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Campagne de dons Octobre 2022
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par Maryse Laurence Lewis.
Le ministère de la Santé du Québec s’est bien gardé de révéler la négligence dont on parle maintenant. À présent, les élections sont accomplies dans « la belle province ». On peut avouer à ceux qui lui ont accordé une majorité parlementaire, lui permettant de sévir davantage, comment M. Legault a bien géré cette épidémie… d’argent gaspillé. Garantissant la santé des pharmaceutiques, au détriment de celle des contribuables. Bien entendu, le Premier ministre du Canada, Justin Trudeau, n’est pas sans taches. On devrait même lui en trouver sur les poumons, ayant été victime par deux fois du Coronavirus.
Pour quelques dollars de plus
Ayant acheté de trop nombreuses doses de vaccins, n’ayant pu être administrées à temps, on doit en jeter 5,3 millions. Ce qui représente 680 millions de dollars mis au rebut.
Les chiffres suivants correspondent à un minimum, car d’autres doses sont en voie de péremption :
En Alberta : 2,1 millions de vaccins détruits ;
Au Manitoba : 75,000 doses à la poubelle ;
En Saskatchewan : 348,000 flacons jetés ;
En Colombie canadienne [britannique] : 1,6 millions de vaccins déchus ;
Au Québec : 1,13 millions de doses éliminées.
On se défend, en alléguant le refus de nombreux pays à recevoir les vaccins d’AstraZeneca, dont on ne peut nier les effets secondaires graves pour la santé. Dont souffrent des individus qui n’avaient aucune possibilité de mourir d’une grippe, même sévère et plus longue à soigner que l’influenza. Pfizer et Moderna, eux, jouissent de la présomption d’innocence, car les effets à long terme de leur thérapie génique sont inconnus, surtout lorsqu’on répète les injections à moins de six mois d’intervalle.
Aucun partage de ces vaccins ne fut tenté, vers les pays n’ayant pas les moyens de les acheter. Maintenant que l’on sait que les doses sont soit inefficaces, car des gens quatre fois vaccinés sont réinfectés, soit nocives pour la santé, que l’on n’ait pas résolu d’expédier ces flacons en pays pauvres les a donc protégé des effets néfastes ! De ceux, entre autres, qui usurpent le nom de philanthropie…
Déjà, les diverses entreprises pharmaceutiques n’ont pas eu pitié des gouvernements, en leur vendant à prix élevés les doses de vaccins. En plus d’exiger d’être immunisés, eux, de toutes poursuites, quelles que soient les conséquences d’une vaccination massive, par injections de substances à peine testées. Les laboratoires de niveau P4 continuent de foisonner. Et ceux que finance le docteur Fauci ne sont pas en reste, quant à la joie de préserver actifs les plus virulents pathogènes.
Le VDMH
Quoique nous ne l’ayons pas encore découvert, un peu à la manière des particules quantiques, nous pouvons en constater les effets : le virus de la déficience mentale augmente, en quantité directement proportionnelle à la crédulité massive des uns et l’attraction du pouvoir d’une élite de psychopathes.
Des personnes croient qu’une pensée positive aide à guérir, même d’un cancer ! Et maintenant, avec la campagne de peur, l’annonce quotidienne du nombre d’infectés supposés et de morts, les gens paniquent et s’imaginent qu’on peut mourir en s’approchant de quelqu’un. On soupçonne tous ceux que nous côtoyons, on refuse de les recevoir, de tendre la main. On nous dit, entre autres conseils judicieux, de tousser dans notre coude et de toucher le coude d’un ami, au lieu de prendre sa main. Ainsi, si vous abritez un virus, vous aurez davantage de possibilité de le transmettre, coude sur coude !
Voici une énumération des dates de prises de mauvaises décisions en France
Le 31 décembre 2019, la Chine avise l’Organisation mondiale de la Santé d’un problème épidémique. Le 14 février 2020 : on atteste le premier décès, en France, d’un touriste chinois.
• Le 29 février : on interdit les rassemblements, en lieux clos, de plus de 5000 personnes !
• Le 8 mars : on prohibe la présence de plus de 1000 individus, en zone intérieure ou extérieure.
• Le 14 mars : on ferme les restaurants, les bars, les cinémas, les musées…
• Le 17 mars : on initie le confinement de la population.
• Le 11 mai : on planifie un déconfinement progressif.
• Le 2 juin : on procède à une réouverture de certains endroits publics.
• Le 20 juillet : on rend obligatoire le port du masque en lieux clos, et même à l’extérieur dans certaines villes. (Au Québec, cette mesure entre en vigueur le 18 juillet)
Inutile de détenir un diplôme en épidémiologie, pour se rendre compte de l’absurdité des décisions suggérées par les « experts » de la santé. Au lieu de restreindre immédiatement les rassemblements, demander à porter un masque ou un foulard lorsqu’on se sent faible ou fiévreux, et rester chez soi en cas de grippe, on procrastine pendant des mois. Et on demande aux gens de porter un masque, en juillet, alors que la grippe ne court pas assez pour qu’elle puisse nous attraper. On réduit l’apport d’oxygène au cerveau et dans tout l’organisme, durant une période où la température atteint souvent plus de 30 degrés Celsius. Et l’oxygène est indispensable aux globules rouges, lesquels contribuent à fortifier le système immunitaire prit en charge par les globules blancs.
Et quelles coïncidences, si on peut les qualifier ainsi ! En septembre 2019, la revue Science & Vie publiait un article intitulé « Et si un virus mortel s’échappait d’un laboratoire ? », en édition hors série, numéro 288, page 102, rédigé par Yves Sciama. Dans la revue de septembre-octobre 2019, encore une fois, près de quatre mois avant que la Chine n’annonce ses premiers cas, Québec Science diffuse le texte « Prêt pour la prochaine pandémie ? ». Le docteur Antony Fauci y prédit un épisode de grippe à syndrome respiratoire sévère.
En plus de procéder de la manière la plus appropriée, pour nuire à la santé des gens, saboter l’entraide et les liens qui aident à guérir, on nie les décès et les recontaminations qui indiquent l’inefficacité des vaccins. On insiste pour que les gens en reçoivent un quatrième, un cinquième, tous aussi inutiles. On ne peut plus nier les réinfections, alors on parle « non adéquatement vacciné », c’est-à-dire injecté seulement trois ou quatre fois…
En France, la perversité des gouvernants va jusqu’à suggérer de diminuer les heures de classe, pour éviter d’utiliser trop d’énergie pour le chauffage. Par crainte de manquer de gaz, suite aux sanctions prises contre la Russie. Pendant ce temps, les gens d’affaires s’enrichissent grâce aux coûts exorbitants des carburants fossiles, possèdent plusieurs maisons qu’ils n’habitent presque jamais et doivent chauffer, pour que n’éclate pas la tuyauterie ! Au lieu de gaspiller de l’argent en vaccins, dont une partie est vite périmée ou inadaptée au virus suivant, ou dilapider des milliards en armements, les dirigeants devraient cesser leur distanciation sociale et se réunir, pour régler les conflits, plutôt que les envenimer par l’envoi d’armes et de mercenaires. Mais peu leur importe. La production d’armes les enrichit. Et tout ce qu’ils proposent, pour améliorer la santé, c’est vendre de l’alcool et du cannabis, pour ravager le foie et les poumons des consommateurs ! La fumée de cigarette s’est évaporée des bars ; l’odeur de marijuana erre partout.
L’anxiété : la meilleure alliée des virus
Entre psychologie et physiologie, les études liées à l’isolement involontaire cernent de nombreux problèmes. Le confinement peut entraîner une diminution du volume de matière grise cérébrale : une perte au niveau de l’hippocampe, susceptible d’affecter la mémoire, ainsi que dans la zone de l’amygdale, liée aux émotions. Il semble que l’absence de relations entre humains réduit aussi les connexions entre neurones… Le cortisol, une hormone du stress, se retrouve plus abondamment dans le sang, ce qui augmente la tension artérielle, donc un risque de troubles cardio-vasculaires. Durant une réclusion forcée, les gènes codant pour parer aux infections bactériennes sont surexprimés. Il s’en suit une inflammation qui amoindrit les cellules immunitaires, nous rendant plus vulnérables aux virus….
Au lieu d’expliquer que les grippes sévères sont plus longues à guérir, mais que seules les personnes déjà vulnérables peuvent subir des complications, les médias ont mené une campagne de terreur, afin d’obtenir l’effet adéquat pour affaiblir le système immunitaire. Maintenant, des gens sont tellement paranoïaques qu’ils angoissent en ayant un simple rhume. Les plus peureux suspectent les gens n’ayant pas la grippe d’être de potentiels tueurs, porteurs de virus mortels. Mais ils acceptent qu’on leur injecte des substances chimiques dont on connaît maintenant la nocivité.
Selon le Centre d’immunologie de Marseille-Luminy, l’anxiété affaiblit le système immunitaire. À la surface de nos cellules, des récepteurs captent les hormones liées au stress : l’adrénaline et la noradrénaline. Nos cellules immunitaires possèdent elles aussi ces récepteurs. En les stimulant chez des souris, exposées à un stress et à un virus, seul 10% des rongeurs survécurent, alors que la moitié du groupe témoin, ayant été soumis à un virus mais non à un stress préalable, résistèrent au pathogène. Chez les souris dépourvues de récepteurs, 90% des animaux neutralisèrent le virus. Les hormones du stress qui se lient aux récepteurs β2 amoindrissent la sécrétion de molécules qui aident à éliminer les intrus.
Chez les chauves-souris, vectrices accusées de transmettre la Covid, l’organisme est pourvu d’une adaptation qui empêche le système immunitaire de se nuire à lui-même en réagissant par une inflammation trop intense. Ces mammifères sont donc peu affectés par les virus qu’ils logent, alors que les humains infectés par la Covid, eux, peuvent être victimes d’une surproduction de molécules qui provoquent une inflammation compliquant le traitement d’une grippe. Les cytokines, au lieu d’assurer une bonne communication entre les cellules immunitaires, déferlent, tel un orage, et cet excès de réaction devient la cause de nombreux décès….
Il m’apparaît donc imprudent de répéter des injections anti-virales, puisque le risque d’induire une inflammation chronique augmente. Le système immunitaire s’en auto-affaiblit.
Que valent les vieux ?
Certains se demandent s’il vaut la peine de débourser, en soins médicaux, pour des personnes âgées, déjà affaiblies, ayant de fortes possibilités de mourir en peu d’années. Il est vrai que la majorité des victimes de la Covid sont des vieillards. Qui est-on, cependant, pour juger de la valeur d’un être ? L’âge n’a rien à y voir. Si l’on se préoccupait de la santé des anciens, il serait plus salutaire pour eux, et beaucoup moins coûteux, de leur fournir gratuitement des semelles en caoutchouc ! Les hospitalisations ont souvent pour cause des chutes, provoquant des cassures de membres, qui, bien souvent, handicapent pour toujours les blessés qui, jusque-là, pouvaient se déplacer sans canne ni fauteuil roulant. Les chutes furent à la base de 12,003 décès, au Québec, entre l’an 2000 et 2013, ce qui équivaut à une moyenne de 857 défunts par an….
Nos gouvernements ont perdu tête et pieds durant l’épidémie de Coronavirus. Comme dans le cas des semelles en caoutchouc, les solutions les plus simples et peu coûteuses sont préférables aux déploiement d’opérations médiatiques dramatiques. Il leur reste à reconnaître que la comédie devrait cesser. Les virus naturels ne nuisent qu’aux gens déjà aux prises avec des maladies chroniques. Et ceux réactivés en laboratoires devraient être éliminés, avant de causer des dommages qu’aucun vaccin actuel ou à venir ne saurait contrôler.
source : Mondialisation
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