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par Panagiotis Grigoriou.
Le Régime tue. Chrysánthi n’avait que 36 ans. Elle était dentiste. Elle s’est pendue cette semaine. Endettée du prêt qu’elle avait contracté pour équiper son cabinet dentaire, elle a été contrainte au chômage forcé pendant près de deux ans, ceci parce qu’elle n’a pas accepté les dits « vaccins » du Régime.
Il faut dire que sa position, tout comme celle de tant d’autres… invincibles, ruinerait à terme les affaires des multinationales pharmaceutiques, ainsi que celles des pseudo-experts télévisuels. Sauf que cette hyper-structure criminelle qui gouverne sur nos piètres pays, ne veut en aucun cas subir… le réveil généralisé des humbles. Si seulement, un jour cela se réalise.
La nouvelle ne figure d’ailleurs sur aucun site Internet parmi les médias que l’on nomme encore parfois « grands », autrement-dit, les sbires grassement payés par le Régime totalitaire dans le but de diffuser et de vulgariser sa propagande pour ainsi faire avancer l’ethnocide et le génocide du siècle nouveau, en somme, le nôtre.
Pourtant, certains médias indépendants, ou sinon libres, si ce n’est qu’en partie, ont diffusé et commenté même la terrible nouvelle. « Chrysánthi ne s’est pas suicidée… car en réalité, il s’agit d’un assassinat ».
« Durant treize mois elle était de toutes les luttes aux côtés de nombreux collègues, médecins et hospitaliers suspendus pour avoir tenu tête au nazisme sanitaire », représenté en Grèce par la bande des satanisés aux commandes, sous le clan des Mitsotákis.
Les collègues parmi ceux qui n’oublient pas, ont observé une minute de silence en sa mémoire devant le supposé Conseil d’État à Athènes. « Nous ne te l’oublions pas, Chrysánthi… immortelle ». Et pourtant. « L’infortunée ne put supporter tant de mois sans travail et décida de faire son ultime voyage prévu. La mort de la jeune femme pèsera à jamais sur les dictateurs sanguinaires de notre pays ».
Sur les rares sites Internet n’ayant pas négligé la nouvelle, on peut par exemple lire. « La jeune dentiste avait été conduite à l’asphyxie financière et à la marginalisation professionnelle, suite aux mesures punitives du ministère de la… Santé. Elle avait 36 ans et elle s’est suicidée ».
Sa collègue Zafeiría Kakalétri, a publié son témoignage direct et émouvant sur sa page Facebook. « Je note qu’en tant que jeune collègue, Chrysánthi n’était pas du tout aisée, bien au contraire, comme tous les collègues le savent aussi, elle a eu tant de difficultés financières, et notamment suite à la fermeture… forcée de son cabinet dentaire ».
« Toute cette situation l’a rendue déprimée et, comme nous l’avons également appris, elle n’avait aucun soutien, si ce n’est que d’un seul membre de sa famille proche. Car, dans son cercle familial, ces gens pensaient qu’elle était bien… folle de ne pas vouloir se faire vacciner au risque de perdre définitivement son travail. Et pour ne rien cacher, Chrysánthi, fut même constamment harcelée psychologiquement par ses… proches ».
« Il y a quelques jours, sous toute cette pression et se voyant dans l’impasse, la jeune femme s’est hélas suicidée… Comment sa mère va-t-elle pouvoir vivre désormais ? Quelle mère peut supporter le suicide de son enfant ? Je suis accablée. J’ai appris la nouvelle aujourd’hui ».
« J’avais rencontré Chrysánthi dans nos manifs à Athènes. Elle était gentille, douce, et toujours avec son sourire, prête à aider partout, une très bonne dentiste aussi, à mon humble avis. Je n’arrive pas à croire qu’elle a mis fin à ses jours. Et les vrais coupables sont ces types ridicules qui, au Parlement, ont laissé tous ces gens au chômage, à la merci de la pauvreté et de la faim ».
Comme par hasard deux jours après, la presse mainstream fait écho de la dernière communication du Régime. « Alors que le gouvernement a déclaré la fin de la pandémie avant le début de l’été, la direction du ministère de la Santé a laissé la fenêtre ouverte pour le retour des agents de santé dans la prochaine période et à l’annulation de l’amende de 100 euros par mois infligée à tout Grec de plus de 60 ans ». Autrement-dit, ceux qui n’ont pas cédé au chantage des pseudo-vaccins de l’Hybris.
La route est longue, et elle le sera encore bien davantage. Chrysánthi est partie… tout juste au moment des olives arrivant à maturité, et les médias, même ceux de la dite gauche très syndicale observent le silence, celui du complot d’ailleurs annoncé, pour ne rien dissimuler.
Chrysánthi n’avait que 36 ans. Pays alors si vieux, ayant parfois lutté avec succès contre l’Hybris.
source : Greek Crisis
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