Par Faith Dalton (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
« Cela va ruiner ta vie. » « Tu dois abandonner l’université. » « C’est une erreur. » « Avorte le bébé. »
Ces mots, prononcés par les personnes en qui j’avais le plus confiance et que j’aimais le plus au monde, m’ont frappée comme un couteau.
Lorsque j’ai appris que j’étais enceinte, j’avais 21 ans et j’étais encore étudiante. J’étais fiancée en vue du mariage et, bien que les deux lignes roses [du test de grossesse] aient été un choc total, je voulais être mère.
Mes proches n’ont pas tenu compte de mes sentiments. Au lieu de me soutenir, ma famille et mes amis m’ont répondu par la critique et le doute. C’était le jour de Thanksgiving, et mon fiancé de l’époque m’a dit d’avorter et que nous pourrions « réessayer après notre mariage ». Lorsque j’ai insisté pour garder mon enfant, il m’a abandonnée.
Effrayée, seule et sans soutien, je suis tombée sur le Pregnancy Resource Center (PRC) de Rolla, dans le Missouri. J’ai demandé une échographie gratuite, qui était l’un des nombreux services proposés. J’y ai rencontré la directrice des services aux clients du centre, Jane Dalton. Je lui ai parlé de ma situation et, à son tour, elle m’a demandé ce que je voulais.
Je voulais être une mère — et une bonne mère. Mais je voulais aussi terminer mes études et devenir autonome financièrement. Jane m’a dit que je pouvais faire tout cela et que le PRC serait là pour m’aider.
J’ai rapidement emménagé dans la maison de maternité reliée au PRC et j’ai immédiatement été entourée d’amour et de soutien de la part de parfaits inconnus, plutôt que de la crainte que ma vie ait moins de valeur en tant que mère comme me le faisaient sentir ma famille et mes amis. J’ai eu des réunions hebdomadaires avec des coachs de vie professionnels certifiés qui m’ont accompagnée à chaque étape de ma grossesse, en se concentrant sur mon bien-être émotionnel, physique et spirituel. J’ai donné naissance à mon magnifique fils Noah et je me suis émerveillée de la vie remarquable que j’avais créée.
Jane savait que, parallèlement à mon objectif de devenir mère, je voulais terminer mes études. Pendant que le PRC m’aidait à m’occuper de mon nouveau bébé, j’ai terminé mes études et commencé ma carrière de cosmétologue, pour finalement créer ma propre entreprise.
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