Après avoir colligé les données de plusieurs pays, dont les Etats-Unis, la France et la Grande Bretagne, les chiffres démontrent une grande incohérence au Canada et au Québec : Il y a plus d’immigrations que de naissances, ce qui est insoutenable pour les Québécois.
Nous avons appris, la semaine dernière qu’au Canada il y a 23% de la population qui sont nés ailleurs qu’ici. En même temps, aux États-Unis ce chiffre n’est que de 15%. Plus de 400,000 immigrants accueillis au Canada en 2021, du jamais vu depuis 1913.
Il y a plus d’immigrants que de naissance au Québec. Ceci veut dire que nous ne remplaçons pas notre population avec des gens d’ici, mais par des gens venus d’ailleurs qui signifie que le Québécois disparait au profit des immigrants.
Aux Etats-Unis, les naissances sont 3X FOIS plus grandes que l’immigration même dans une année de sur-immigration! Mieux encore, en Grande-Bretagne il y a 5,5 plus de naissance que les nouveaux arrivants, une façon de ne pas mettre en danger la disparition de la population d’origine.
En France, on joue avec le feu, car il y a une égalité d’immigrants et de naissances.
Mais au Canada et au Québec c’est désastreux! Nous avons plus d’immigrants que de naissance.
Nous n’avons pas le luxe d’accepter cette situation qui planifie notre disparition.
Pour être en santé et accueillir selon notre capacité, nous devons réviser les chiffres d’immigration à 20,000 par années au Québec pour refléter ce que les autres pays font face à l’immigration dans leurs pays.
Accueillir plus d’immigrants que le nombre de naissances, est en aucun cas acceptable.
Les grands pays de ce monde ont des politiques d’immigration beaucoup plus réalistes que les pseudo-politiques de nos gouvernements fédéral et provincial basées sur…rien que d’une politique… de politicien.
Il est grand temps de faire des études, des comparatifs et d’appliquer au minimum le principe de moins d’immigrants que de naissance.
Certains diront, oui mais faudrait augmenter nos naissances. Le monde n’est plus en 1750; il n’a plus de Revenge des berceaux. Cette époque est définitivement terminée.
Il est temps de répandre le mot : plus de naissance que d’immigrations.
En comparaison avec les naissances et les immigrants admis, les chiffres pour l’immigration au Québec doit se situer entre 10,000 à 26,000 par année.
Personne n’arrive à justifier des chiffres qui nous mets dans une situation de péril.
Tous les politiciens évitent de parler des seuils d’immigrations lorsqu’on parle d’immigration.
On aime dire que l’immigration est une richesse pour le Québec, mais on ne souligne JAMAIS les effets pervers et néfastes pour les populations qui sont déjà ici.
Dans tous les choix faits par nos gouvernements, on ne doit jamais dépasser le nombre de naissance dans les seuils d’immigrations sans causer une grande disparition en devenir.
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