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<figure id="thumbnail" style="display:none"><img src="https://i0.wp.com/xn--tl-bjab.fiatlux.tk/wp-content/uploads/sites/6/2022/12/le-bruit-de-la-guerre-chez-l-f-c.jpg?fit=1280%2C720&ssl=1" style="display:none"></figure><div class="jetpack-video-wrapper"><iframe loading="lazy" title="Le « bruit de la guerre » chez L-F. Céline, dans Voyage au bout de la nuit (ft. @antoninoracing)" width="650" height="366" src="https://www.youtube.com/embed/rqZITC-Yetw?feature=oembed" frameborder="0" allow="accelerometer; autoplay; clipboard-write; encrypted-media; gyroscope; picture-in-picture" allowfullscreen></iframe></div>
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Il y a des auteurs que l’on découvre tardivement, et tant mieux ! Le temps joue en leur faveur, afin de mieux comprendre leurs œuvres. Aussi, l’avenir réserve encore bien des surprises ou des révélations littéraires !
Céline, je l’ai rencontré il y a seulement quelques semaines. C’est @antoninoracing qui me l’a présenté. Il a su lui dédier tout un univers aux formes multiples. Inspiré par l’écrivain, son Art et ses lectures le rendent immortel. Quel honneur et quelle joie qu’il ait donc accepté de joindre sa voix à la mienne pour cette première lecture du Voyage au bout de la nuit ! Merci infiniment.
Céline, dans ses œuvres, il y a à boire et à manger. La mélodie de son style, sa franchise émotive droit au but, son visage doux-acerbe et sa personnalité tumultueuse : je n’ai pas fini de l’explorer…
D’ailleurs, je vous parlerai prochainement du « silence de la vérité » et du « bruit de la guerre » -thèmes céliniens au cœur de cet extrait-, dans un podcast.
« Toute la jeunesse est allée mourir déjà au bout du monde dans le silence de vérité. Et où aller dehors, je vous le demande, dès qu’on a plus en soi la somme suffisante de délire ? La vérité, c’est une agonie qui n’en finit pas. La vérité de ce monde c’est la mort. Il faut choisir, mourir ou mentir. Je n’ai jamais pu me tuer moi. »
Louis-Ferdinand CÉLINE, Voyage au bout de la nuit
Haendel – Sarabande
Source : Lire l'article complet par Virginie Vota
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