Attention au respect de la langue, bouboule !
On ne dit pas « qui se croient être ». On dit, ou bien « qui croient être », ou bien « qui se croient ». On ne dit pas non plus « empirer les choses », mais « faire empirer les choses », empirer étant intransitif. Si tu continues comme ça, tu obtiendras une note voisine de zéro avec moi.
Sur le fond, ce que tu dis n’est pas bête. Mais si on creuse, c’est contestable. Ou plus exactement, c’est incomplet, c’est partiel, c’est un tout petit aspect des choses. Un aspect très féminin, d’ailleurs, un aspect « privatif », subjectif, individuel au pluriel, si l’on peut dire… Contrairement à ce que tu parais croire, ta « lutte », utile ou non, juste ou non, concerne tout le peuple, toute la société, ne serait-ce que parce qu’elle tend à changer la vie de tout le monde, et que d’ailleurs elle l’affecte dès maintenant. Tout le monde est donc fondé à donner son avis, même ceux qui n’y participent pas, et à plus forte raison ceux qui y participent. D’un autre côté, comme je ne suis pas du tout dans ta « lutte »…
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