Philippe Bobola et Jean-Dominique Michel : leçon de « complotisme éclairé »

Philippe Bobola et Jean-Dominique Michel : leçon de « complotisme éclairé »

Le dirigeant légitime de la France c’était Pétain, auquel 80% des parlementaires, le 10 juillet 1940, ont donné les pleins pouvoirs constituants, c’est à dire la mission de donner une Constitution à la France . Il a préparé cette constitution mais évidemment il ne pouvait pas la présenter dans une France occuppée . De Gaulle a fait un premier coup d’Etat à la Libération . Seulement les députés ont refusé de renoncer à la proportionnelle, et c’est pour cela qu’il a démissionné début 1946, car la proportionnelle, c’est à dire des élections honnètes, l’aurait chassé du pouvoir . En mai 58, il a fait un nouveau coup d’Etat, il a étranglé la république en faisant croire qu’il l’a sauvait d’un putsch militaire :  » les paras d’Alger vont sauter sur Paris !  » . Seulement cette fois-ci, pour se maintenir au pouvoir, il va SUPPRIMER la proportionnelle et la remplacer par le trucage du scrutin majoritaire : c’est le début du pseudo règne des « godillots », majoritaires, ces merdes gaullistes qui devaient leurs sièges à une escroquerie électorale . Depuis nous sommes en dictature, qu’importe que le dictateur, toujours mal élu, soit « de droite » ou « de gauche » : dès qu’il est élu, il a les 3/4 des Français contre lui ! Belle « démocratie » ! On a pris soin d’inscrire le 49-3 dans la Constitution, pour pouvoir se passer… des représentants du peuple pour imposer aux Français ce que le dictateur exige, ou plutôt ce qu’exigent les véritables maîtres, cachés dans la coulisse .

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À propos de l'auteur Égalité et Réconciliation

« Association trans-courants gauche du travail et droite des valeurs, contre la gauche bobo-libertaire et la droite libérale. »Égalité et Réconciliation (E&R) est une association politique « trans-courants » créée en juin 2007 par Alain Soral. Son objectif est de rassembler les citoyens qui font de la Nation le cadre déterminant de l’action politique et de la politique sociale un fondement de la Fraternité, composante essentielle de l’unité nationale.Nous nous réclamons de « la gauche du travail et de la droite des valeurs » contre le système composé de la gauche bobo-libertaire et de la droite libérale.

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