nous allons donc aborder de façon clinique afin de détailler ce qui s’est réellement passé
au prétexte d’un test dont la spécificité et la fiabilité ont suscité beaucoup de doutes parfaitement fondés, un ensemble de soignants ont scindé en deux les patients présentant une infection respiratoire saisonnière (haute ou basse) et plus communément nommées « grippe », rhume » etc etc
ces patients ont été exclu(s) de tous les protocoles thérapeutiques efficients, protocoles qui pourtant étaient parfaitement admis 15 jours auparavant
ces patients laissés sans traitement , étant des personnes qualifiés de fragiles ( qui court le 100 mètres en ehpad ! ), ont développé ce que l’on décrit comme un syndrome de glissement, ( mon maître parlait de perte de l’élan vital ), se traduisant par une acutisation de la pathologie en court en association avec celles déjà présentes
et oui, pour aggraver une pathologie la meilleurs façon d’opérer est de ne pas la traiter
la seule alternative possible et autorisée fût celle d’injecter un composé chimique, alias le rivotril, dont l’un des effets est de créer une dépression respiratoire, ( pause respiratoire et absence d’expectorations ) effet dont chacun pourra mesurer le bien fondé chez des patients souffrant d’un encombrement des voies aérienne supérieures et inférieures
ces personnes sont décédées par suffocation, noyées de l’interieur car en sub-oap, en quelques heures voir en quelques jours
voila donc un tableau clinique que certains souhaitent faire apparaitre comme une mesure sanitaire guidée par l’humanisme,
que dire des patients hors ehpad qui ont été admis en « réa » de facto afin d’y être placés sous respirateurs dès lors que le bolus d’oxygène leur étant nécessaire dépassait 6 litres minute !
bref durant cette « crise » deux marchands sont passés, celui de sable et celui de mort
bonne nuit les petits ( vieux)
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