouverture de cette enquête et Baker ne sera pas inculpé pour la moindre infraction.
Après avoir quitté le FBI, c’est une direction impatiente de Twitter qui s’empressera d’embaucher Baker en tant que conseiller et avocat général adjoint de la firme médiatique. Baker, fidèle à ses vieux démons, ne tardera pas à peser dans la balance avec le même parti pris anti-républicain porté à l’extrême caricature des mouvances américaines conservatrices à grands coups de reductio ad Trumpum, attitude qui caractérisait déjà les démarches juridiques alambiquées qu’il s’est efforcé d’entreprendre dans sa peur et sa haine aveugle de Trump, se livrant à de nombreuses malversations et violations de ses devoirs de membre assermenté du FBI. Twitter et Baker maintiendront des rapports étroits avec la Maison Blanche de l’administration Biden jusqu’au rachat de la plateforme par Elon Musk en cette fin d’année 2022.
Mono-pensée « vaccinaliste » : crépuscule immunitaire en Occident
La lutte contre la tyrannie covidienne et les obligations « vaccinales » a été présentée avec succès comme l’œuvre d’une mentalité « complotiste ». Pour l’instant, la divulgation des fichiers Twitter n’y change pas grand-chose. Ce sont les victimes du véritable complotisme étatico-médiatique qui restent les « complotistes » désignés par ce système de tromperie criminelle accusatoire. Ce triste phénomène revêt clairement la marque de la pensée unique, ou mono-pensée, pour varier notre terminologie et mieux faire sentir la réalité de l’étendue de l’emprise idéologique derrière la mise en œuvre d’une politique sanitaire de taille unique, dont les fruits désastreux sont connus du monde entier, malgré les meilleurs efforts de Twitter et des « vérificateurs de faits ».
L’administration d’injections à ARN messager à des milliards d’individus a permis la fixation d’à peu près toute la population occidentale sur une version éteinte du SRAS-CoV-2, que l’on peut encore qualifier, à raison, de virus faucien. Fixation apte à induire un bouleversement immunitaire suffisamment important pour fournir les conditions rétroactives d’une présence permanente de ce virus artificiel au sein des populations. La pression infectieuse est aujourd’hui suffisamment élevée et le système immunitaire des personnes plusieurs fois injectées suffisamment endommagé pour déclencher une importante rétroaction positive. Dans de telles conditions, le phénomène de réinfections régulières est parfaitement cohérent et somme toute prévisible, surtout en ce qu’on l’observe principalement chez les personnes plusieurs fois injectées et x fois re-boostées.
De fait, les nouveaux variants du virus faucien montrent des signes de résistance croissante aux interférons, la réaction de défense spécifique de ces glycoprotéines étant décisive en ce qu’elle force le repli durable d’une infection à un stade encore précoce. Au gré de réinfections suffisamment rapides, le virus finit par conditionner l’organisme hôte à faciliter sa réplication en épuisant la capacité des cellules dendritiques présidant à la sécrétion des interférons.
La mise en œuvre de la grande reconfiguration virale puis « vaccinale » des techno-bureaucrates mondialistes du covidisme institutionnel repose ainsi sur une forme de la causalité efficiente qui se traduit peut-être aujourd’hui en une forme de causalité finale insuffisamment étudiée, à savoir : perturber, contrebalancer et éreinter les mécanismes naturels qui conduisent au renforcement d’une immunité stérilisante à l’échelle de la population face aux pathogènes respiratoires mutant à grande vitesse (dont le virus faucien lui-même).
Les données existantes suggèrent largement que les populations soumises plusieurs fois aux thérapies géniques « anti-covid » se retrouvent en situation de faible réponse immunitaire découlant de réinfections fréquentes entraînant, entre autres, la déperdition des lymphocytes T. Ces personnes continuent en conséquence de propager le SRAS-COV-2 et, se faisant, contrarient le développement d’une immunité collective. Par contraste, dans les pays à taux d’administration réduite de l’injection expérimentale (notamment l’Algérie et les pays scandinaves), les cas et les décès dus au SRAS-COV-2 ont chuté à presque zéro…
Les injections géniques semblent donc bien façonner le terrain immunologique humain en faveur de la résurgence du virus faucien. Réciproquement, il semble que ce sinistre virus, tel qu’il a été véhiculé à partir de sa souche initiale et au gré de sa consolidation interne moyennant le « vaccin » mondialiste, façonne lui-même le terrain immunologique humain, à la fois pour lui-même et pour d’autres agents pathogènes. On commence ainsi à observer que les dommages causés par l’infection elle-même et par les péplomères injectés moyennant le « vaccin » rendent l’organisme sensible à d’autres infections (l’hiver qui arrive risque de le confirmer), qu’il s’agisse du SRAS-CoV-2 ou d’autres agents pathogènes. De tels effets attestent précisément de la rétroaction évoquée plus haut et dont on verra bien ce qu’elle produit réellement avec le temps.
Quoi qu’il en soit, les constantes recontaminations semblent bien correspondre à une détérioration de l’immunité de la population contre les agents pathogènes en général, déperdition d’une barrière naturelle qui leur permet de se répandre à un rythme de plus en plus élevé, comme on l’observe à présent. Plus on administre d’injections de rappel, plus on constate que les conséquences à long terme sur l’immunité collective de la population se révèlent négatives. Et l’on peut raisonnablement supputer que l’acheminement de la population vers une perte de capacité immunitaire plus rapide qu’elle n’est restaurée par des processus compensatoires naturels est la conséquence funeste d’une mono-pensée « vaccinaliste » toujours en vigueur en France et ailleurs – en dépit de toutes les levées de bouclier, des contradictions publiques et des mensonges grossiers des principales figures du covidisme d’État, des publications de données de pharmacovigilance, des déclarations de Pfizer au parlement européen, de l’accroissement « inexpliqué » des morts subites, etc.
Récapitulatif non-exhaustif de quelques-uns des principaux phénomènes observés suggérant que les populations les plus largement « vaccinées » souffrent aujourd’hui d’un épuisement progressif du système immunitaire :
- homogénéisation de la réponse immunitaire à l’échelle de la population exposée à une version identique du virus faucien : elle permet au virus de produire facilement des mutations d’échappement (variants et sous-variants) contre lesquelles personne n’est encore immunisé ;
- désorientation du système immunitaire au gré des réinfections par focalisation sur les mêmes spicules (les vieilles protéines de virus toxique faucien) ;
- prévention du développement d’anticorps anti-nucléocapside, essentiels pour endiguer la dissémination du virus faucien, notamment dans le cerveau et dans d’autres organes vitaux ;
- facilitation du développement d’anticorps non-neutralisants à disposition du renforcement contre-immunitaire du SRAS-CoV-2 ;
- concentration de la réponse immunitaire de l’organisme sur les péplomères de la souche originelle du SRAS-CoV-2 au détriment de l’augmentation progressive normale de l’ampleur de sa réponse en vue de combattre l’émergence d’autres variants ;
- désactivation graduelle de différents lymphocytes T ;
- endommagement des cellules souches hématopoïétiques (productrices de globules blancs) ; etc.
Ces injections expérimentales ont donc le pire effet possible, dans la mesure où elles endiguent le développement d’une immunité de groupe contre le virus faucien au sein des populations largement « vaccinées ».
La logique de la mono-pensée « vaccinaliste » n’en continue pas moins de produire les raisonnements suivants :
- lorsque le nombre de décès augmente, cela signifie que les nouveaux variants sont plus virulents que les précédents ; solution : « vacciner » plus de personnes !
- lorsque les taux de décès sont stables, il faut en conclure que la situation aurait été considérablement aggravée sans les campagnes de « vaccinations » massives ;
- lorsque le nombre de décès diminue, c’est que le « vaccin » fonctionne (la disparition des personnes âgées les plus vulnérables et l’acquisition d’un certain degré d’immunité naturelle n’entrent pas ici en ligne de compte)…
Pour finir, on notera que le Johns Hopkins Center for Health Security, en partenariat avec l’OMS et la Fondation Bill & Melinda Gates, a procédé à un nouvel exercice de « simulation de pandémie », prouvant, s’il le fallait, qu’ils ont décidément de la suite dans les idées. L’évènement s’est tenu à Bruxelles le 23 octobre dernier. Les mêmes initiateurs et participants de l’ « Event 201 » du 18 octobre 2019 y ont participé pour prendre part à la simulation d’un nouvel entérovirus. L’exercice, dénommé « Catastrophic Contagion », a consisté à simuler les réunions du Conseil consultatif d’urgence de l’OMS chargé d’examiner le cas de figure d’une pandémie fictive prenant naissance au Brésil et se propageant à travers le reste du monde.
Mono-pensée écologiste : transition vers une société de la rareté
La France exportatrice d’énergie, c’est terminé. Place à la régression énergétique « volontaire » pour « soulager » la planète (de quoi exactement ?) et générer, en passant, encore plus de misère, de pauvreté et de mortalité humaine – ce qui, d’après la logique malthusienne indécrottable de cette idéalisation insensée de la désindustrialisation, est éminemment désirable et recherché. C’est en effet le maintien de l’enfumage climatique qui est ici en jeu et pour lequel le sacrifice de quelques millions de vies humaines livrées aux éléments hivernaux ne sera jamais trop demandé. Après tout, réduire la population fait partie intégrante du projet de lutte contre l’apocalypse éco-climatique d’origine anthropique. L’heure de la « sobriété énergétique » a donc sonné. Place aussi à toute la rhétorique folle que conditionne, comme pour se protéger de ceux qui sauraient la mettre à mal, la mono-pensée écologiste dont la macronerie s’entend à faire encore et toujours une « priorité nationale », quand bien même les victoires des verts au scrutin restent une affaire encore marginale, qui ne saurait donc prétendre représenter la France et ses (vraies) priorités.
Le leurre et le mensonge de la décroissance « vertueuse » sont là pour essayer de cacher au plus grand nombre possible la responsabilité réelle des politiques affligeantes et suicidaires des idéologues aux commandes de la France, dirigeants indignes et incompétents n’ayant pas craint de sacrifier le nucléaire sur l’autel de la bien-pensance écologique à très courte vue politicienne, mais qui viennent aujourd’hui nous faire le coup de la « faute à l’inflation » (donc, réellement, aux façonneurs spéculatifs et aux distributeurs de crédits à gogo), « au virus » (donc, réellement, aux confinements imposés à l’ensemble du pays par une coterie politicienne enivrée par la toute-puissance de ces diktats « sanitaires ») ou encore « à la guerre en Ukraine » (donc, réellement, aux ordonnateurs de sanctions sur les importations d’hydrocarbures russes… vers l’Europe, dont la France, où ces restrictions se font effectivement durement ressentir, plutôt qu’en Russie).
Revenons un instant sur le statut énergétique français du point de vue de sa production. Le mix énergétique de la France repose sur une forte production d’électricité, dont 70 % sont d’origine nucléaire. Ce taux de production nucléaire de l’énergie électrique permet à la France d’afficher un tarif du kWh moins élevé que la moyenne, par comparaison aux autres pays européens dont les mix électriques passent principalement par l’entremise des centrales thermiques à flamme. L’électrification de la France sur la base de ses programmes hydroélectrique et électronucléaire de pointe en a fait sa force incontestée, en termes de souveraineté énergétique et de savoir-faire technologique avancé. À tel point que les férus de lutte contre le changement climatique d’origine anthropique réchauffiste pouvaient normalement se réjouir de ce que l’hexagone est l’un des pays contribuant le moins aux émissions de CO2, l’ennemi numéro un des politiques environnementales actuelles. Le parc électrogène français, dans ce contexte d’obsession par rapport à la génération énergétique de carbone, peut d’ailleurs se targuer d’un taux d’électricité décarbonée élevé en 2021, son « intensité carbone » (calculée en gCO2/kWh) affichant un bilan six fois inferieur à la moyenne européenne (on pourra consulter ici le bilan électrique 2021 de RTE).
Pour autant, le parc nucléaire dont dispose la France comme son principal fournisseur d’électricité est aujourd’hui en proie à des politiques environnementales, énergétiques et géopolitiques de moins en moins rationnelles. La chose ne date bien sûr pas d’aujourd’hui. Après la fermeture du réacteur nucléaire surgénérateur Superphénix sous Jospin en 1998, priorités électoralistes obligent, l’impératif de la « transition énergétique » du pays avait inspiré à Hollande l’objectif d’atteindre les « 50 % d’électricité d’origine nucléaire en 2035 », en commençant par annoncer la fermeture des deux réacteurs nucléaires de Fessenheim, qui surviendra sous Macron. La doctrine macroniste de remise en cause de la filière électronucléaire française s’avère tout aussi accablante et irrationnelle (avec notamment l’interruption du projet de prototype de réacteur nucléaire de quatrième génération ASTRID). Mais tout le monde sait que l’expertise de l’énarque de l’Élysée en matière d’énergie nucléaire ne peut que lui donner raison. D’où le projet de « programmation pluriannuelle de l’énergie » (PPE) pour la période 2019-2028, visant à mettre en œuvre l’objectif déjà fixé par Hollande en 2016 d’une réduction de 20 % du taux nucléaire de la production de l’électricité française en 2035 (réduction impliquant la fermeture de 14 réacteurs d’ici là).
On pourrait y consacrer un ouvrage tout entier, ce qui n’est pas le propos ici. Derrière les prétextes gouvernementaux anti-nucléaires (dangerosité et problème de gestion du volume des déchets radioactifs), c’est bien le spectre de l’assujettissement des politiques à l’idéologie de l’écologisme qui pointe encore et toujours son vilain nez. Là aussi, le règne de la mono-pensée empêche l’exercice de la vraie pensée et vient opposer au domaine exercé du savoir-faire scientifique et industriel ceux de l’obsession idéologique et de l’incompétence pleine de suffisance.
La France avait déjà fait le choix d’en finir avec ses centrales thermiques à combustible fossile, par conformité idéologique à l’« engagement » que tous sont aujourd’hui obligés de prendre « pour le climat », l’objectif étant de décarboner nos économies (cf. l’objectif 2050 et l’ineptie du zéro carbone). Son savoir-faire technologique en la matière lui avait permis de faire reposer le plus gros de son bouquet énergétique sur son important parc nucléaire, pour assurer son indépendance énergétique et assurer par-là un approvisionnement de qualité à moindre coût à l’ensemble de son territoire. Il fallait donc enrayer ces succès, comme s’y entendent si bien les représentants de la macronerie monomaniaque, et faciliter par-là la transition du système français de production d’électricité vers l’atteinte des objectifs fixés par une vision idéologique unilatérale de développement accéléré (« quoiqu’il en coûte ! ») des énergies renouvelables électriques.
On notera, pour terminer enfin, que rien de ce que prédit l’alarmisme malthusien depuis la fin du XVIIIe siècle ne s’est jamais produit… On peut dire la même chose des prédictions de l’alarmisme en matière de climat.
Par-delà des coupures d’électricité annoncées pour la France, on peut évidemment supputer que les « confinements énergétiques » ne sont plus très loin non plus, entre autres mesures de transition anti-industrielle toutes plus azimutées les unes que les autres.
Le plus choquant, dans tout ça, c’est surtout le déni de réalité affiché par le gouvernement et les éco-élites en général ; et de voir les membres de cette clique étatique derrière la promotion et le financement faramineux de la « transition énergétique » fondée sur l’intermittence sous-productrice inéluctable du solaire et de l’éolien, continuer d’asséner que Poutine, en guerre en Ukraine, en serait la racine profonde… D’après ces arrogants à la mémoire très courte et à l’autocontradiction aussi fréquente que des émissions digestives de méthane, faire l’économie suicidaire du pétrole, du charbon et du nucléaire (par wokisme climato-vertueux signaleur) se justifierait complètement, et ne saurait donc être incriminé pour expliquer le désastre.
Soyons clair pourtant – par contre-pied réaliste et simplement honnête, face au duo Macron-Biden et toutes leurs vilaines provocations accusatrices à destination de la Russie (comme pour préparer les masses occidentales à la déclaration d’une guerre ouverte contre cette dernière) : la guerre en Ukraine n’est en rien la cause de la présente déroute énergétique en Occident. Le coût actuel de l’énergie, les liquidations programmées (licenciements et fermetures d’entreprises), la pauvreté dont souffriront impitoyablement des millions de gens cet hiver en France et à travers toute l’Europe constituent une cruelle mise en évidence de ce que peuvent malheureusement entraîner un corpus de croyances et d’inepties ressassées à satiété par l’entremise des organes politico-médiatiques habituels de la propagande organisée (nos vieux amis gestionnaires de Big Tech de concert avec les gouvernements, si l’on peut imaginer qu’une telle connivence collusive puisse exister) – et cela depuis plusieurs décennies de mascarade climato-carbophobe.
Pour rappel : un climat plus chaud, accompagné par exemple d’une augmentation du taux de CO2 atmosphérique (ce dernier ne causant pas le premier), stimule la prolifération biologique et donne, en conséquence, une Terre plus verte. C’est ce qu’on observe depuis plusieurs décennies de fertilisation accrue à base de CO2 et du reverdissement de la planète qui s’en suit naturellement. Pourtant, l’idéologie climato-alarmiste et le projet de « transition énergétique » qu’elle conditionne aujourd’hui sans autre forme de procès, dans la mesure où elle rapporte le moindre réchauffement à l’impact de l’activité humaine et à son usage industriel de source d’énergies fossiles, juge « forcément mauvais » ce que ce gain en taux de CO2 produira (= reverdissement de la Terre, prospérité des nations, réduction massive des catastrophes naturelles notamment associées au climat). C’est ce que dicte le cadre idéologique – carbophobe et anti-anthropique – de ce narratif aberrant.
En matière de climat, la « science » bureaucratique est passée maîtresse dans l’art de faire fi de la méthode scientifique et c’est bien là que le bât blesse. On fait ainsi dire à la variabilité saisonnière tout et son contraire (ce qu’on a pu de nouveau vérifier cet été, beaucoup de gens et de « spécialistes » ayant oublié la dualité hémisphérique du globe), comme le font, de coutume, les instances médiatiques et les gouvernements. Tout est guidé selon la perspective d’une mono-pensée politique, au détriment d’une réelle compréhension scientifique de ce qu’est le climat. Car pareille compréhension ferait efficacement ouvrir les yeux des consciences sommeilleuses sur la folie du climatisme institutionnel à la racine de la ruine actuelle des nations.
« Vous ne posséderez plus rien », dixit le Forum économique mondial, « mais vous serez heureux… »
Voilà le vrai visage de l’« austérité » éco-wokiste imposée aujourd’hui au nom de la religion anti-carbone : une démence contre-scientifique et une idolâtrie. C’est sur l’autel de cette religion délirante qu’on sacrifie à présent les nations d’Europe… Le plus grand « malheur existentiel » auquel les habitants de la planète sont aujourd’hui confrontés ne s’appelle pas « changement climatique », mais bien « transition énergétique », consistant en un programme injustifié, impraticable, exorbitant, et finalement préjudiciable, d’abord aux plus démunis.
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Source : Lire l'article complet par Réseau International
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