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4ème épisode
En Ukraine se construit le IVème Reich
(article du 11 juin 2014, entretien avec Olga Tchetverikova)
Ci-après je reprends un extrait très important du livre de Olga Tchetverikova traduit en français, « Le Vatican, totem moralisateur du Nouvel Ordre Mondial ».
« J’aimerais terminer la postface par les propos tenus par Olga Tchetverikova lors d’un entretien datant du 11 juin 2014 (!), soit trois ans avant qu’elle n’écrive « Le Vatican, totem moralisateur du Nouvel Ordre Mondial » et six ans avant le début de la crise Covid à partir d’une chimère virale venant de laboratoires américains. Ces propos sont recueillis dans l’article « L’Ukraine s’est mise à construire le IVème Reich. Fascistes, sionistes et libéraux (la crème des Élus de la planète – [NDT]) s’unissent contre la Russie ».
Lisons Olga Tchetverikova qui, par ses propos, résume très bien ce qui envenime l’Ukraine au moins depuis 2014 et qui l’a transformé aujourd’hui, en 2022, en terrain de confrontation armée entre la Russie et l’Occident à travers des populations proxies ou intermédiaires (armée ukrainienne, néo-nazis, mercenaires).
« L’essentiel de la guerre menée aujourd’hui contre la Russie est une guerre informationnelle et psychologique visant le changement non seulement des opinions politiques, mais plus encore de la perception que le peuple russe a du monde (ce qui est appelé « guerre cognitive » – [NDT]). Les spécialistes parlent de la « guerre des consciences » dans laquelle est visée une certaine appréhension du monde.
Il y a quelques années, l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe (APCE) a adopté une résolution qui rendait équivalents le rôle de l’URSS et celui de l’Allemagne nazie dans le déclenchement de la Seconde Guerre mondiale. Il était devenu clair que l’Occident préparait la réhabilitation du nazisme. Lorsque cela sera acté, si ça l’est effectivement, on considérera criminelle la critique du nazisme et on affirmera que « Hitler a été la principale victime du stalinisme ». Cela va devenir une règle de la nouvelle idéologie (vous êtes au moins au courant – [NDT]).
Les événements en Ukraine montrent clairement que la première phase de la réhabilitation du nazisme entreprise par l’Occident est en passe d’être terminée. Le cas ukrainien est unique dans le sens où un nouveau type de nazisme y est apparu comme une gigantesque chimère qui réunit les fascistes, les sionistes, les libéraux, les occultistes, les kabbalistes de toutes religions, les fervents de l’œcuménisme, les papistes, les protestants. Les masques et les signes d’appartenance idéologique sont nombreux mais leur origine est une. Indépendamment de leur appartenance formelle à une confession plutôt qu’à une autre, ou à un parti ou à une secte, ils se représentent tous de la même façon l’avenir de l’ordre mondial et la façon de le bâtir. Ils n’ont qu’une religion, à savoir la religion du pouvoir total dans un système qui a prévu pour chacun sa place et son morceau de propriété (comme on dit en russe, « alors que certains auront les morceaux bien gras, d’autres se contenteront des os »).
Depuis l’époque des révolutions en Europe, l’Occident a pris l’habitude de vénérer le surhomme, la créature qui remplace Dieu. Aujourd’hui, ce surhomme peut être le président des États-Unis, le pape romain, le haut-commissaire aux droits de l’homme aux Nations unies, ou il peut être tout à coup représenté par une organisation collective comme l’OTAN, l’OSCE, le Conseil de l’Europe, l’Union européenne, le Congrès juif mondial ou encore la dynastie Habad-Loubavitch. Une fois en place, le surhomme inocule aux hommes sa vision du monde.
Pour pouvoir faire accepter aux gens le droit que se sont arrogés les « élus » au pouvoir total, il est nécessaire de procéder au remaniement, non seulement, de la conscience, mais également de toute la structure de l’âme humaine. Le pouvoir total revient au contrôle absolu de l’esprit, des sentiments et, surtout, de la volonté des gens. Les méthodes pour inhiber la volonté de l’Autre ont été élaborées durant des siècles à l’intérieur de différents ordres hermétiques. À l’échelle de tout un État, cela est pour la première fois apparu en Allemagne nazie, petit bébé des cercles financiers anglo-américains et sionistes qui avaient reconnu l’échec de leur projet trotskiste en Russie.
Aujourd’hui, au regard des politiciens occidentaux qui font la ronde et roucoulent autour des Yatseniouk et autres Tourtchinov qui ordonnent de procéder à des opérations punitives criminelles, au regard des oligarques sionistes qui financent des militaires fascistes, on prend parfaitement conscience de comment l’Europe a été empaquetée dans le « nouvel ordre » nazi qui ne remonte après tout qu’aux années 1930. De même que John Chamberlain avait été désarçonné devant Hitler, de même que les sportifs du monde entier avaient défilé en faisant le salut nazi aux jeux olympiques de Berlin de 1936, les banquiers juifs avaient chéri la Banque des Règlements internationaux (BRI) gérée alors par des nazis afin d’y organiser tout au long de la guerre leurs propres affaires financières.
L’établissement du régime nazi en Allemagne visait plusieurs objectifs.
Premièrement, il fallait détruire la Russie soviétique qui représentait un modèle de développement social qui était fondé sur des valeurs absolument incompatibles avec la religion du Veau d’or.
Deuxièmement, il fallait unifier l’Europe sous l’égide des hommes d’affaires allemands les plus importants et en faire un système économique unifié avec la BRI comme nerf financier qui garantirait l’harmonie entre les intérêts des banques centrales étatiques alors en conflit entre elles. Il avait été prévu qu’après l’achèvement de l’unification de l’Europe à travers l’Allemagne, l’élite supranationale remplacerait la direction nazie et poursuivrait la construction du nouvel ordre, mais dorénavant à l’échelle du monde entier.
Troisièmement a été mis en œuvre le projet sioniste de création de l’État d’Israël pour lequel il fallait sacrifier une partie du peuple juif. Après la guerre, en spéculant sur les souffrances de juifs ordinaires, les dirigeants sionistes ont créé la religion de l’Holocauste qui est devenue un puissant moyen de manier l’opinion publique mondiale au profit du grand capital juif.
Quatrièmement, l’Allemagne devait être une plate-forme pour la gigantesque expérience visant au contrôle des consciences. Il s’est agi d’un programme de restructuration complète de l’homme selon des méthodes eugénistes pouvant être « positives » (l’élaboration d’un « nouvel homme ») autant que « négatives » (la transformation de l’homme en un substitut humain). Avant la guerre, les allemands menaient des expériences eugéniques en collaboration étroite avec des scientifiques américains et anglais.
Après la guerre, tout ce riche matériel cultivé chez les nazis a été soigneusement récupéré et envoyé aux États-Unis. Les services de renseignement américains ont pu exfiltrer les scientifiques allemands de premier plan à travers les réseaux d’exfiltration nazis « Ratlines » du Vatican dans le cadre de l’opération « Paperclip » (trombone) est devenu un des principaux responsables de la NASA. Cela a également été le cas avec Otmar von Verschuer. En 1949, il a été élu membre correspondant de la Société américaine de génétique humaine nouvellement créée qui dissimulait, en fait, sous la nouvelle étiquette de « génétique » une activité eugénique compromettante. Le premier à devenir président de cette société a été l’employé de l’Université Rockefeller Herman Joseph Muller qui a travaillé en 1932 à l’Institut allemand de l’empereur Guillaume II sur un programme de recherche en neuroscience.
Une des meilleures « livraisons » de personnel aux Américains a été celle du général allemand Reinhard Gehlen, chef des renseignements de Hitler sur le front oriental et fondateur de « l’Organisation Gehlen » qui deviendra par la suite, en 1956, l’agence fédérale des services de renseignement de la RFA, la Bundesnachrichtendienst (BND). C’est à la suite d’une séance de brainstorming menée par Gehlen et réunissant le président américain Truman, le directeur de l’OSS (Office of Strategic Services – Bureau des Services Stratégiques, parent de la CIA) William Joseph Donovan et le chef du service pour l’Europe Allen Dulles, que vont être réorganisés les services de renseignement américains pour en faire une organisation subversive secrète très efficace. Tous ces efforts ont mené à la création aux États-Unis en 1947 du Conseil de Sécurité Nationale des États-Unis et de la CIA. Comme l’a écrit le professeur et auteur anglais Ron Patton, « il s’agissait du sommet d’un iceberg juridique qui dissimulait sous l’eau des opérations illégales incessantes menées par le gouvernement, notamment des programmes clandestins visant le contrôle neurologique de l’homme ».
Les nombreuses organisations euro-atlantiques créées après-guerre et travaillant à l’intégration européenne attiraient également un large spectre d’anciens nazis. En faisaient partie le premier secrétaire du Club Bilderberg, le prince Bernhard des Pays-Bas (qui avait débuté sa carrière au service des SS) et, également, le premier président de la Commission européenne, l’allemand Walter Hallstein.
Pendant longtemps, le programme de construction d’un Nouvel Ordre Mondial a été mis en œuvre sous des étiquettes humanistes. Son lien profond avec des structures occultes était dissimulé. Aujourd’hui, tout a changé. L’humanisme s’est transformé en transhumanisme, le « droit » de l’homme de surpasser la nature humaine même est ouvertement proclamé en passant aux formes les plus radicales d’expérimentation sur l’homme, ce qui immerge cet homme dans un monde infernal.
Si, auparavant, l’Occident se présentait comme le combattant contre le « communisme impie », contre le « fondamentalisme islamique », il a enfin aujourd’hui clairement prononcé le nom de son véritable ennemi. Comme l’a indiqué récemment l’un des principaux initiateurs de l’association de l’Ukraine à l’Union européenne, le ministre des Affaires étrangères suédois Carl Bildt, « la Russie a, au cours des dernières années, changé pour le pire. Si dans la première décennie après la chute de l’URSS, elle s’était engagée pour adopter les valeurs occidentales et essayait de les inculquer à la population, les dirigeants russes actuels vont à l’encontre de la population et s’opposent fermement à l’Occident ». Carl Bildt a déclaré que Poutine montrait un attachement non pas aux valeurs mondiales, mais aux valeurs orthodoxes, sachant que l’orthodoxie est plus dangereuse que le fondamentalisme islamique et représente le plus grand danger pour la civilisation occidentale, notamment parce qu’elle s’évertue à réglementer les relations familiales et est hostile aux homosexuels et aux transgenres.
Ainsi, le masque de la bienfaisance que les architectes du Nouvel Ordre Mondial ont longtemps porté est dorénavant tombé. Ces architectes sont passés ouvertement à des méthodes fascistes de gouvernance inhumaines. Ce que l’on observe aujourd’hui en Ukraine n’est pas la récidive du nazisme mais un chapitre d’un plan stratégique mis en œuvre logiquement et progressivement. C’est précisément comme cela que les clans financiers les plus importants voient la mise en place du Nouvel Ordre Mondial. L’ukrainien Kolomoïski qui nourrit les coupeurs de têtes est la chair de leur chair.
Nous comprenons mieux le silence de mort des personnalités politiques occidentales, des organisations de défense des droits de l’homme, du pape de Rome et d’autres « pacificateurs » sur tous les crimes de guerre révoltants commis sous nos yeux en Ukraine. Ils sont tous impliqués dans les crimes et ne peuvent penser qu’en termes guerriers. À la dernière rencontre du Club de Bilderberg, il était justement question de préparer la guerre contre la Russie. C’est ce qu’a tout de suite reconnu un participant à la rencontre, l’homme politique hollandais Diederik Samson.
Voilà maintenant ce que nous écrivent les gens depuis l’Ukraine, ce que nous ne rencontrons jamais dans les « médias de grands chemins » : « Aujourd’hui, toute la journée, ils ont bombardé et tiré sur Krasnyj Liman et Slaviansk, j’ai des parents proches qui y habitent. On y voit des montagnes de cadavres, ils vivent dans des caves et des puits, dans l’horreur des atrocités commises. Ils tuent les enfants, ils ont bombardé l’hôpital psychiatrique de Semionovka, y ont simplement rasé la terre, ils tirent sur les secours qui transportent les blessés, ils ont bombardé l’hôpital régional, ont blessé des chirurgiens… Les gens n’ont même pas de pain à manger, on n’en livre plus depuis quelques jours. On a raflé les dernières provisions des magasins. Les chars et les véhicules blindés sont sous nos fenêtres. Les nazis sont allés vérifier les papiers d’identité dans chaque maison, ont planté des croix devant certaines maisons, je ne sais pas ce que cela peut signifier. Pour la moindre remarque, on se fait fusiller. C’est difficile à croire et c’est pourtant la vérité !… L’horreur que l’on y vit n’a pas de nom. Ils sont encore pires que des fascistes ».
J’insiste bien sur le fait que ce sont des propos, pensées et constats tenus par Olga Tchetverikova datant du 11 juin 2014 (!), un peu après le coup d’État du Maïdan. En 2022, soit huit ans après, la réaction de Moscou, l’opération militaire spéciale russe en Ukraine provoquée et l’atmosphère créée autour au moyen d’une désinformation totale et abjecte de la part des grands médias occidentaux rappellent l’éclat de la bataille de Stalingrad qui aura duré sept mois à l’hiver 1942-1943 et qui aura marqué le tournant de la Seconde Guerre mondiale à la faveur des forces soviétiques qui vont alors garantir la destruction d’une grande partie des forces nazies européennes jusque Berlin en 1945.
Cette destruction n’aura été que momentanée et, certainement, pas suffisante pour voir renaître aujourd’hui le monde fasciste encore plus étendu qui ne peut exister finalement que parce que les populations auront été suffisamment apprivoisées (consommer et avaler sans réflexion ni savoir l’information des « médias de grand chemin »). Les esprits en Euro-Amérique, nos esprits, sont profondément travaillés, zombifiés.
D’autres articles entrant dans la même thématique vont suivre pour essayer de continuer à nourrir un peu notre conscience.
Sur la plate-forme thebookedition.com :
Merci de votre attention.
Bertrand Hédouin, responsable du projet Acte Eurasia
• Du Saint-Empire romain germanique au Saint-Empire germano-atlantiste ou le IVème Reich (I)
• Du Saint-Empire romain germanique au Saint-Empire germano-atlantiste ou le IVème Reich (II)
• Du Saint-Empire romain germanique au Saint-Empire germano-atlantiste ou le IVème Reich (III)
[I] : En 1982, les Pink Floyd avaient déjà tout dévoilé avec leur morceau « Another Brick in The Wall » pour lequel avait été composée une très bonne vidéo : Cf. https://www.youtube.com/watch?v=YR5ApYxkU-U
[I] : Carl Bildt. Cf. https://fr.wikipedia.org/Carl_Bildt
Il est important de noter que Carl Bildt est entré à la RAND Corporation en 2016 en tant que Conseiller au sein de la Commission des Consultants.
Nous avons déjà précédemment indiqué que Carl Bildt alors mnistre des Affaires étrangères suédois avait affirmé que la Russie était un mauvais élève de l’ordre international parce qu’elle était orthodoxe.
C’est avec fierté que Joseph Borrell, encore une fois Haut représentant de l’Union européenne pour les Affaires étrangères et la politique de sécurité, poste qui n’a aucun pouvoir de décision sur les États membres de l’Union en la matière des affaires étrangères, a repris la chandelle. Il a proposé le 31 mai 2022 de sanctionner dans le cadre du 6ème paquet de sanctions contre la Russie le patriarche de Moscou et de toutes les Russies Kirill.
Finalement, le 2 juin 2022, cette sanction n’a pas été approuvée à l’unanimité des 27 membres parce que le Premier Ministre hongrois s’y est opposé. Cf. https://www.republicworld.com/josep-borrell-believes-russias-patriarch-kirill-should-be-blacklisted-by-eu. Cf. https://www.lefigaro.fr/l-union-europeenne-renonce-a-sanctionner-le-chef-de-l-eglise-orthodoxe-russe/2022/06/02
[I] : Reinhard Gehlen. Cf. https://fr.wikipedia.org/Reinhard_Gehlen
[II] : « L’Organisation Gehlen ». Fondée en 1946 par Reinhard Gehlen. Il s’agit de l’agence de renseignement formée par les autorités d’occupation américaines dans la zone que les États-Unis occupaient après la guerre en RFA. Elle se composait d’anciens membres du 12ème département de l’état-major général de l’armée allemande.
[III] : Le Conseil de Sécurité national des États-Unis (National Security Council). À sa tête aujourd’hui se tient le grand dadais Jake Sullivan (Gd Sullivan). Cf. https://fr.wikipedia.org/Conseil_de_sécurité_nationale_(États-Unis)
[IV] : Les similitudes de la Commission européenne sous la présidence de Walter Hallstein à sa naissance avec la Commission européenne sous présidence d’Ursula von der Leyen sautent aux yeux. « Du déjà vu ! ».
[I] : Selon des estimations généralement acceptées par toutes les parties, on estime le nombre de morts de personnes juives pendant la Seconde Guerre mondiale et la Shoah à 6 millions. Les morts soviétiques pendant cette même guerre sont évalués à 25-27 millions. Aux morts de la Shoah, il convient d’ajouter les morts de nombreuses personnes issues de différentes minorités nationales européennes comme, par exemple, les minorités tziganes.
[II] : Les « ratlines » sont les réseaux d’exfiltration utilisés par les nazis, les fascistes et les Oustachis croates pour fuir l’Europe à la fin de la Seconde Guerre mondiale. Ils passaient avant tout par les structures du Vatican. Ces filières conduisaient essentiellement en Amérique latine, aux États-Unis et au Canada et, dans une moindre mesure, au Moyen-Orient.
[III] : « Opération Paperclip » : (opération Trombone) a été menée à la fin de la Seconde Guerre mondiale par l’état-major des armées des États-Unis avec l’objectif d’exfiltrer et de recruter quelques 1 500 scientifiques allemands issus du complexe militaro-industriel de l’Allemagne nazie pour lutter contre l’URSS et récupérer les armes secrètes du IIIème Reich. Ces scientifiques effectuèrent des recherches dans divers domaines, notamment sur les armes chimiques (Zyklon B), sur l’usage des psychotropes, sur la conquête spatiale, sur les missiles balistiques et sur les armes à longue portée (bombes volantes V1 et V2). L’opération est censée s’arrêter en 1957 du fait des protestations de la République Fédérale d’Allemagne (RFA). Elle a été rendue publique en 1973.
[IV] : Wernher von Braun. Cf. https://fr.wikipedia.org/Wernher_von_Braun
[V] : Otmar von Verscher. Cf. https://fr.wikipedia.org/Otmar_von_Verschuer
[VI] : Herman Joseph Muller. Cf. https://fr.wikipedia.org/Hermann_Joseph_Muller
[I] : « L’Ukraine s’est mise à construire le IVème Reich. Fascistes, sionistes et libéraux s’unissent contre la Russie ».
Entretien avec Olga Tchetverikova datant du 11 juin 2014, retranscrit et publié sur le fameux portail orthodoxe « Moscou, Troisième Rome ». Cf. https://3rm.info/na-ukraine-uzhe-stroitsya-chetvertyy-reyh-olga-chetverikova (rus)
[II] : Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe (APCE).
Résolution no 1481 (2006) : « Nécessité d’une condamnation internationale des crimes des régimes communistes totalitaires ». Cf. https://pace.coe.int/fr/files/17403
[III] : La Kabbale : Dans la tradition juive, la Kabbale représente un courant ésotérique qui, à travers une expérience personnelle, s’efforce d’apporter à celui qui s’applique à son étude et à sa pratique quelques réponses essentielles sur l’origine de l’univers, le rôle de l’homme et son devenir. On retrouve les concepts-clefs de la Kabbale dans le Zohar ou « livre de la splendeur ». C’est le commentaire du Pentateuque et du Cantique des cantiques, rédigé au XIIIe siècle par Moïse de Leon (Sefer Zohar). Depuis s’est développé le kabbalisme maçonnique, source majeure de la pensée maçonnique venant de la Renaissance. Cela donnera naissance au kabbalisme chrétien qui tente de concilier la méthode kabbalistique et le message chrétien en les reliant à une tradition supposée remonter aux origines du monde et trouvant ses racines dans les récits bibliques. On parle de Kabbale chrétienne, de philosophie alchimique et dz théosophie chrétienne.
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Source : Lire l'article complet par Réseau International
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