Le 7 novembre dernier, à l’invitation de deux associations russes, l’une de médecins et l’autre intitulée « l’Union internationale des peuples libres », je me suis rendu à St. Petersbourg pour assister à une conférence internationale sur le thème : » La démocratie – une illusion mondiale. Comment les gens peuvent-ils recouvrer nos droits ? »
L’invitation était accompagnée du texte suivant :
Nous voyons que la destruction de tous nos droits a atteint un point culminant historique, en particulier le droit à l’auto-détermination et le droit à la liberté d’expression. Le pouvoir dans le monde est évidemment entre les mains de ceux qui, non seulement ne se soucient pas du peuple et de ses droits constitutionnels, mais les détruisent, et par tous les moyens nous musèlent. Le monde a subi une vague de répression sans précédent pour avoir critiqué les autorités. En fait, il n’y a pas de pouvoir du peuple dans le monde. Et personne ne le remarque, car nous sommes hypnotisés par les médias pro-gouvernementaux qui incitent les gens à croire que tout est fait pour leur bien. Dans le même temps, les personnes les plus honnêtes et les plus actives qui se soucient de leur peuple sont éliminées par les autorités par tous les moyens – dénigrement dans les médias, fabrication d’affaires criminelles, prison et même assassinat. De toute évidence, nous sommes systématiquement menés à l’esclavage numérique total, et si nous continuons à garder le silence et ne décidons pas comment nous résisterons tous ensemble, notre civilisation est menacée d’une destruction imminente. Nous faisons face à la menace d’une guerre nucléaire et faute de disposer de notre liberté d’expression et le peuple ne peut dire non !
Plus d’une centaine participaient à la conférence qui a accueilli des conférenciers représentant 19 pays dont l’Ukraine. USA, Argentine, France, Espagne, Belgique, Allemagne, Belgique, GB, Suisse, Luxembourg (moi – sur le papier), Grèce, Bulgarie, Bélarus, Lituanie, Estonie, Turquie, Kyrgyzstan, Kazakhstan, Russie. Certes, ces représentants n’ont aucune légitimité au-delà des associations qu’ils représentent ou de leur statut universitaire, mais l’objectif était de de se sentir solidaires au-delà des conflits et des frontières.
Au cours de cette conférence, j’ai eu l’honneur et le privilège de présenter un discours qui a été chaleureusement accueilli.
Les gens qui nous avaient invités ne sont pas spécialement fans de Poutine, voire même, plutôt des nostalgiques de l’Union Soviétique. En réalité, plutôt des personnes désorientées par cette nouvelle normalité qu’ils ne comprennent pas et les effraient. Ce qui est certain, c’est qu’en Russie, le narratif Covid a été aussi incohérent que dans nos pays bien que les mesures y aient été moins violentes que dans nos pays occidentaux.
La pression vaccinale n’a pas été aussi forte que chez nous et les gens n’ont pas vécu les mêmes scénarios. Je constate toutefois que le basculement dans le tout numérique est plus avancé que chez nous et que la dépendance aux nouvelles technologies est plus prégnante. Ce qui n’en reste pas moins inquiétant.
Je tiens à saluer la performance de la représentante ukrainienne, présidente d’une association de défense des droits de l’homme, qui a effectué un voyage de 3 jours quasiment non stop, pour arriver de Kiev à Saint-Pétersbourg via la Pologne et la Biélorussie.
Après 4 jours d’une course contre la montre, nous avons assisté à un opéra de Rimsky Korsakov, « la jeune fille de Pskov ». 3 heures d’un spectacle grandiose, salle comble, mise en scène excellente, costumes étincelants, chevaux sur scène, mais j’avoue que ce n’est pas ma tasse de thé.
La diversité culturelle du monde russe s’exprime aussi par les spécialités culinaires offertes dans la ville, aussi nombreuses qu’il y a eu de républiques dans le monde soviétique. Cuisine géorgienne en tête, accompagnée d’un vin réputé pour sa qualité. Le soir où nous avons été invité s à l’opéra, nous avons fait une pause dans une pizzeria italienne, tenue par un authentique sicilien, qui nous a déclaré que pour rien au monde, il ne reviendrait en Italie tant il se sent libre dans son entreprise. Le verre de vin y était à 10 euros, cela ne semblait pas être un handicap pour sa clientèle.
Un jour à midi, j’ai déchiffré le mot « Плов » à la vitrine d’une cafétéria et j’ai invité mes compagnons à entrer dans l’établissement. Mes accompagnateurs m’y ont suivi sans grand enthousiasme, tant les bas prix affichés laissaient penser à un établissement de piètre qualité. Il s’agissait d’un authentique établissement tenu par des ouzbeks, et nous avons été agréablement surpris d’y être accueillis en français. J’en suis sorti repu et surpris de ne payer que 4,50 € pour un Plov (Pilaf) et une pinte de bière.
Séjour terminé dans un restaurant israélien. Ambiance irréelle. A table à côté d’une ukrainienne et de son amie juive (au sens « russe du terme : appartenant à la nation juive, au même titre que les Allemands de Russie, ou les Tatars ou les Tchétchènes, ). A 20h, le propriétaire a suspendu le service pour partager le pain et le vin et fêter Shabbat Shalom. Ainsi fonctionne le « monde russe » et cette ambiance nous est si étrange.
Solidairement.
Jean-Pierre EUDIER
Président EFVV
www.efvv.eu
Président LNPLV
www.infovaccin.fr
Jean-Pierre Eudier
Intervention St Pétersbourg
04/11/2022
Bonjour, Je suis Jean-Pierre Eudier, président de EFVV (European Forum For Vaccine Vigilance) et de la Ligue Nationale pour la Liberté des Vaccinations en France.
Je suis très honoré de votre invitation et de l’opportunité qui m’est offerte de parler ici à St. Pétersbourg. Cette ville qui fût le théâtre de la Révolution bolchévique d’Octobre en 1917, sera-t-elle le berceau de la nouvelle révolution qui pointe à l’identique sous de nombreux aspects ? Chance ou malchance ? Qui peut le dire ? Car les décisions politiques imposées aux populations, partout dans le monde au même moment, dès le premier trimestre 2020, ont été sans précédent dans l’histoire, tant dans leur violence sournoise, que dans leur motif, et dans leur amplitude.
Aujourd’hui, nous sommes réunis pour parler de la démocratie, or, Liberté et Démocratie sont deux concepts indissociables
Le 8 novembre 1793 et après un procès bâclé en quelques heures
Madame Rolland montait à l’échafaud en proclamant :
« Ô Liberté, que de crimes commet-on en ton nom. »
Nos dirigeants nous répètent sans cesse : « La démocratie reste le meilleur garant des libertés » or toutes les décisions politiques sont prises en son nom et la liberté est de plus en plus menacée, voire entravée quand elle ne nous est pas tout simplement confisquée..
Les démocraties, au contraire des dictatures, sont censés garantir la liberté de la presse, les libertés économiques, la liberté de conscience et la liberté de pensée.
Jusqu’au mois de mars 2020, quels que soient leurs défauts, les démocraties semblaient, en principe, les régimes où la liberté était la mieux préservée.
Que s’est-il passé ?
Consciemment ou par intuition, le 23 avril 2020, soit 11 ans jour pour jour après la déclaration par Margaret Chan, directrice de l’Organisation mondiale de la santé annonçant les trois premiers cas de grippe H1N1 en Europe, je remplaçais la signature de mes courriels ainsi formulée :
« La vaccination n’est pas une assurance tous risques. Le miracle de l’antibiothérapie n’a pas eu lieu. L’enchainement des scandales sanitaires nous oblige à rester vigilants et nous autorise à demander la liberté de choisir ».
Par cette formule :
« L’urgence du moment est de rassembler nos forces vers un objectif commun, sauver l’État de Droit et les valeurs démocratiques associées pour faire barrage à l’avènement d’un monde désocialisé, déshumanisé, vacciné, numérisé.
L’enchainement des scandales sanitaires mis en évidence pendant cette crise nous oblige à redoubler de vigilance et à continuer notre combat pour la liberté de choisir ».
Déjà en 2009, pendant une des premières alertes pandémiques mondiale assortie d’une tentative de campagnes de vaccinations de masse, je réalisais cette carte postale :
Aujourd’hui, cette image résume à elle seule le cauchemar que nous vivons actuellement.
Il est manifeste que la vaccination constitue une pièce de l’immense puzzle dont nous essayons, tous ici, de rassembler les morceaux pour mieux comprendre pourquoi, parmi les enjeux actuels, cet acte médical met la démocratie en danger, et comment l’une et l’autre sont en passe de se transformer en une illusion, un vestige du passé.
Il ne faut pas que la peur inhibe la prise de conscience et nuise à l’action.
On constate en effet que la vaccination universelle et indifférenciée, outil de santé publique généreux dans l’esprit mais paradoxal dans sa forme, a été détournée par des terroristes en col blanc pour en faire une arme de destruction de la démocratie, de la santé, de l’économie, de la société et de la famille. L’obligation vaccinale est, sinon la clé de voute qui permet la mise en place de ce système de surveillance et d’asservissement qui nous menace, un des outils parmi d’autres comme la 5G, les compteurs « intelligents », la vidéosurveillance permanente et tant d’autres outils d’apparence anodine qui envahissent notre espace insidieusement depuis des décennies mais plus ouvertement depuis les confinements de 2020.
Les évènements de ces trois dernières années, à savoir : la convergence de la mise en place de la 5G, des compteurs intelligents, des systèmes de surveillances à tous les coins de rues et sur les parcours autoroutiers, nous en apportent de nombreuses preuves.
Mais la vaccination de masse n’est qu’un épiphénomène dans la complexité de cette crise et c’est ce que nous allons essayer de vous présenter.
Véritable défi que de démontrer la fraude et le mensonge sur lesquels reposent les discours autour du Covid.
Nous avons face à nous, une construction fragile, instable et insalubre qui menace de s’écrouler en emportant tout dans son effondrement. N’oublions pas que l’opération spéciale qui se déroule actuellement en Ukraine, est un des volets de la manipulation à laquelle nous sommes confrontés. Chance ou malchance pour le salut de l’humanité ? Vous, peuples de Russie en êtes les victimes innocentes. L’issue de cette opération et incertaine, qui en sortira bénéficiaire ? Le peuple ou les élites ? l’avenir nous le dira.
Aujourd’hui plus que jamais, nous constatons que l’homme se trompe plus durablement et plus dangereusement quand il fait des raisonnements justes sur des bases fausses, que quand il fait des raisonnements faux sur des bases justes.
Pour comprendre simplement la violence de la crise que nous traversons, j’invite à lire 2 ouvrages : « Le débat interdit » d’Ariane Bilheran et Vincent Pavan et un autre, découvert très récemment, écrit par Charlie B. Borgo, auteure discrète et isolée qui a publié, à compte d’auteur un ouvrage intitulé : « Pourquoi on nous a volé le Printemps ».
Ces livres mériteraient d’être publiés en Russe.
Pour ne pas trahir les propos de l’auteure, j’ai demandé à nos hôtes de traduire en russe un des chapitres de l’ouvrage de Charlie B. Borgo et d’en mettre quelques exemplaires à la disposition des participants à cette conférence, tant ce chapitre exprime le fond de ma pensée et s’intègre parfaitement dans l’esprit de notre rencontre d’aujourd’hui.
L’ouvrage d’Ariane Bilheran et Vincent Pavan décrit comment à partir du traitement de l’information dans la crise politique liée à l’épidémie de Covid, on doit s’interroger sur le rapport entre l’idéologie et le savoir : censure des mots, néologismes, mots détournés, sophismes. Notre langue, est un patrimoine collectif reçu en héritage. Lorsque cette langue ne fait plus sens commun mais qu’elle est récupérée, transformée et corrompue par des intérêts privés ou des communautés, c’est la porte ouverte à la radicalisation ou au terrorisme dans la pensée. Les auteurs – un mathématicien et une psychologue – mettent en lumière le traitement de la langue et de la logique, mis en œuvre par les sphères politiques et médiatiques depuis mars 2020 en France et partout dans le monde.
Forts de leurs connaissances scientifiques, ils étudient le fonctionnement d’une information et d’une communication détournées. En s’appuyant sur des arguments sourcés et chiffrés, ils mettent en lumière la déconstruction des vérités scientifiques avancées par le gouvernement pour justifier ses actions politiques. Ils proposent une analyse détaillée de la « nouvelle langue », de la « nouvelle normalité » et des méthodes de contraintes psychique sur la population française.
Mme Bilheran et M. Pavan ont récemment organisé, avec le concours de la LNPLV, à Lisbonne puis dans la région de Marseille, un symposium d’une grande qualité, au cours
duquel les intervenants ont exposé la « Corruption dans la crise artificielle du Covid », ses origines, ses mécaniques et ses implications.
Chacun de ces intervenants a présenté pour son champ de spécialité un exposé instruit et implacable des principaux enjeux de cette corruption. Le tout forme un tour d’horizon complet, clair, avec un recul et une exhaustivité bienvenue autour de ce sujet.
Peu de gens ont conscience de la violence des décisions politiques imposées aux populations depuis le premier trimestre 2020. Sans précédent dans l’histoire, elle est autant d’ordre psychologique générant de la souffrance, comme par exemple la suspension sans salaire pour les néo-refuzniks, que physique suite aux injections forcées dont on découvre à peine l’ampleur des effets dévastateurs.
Pour comprendre la profondeur du mal, comme eux, nous devons traiter ici de la corruption systémique, politique, médiatique, scientifique (épidémiologique, mathématique, informatique, statistique…), juridique, philosophique et psychologique, avec une analyse critique sur les trois années écoulées.
L’ensemble du tableau porte la réflexion sur le rôle de la corruption dans la dérive actuelle vers un nouveau régime totalitaire, la fraude permettant d’organiser la manipulation des masses, afin d’obtenir leur consentement. Il est donc essentiel d’y voir clair, et c’est l’enjeu de ce colloque que de donner des outils pour un discernement plus « aiguisé ».
Cette vision éclairée nous est fournie par Charlie B. Borgo dans son ouvrage « Pourquoi on nous a volé le printemps », tant tout ce qui est écrit y est pertinent et expose avec rigueur toujours, humour parfois et force du verbe, les dangers qui nous menacent.
Le récit, se nourrissant des incohérences de la situation, se transforme au fil des recherches, qui s’étalent sur presque deux années, en roman plus ou moins noir. Il flirte avec tous les genres : enquête (médecine moderne, traitements, vaccins, médias, lobbys, technologies en place…) ; essai (avenir de nos libertés, jeux de pouvoir, manipulation et psychologie des foules…) ; anticipation (technologies existantes que peu d’entre nous connaissent…) Nous découvrons tous quelque chose.
Elle décrit comment cette crise a été mise en scène ? Est-elle tombée à pic, servant les affaires sociales, politiques, les états, le business, les uns et les autres ?
Aux États-Unis, en France et au Brésil récemment, on s’en est servi pour influencer les élections. Le Covid est politique. Chez nous, la crise fait taire toutes les contestations qui pourrissent la tranquillité du pouvoir et des citoyens : des gilets jaunes aux flics en colère, en passant par les soignants en grève et autres protestataires… Les syndicats sont au chômage. Le mécontentement est général face aux autorités jugées incompétentes. Un moyen de tenir les peuples, de les rendre obéissants. La peur, le meilleur des calmants.
On s’en sert pour mieux faire l’Europe.
On s’en sert de cache misère économique. Des économistes affirment que la crise mondiale était là de toute façon, que cette épidémie a sauvé la bourse du crack et sert à faire repartir nos économies.
On s’en sert surtout de tremplin pour tracer et soumettre les populations. En Chine, à Hong Kong, nous avons eu droit à des démonstrations grandeur nature d’innovations technologiques de traçage des individus. Et notre pays ne se cache pas d’être importateur de ces procédés. Alors pour quoi faire, si ce n’est pour les utiliser ? On nous explique que ça se passe ailleurs, on s’insurge, dans les reportages, contre les dérives de telles technologies, contre la répression, la désinformation, la propagande, ailleurs.
Méfions-nous de tout ce qui s’est déjà mis en place, à petit bruit, à petits pas. La soumission est aussi la somme de petites acceptations anodines et silencieuses.
… Bref, un pangolin qui accouche d’une montagne.
Une Montagne ? Je dirai plutôt un volcan ; autant un volcan peut être dangereux quand il entre en éruption, autant il amène aussi des scories fertiles pour les récoltes futures. A nous de semer sur ce sol généreux.
Nous découvrons l’orchestration de l’histoire COVID, mais au lieu d’une symphonie, nos manipulateurs composent une cacophonie.
Complot, propagande et censure sont les principaux ingrédients de la soupe qui nous est servie. Une soupe indigeste, toxique et iatrogène que seuls les naïfs, les crédules et les stupides consomment.
Personne n’ose penser que cette histoire est orchestrée,
Qui ose imaginer qu’il y a des humains capables de telle monstruosité. Et pourtant, !
Qui ose concevoir que des individus ou groupes d’individus puissent comploter afin de dominer l’humanité ou de programmer son épuration. Restons éveillés et vigilants. !
Quant au complot :
On peut aussi en déduire que certains ne sont peut-être pas si fous que cela, quand ils parlent d’une sorte de complot. Pour Monsieur ToutLeMonde, le complotiste est un individu qui croit en des choses insensées qui sortent du consensus général, et qui de ce fait manque d’intelligence ou de culture. On ne peut donc le croire.
Alors qu’il y a toujours eu des complots dans l’histoire. Et tout le monde le sait : ceux-ci sont alimentés par la corruption qui se trouve partout où il y a du pouvoir. Partout dans le monde. En tout temps. Le principe du complot étant que tant qu’il n’est pas reconnu, il est facile de prétendre que celui qui le dénonce est fou. C’est un des principes de base de toute manipulation.
Et la place de la propagande
Cette crise a mobilisé une armée de professionnels de la propagande, outre les cabinets de conseils comme Mc. Kinsey, Citiwell et tant d’autres, de faux profils sur les réseaux sociaux, jouent les complotistes en poussant le trait si gros que toute personne qui tente de dénoncer quelque chose qui dérange, en devient ridicule. Il y a des gens payés pour effectuer un travail de sape.
…/… Complotiste, le mot facile pour signifier qu’une personne ne peut être ni écoutée, ni crue. Un fourre-tout bien pratique pour couper court aux questions qui dérangent… Un épouvantail à curieux.
Comme dans toute histoire de manipulation, on ne croit jamais une victime qui dénonce son bourreau, ce dernier faisant tout pour paraître bien sous tous rapports. Et si personne ne croit la victime, elle peut finir mal.
Complotiste, une espèce de gros mot. Comme on te traite de con. Ce qui coupe court à toute explication. Toute conversation.
Elle poursuit : Dans quelques temps peut-être, tout le monde conviendra du danger de certains vaccins, de la manipulation du monde par les élites, de certaines choses qui sont dénoncées maintenant par ces « complotistes », eux qui auront fait le chemin pour les autres.
Comme on lisse les mots et l’histoire, on lisse la pensée pour la rendre unique, tout ce qui dépasse est jeté en pâture à la foule ignorante de ces choses. Alors il faut tendre l’oreille et ouvrir les yeux sur ce processus de lissage, de négation de la réalité.
Être curieux nous sauvera peut-être du pire. Sans doute nous demanderons-nous si la crise n’est pas un bon prétexte pour apeurer les populations et copier les mesures d’un régime totalitaire. D’autant plus qu’on nous annonce que ça va durer. Jusqu’où ? Jusqu’à quand ?
Aujourd’hui, celui qui est en alerte est donc mis au rang des perturbateurs et des dangereux adeptes de la théorie du complot. En attendant, sans être complotiste, Monsieur ToutLeMonde peut remarquer que la censure fait son œuvre de plus en plus ouvertement dans les divers médias qui parlent d’une seule voix, à quelques dissidents près.
La menace sanitaire n’est pas et n’a jamais été d’origine virale. Le virus n’est qu’un prétexte à la mise en place d’une nouveau modèle économique basé sur la surveillance et la contrainte.
Au nom de la protection contre un virus, on a plus ou moins copié un régime totalitaire. Le glissement est dangereux. Au nom du sanitaire on peut geler la constitution et soumettre un peuple. Démonstration faite.
Propagande, instrumentalisation de la peur, fabrique du consentement, tous les ingrédients sont réunis, pour comprendre que nous baignons dans la manipulation tout en pensant avoir notre libre arbitre : le meilleur moyen pour que nous ne cherchions pas à sortir de l’emprise.
Bernays, neveu de Sigmund Freud et considéré comme le père de la propagande politique et d’entreprise, dit que si dans une dictature on agit par la force, dans une démocratie il faut obtenir le consentement du peuple.
C’est ainsi que la démocratie est devenue un théâtre : les auteurs racontent une histoire qui fait peur ou rêver, une histoire qui sert leurs intérêts du moment ; les metteurs en scènes mettent en œuvre, côtoient les sommets et reçoivent les honneurs ; les élus et élites sont les acteurs surpayés ; et le peuple joue les figurants dans une pièce sensée être écrite pour lui.
On peut réécrire l’histoire, avec ses guerres et jeux de pouvoir, ses rois et dictatures… Elle n’est que propagande. Nous sommes le résultat d’un conditionnent qui dure depuis la nuit des temps. Le peuple a toujours été tenu en respect par la force ou par la crainte de quelque dieu.
Dans son livre La théorie du choc, Naomie Klein, explique que des désastres (attentats, violence, catastrophes naturelles, changements de régimes…) conduisent à des chocs psychologiques qui permettent aux pouvoirs capitalistes d’imposer des réformes économiques ultralibérales (comme la privatisation de l’énergie ou de la sécurité sociale…). Chocs divers tels que drogues, violence, privation sensorielle, isolement… épidémie.
On se demande toujours comment des guerres peuvent embarquer autant de personnes dans un conflit, dans des actes terribles, ou comment Napoléon, Hitler, Georges W Busch et tant d’autres, a été suivi par les foules… Ne nous demandons plus.
Mais si c’était vrai les médias le diraient ! Le croyez-vous vraiment ? Tchernobyl en est un exemple. De toute façon, on ne veut pas voir, comme un enfant qui met ses mains devant les yeux en croyant que cela suffit à faire disparaître le monstre…
Et en principe, quand l’homme peut, l’homme fait.
C’est déjà là. Il n’y a qu’à regarder. Il n’y a plus qu’à développer, tout est déjà inventé. Le pouvoir est déjà mondial : qui détient nos ordinateurs, nos logiciels, nos réseaux, nos infos, nos documents et dossiers, nos bureaux et boîtes mails, nos coffres-forts et notre espace dans le Cloud ?… Nos richesses et secrets sont entreposés chez nos voleurs et maîtres potentiels.
Le pouvoir mondial nous dirige déjà et nous censure de plus en plus. À travers les Big compagnies, nos gouvernements ne sont que des marionnettes. Sous couvert de vouloir le
bien de notre économie, de nos économies, de notre bien, ils nous prennent la bourse et la vie.
Le rêve de tout dictateur peut être enfin atteint : le pouvoir suprême sur le monde entier. Un gouvernement unique, une pensée unique. Les rois divers, les César, les Napoléon, les Hitler and Co, tous voulaient dominer le monde. L’histoire n’est que tentatives successives de conquête du monde. Avec des outils qui changent avec les lieux et les époques.
Les soldats nouveaux sont des algorithmes. Les nouveaux généraux font la guerre depuis leur console et larguent des missiles en un clic… Alors si on prépare le terrain psychologique, si on a les moyens technologiques et si des hommes sont prêts à les utiliser… les despotes virtuels sont en place. Le peuple, lui, dans la peur, est bien prêt à accepter n’importe quoi.
Complot mondial ou pas, crises préméditées ou pas, un jour, nous nous réveillerons dans un monde que nous n’avons pas choisi. On n’a pas vu Hitler arriver. Un jour il était là. Aidé de scientifiques, de drogues et de techniques de manipulation des foules, de psychiatres et de pros du comportement et du cerveau. On n’a pas cru aux camps de concentration, au début. On mettait pourtant bien dans les camps les atypiques : homos, communistes, juifs et tous ceux qui se levaient contre les tyrans. Demain, les complotistes, les philosophes, les médecins récalcitrants, les anti-vaccins, les résistants ? Allez savoir. L’histoire se répète si souvent.
En 1976, Mme Françoise Giroud alors rédactrice en chef de l’hebdomadaire l’Express disait « et si ce que l’on nomme progrès n’était qu’une façon de changer de malheur ? ». Le temps semble lui donner raison.
Le pouvoir échappera-il un jour à ses concepteurs ? Nous avons participé à la création de ce monstre. À l’avènement de la dictature mondiale. Notre nouveau maître est virtuel. Et nous sommes tous prêts à obéir, voire à devenir des petits dictateurs, des collabos. Les nouveaux résistants seront des hackers. Et ceux qui se cacheront des antennes X G. Mais Gates a dit que de la 5G nous ne pourrons nous cacher… Les hackers seront aussi les nouveaux délinquants : ils pourront prendre la main sur nos vies, nos comptes, notre santé, et eux aussi pourront nous tuer en un clic. Le terrorisme se modernise.
Je terminerai mon propos en présentant une expérience a été faite récemment : le piratage d’une cafetière connectée qui devient folle (selon 20 Minutes). Un spécialiste en cybersécurité, pour démontrer que c’est possible et que ça pourrait arriver aux autres objets intelligents, a pris le contrôle à distance de la machine, rapporte le média tech Ars Technica : « …Il l’a faite fonctionner de manière anarchique. La cafetière a chauffé, craché de l’eau et de la vapeur, émis un signal sonore tout en affichant une tête de diablotin sur l’écran numérique. Le seul moyen pour mettre fin au dysfonctionnement était de débrancher l’appareil ».
Il a voulu mettre en garde contre le problème qui se pose avec les objets connectés quels qu’ils soient : il n’y a pas besoin de configurer l’appareil. Tout se fait à distance. La vulnérabilité vient de la connexion sans fil. Imaginons les dégâts avec une voiture, un avion, un pacemaker, une tronçonneuse, un radiateur, les ouvertures d’une maison ; avec notre corps connecté par le biais de nanoparticules que nous ne pouvons pas débrancher, elles !
Alors ! Toujours friands des nouvelles technologies au nom du progrès ?
Sous couvert de la démocratie, c’est le futur que nous dessinons, un contrat que nous acceptons par consentement tacite.
Est-il trop tard ? Nous ne le pensons pas et c’est la raison pour laquelle nous poursuivons inlassablement notre mission d’information, de soutien aux victimes de harcèlement administratif et hospitalier et de soutien aux victimes d’effets indésirables des vaccins.
Il ne faut pas que la peur inhibe la prise de conscience et nuise à l’action.
N’ayons plus peur de dénoncer les crises politiques qui accompagnent ce glissement vers l’horreur orwellienne.
N’ayons plus peur de dénoncer les règlements liberticides concoctés au nom de la sécurité sous couvert d’une démocratie assassinée et en état de décomposition avancée.
N’ayons plus peur de dénoncer les mensonges institutionnels relayés par des médias corrompus, la soumission du pouvoir judiciaire au pouvoir exécutif, l’impuissance du pouvoir législatif anesthésié et manipulé.
J’ai eu l’occasion de l’exprimer à plusieurs reprises, de la Bérézina à Stalingrad, les peuples de Russie ont toujours aidé à la chute des tyrans. Soyez-en conscients.
Si l’authenticité de la citation de Manon Rolland en introduction est contestée, elle a aussi écrit :
« Les tyrans peuvent m’opprimer, mais m’avilir ? jamais, jamais »
Alors il est temps de prendre nos crayons, nos pinceaux, nos gommes, et de dessiner autre chose ! Faute de quoi, c’est la version qui sera validée.
Source: Lire l'article complet de Profession Gendarme