Jean Lassalle, ou 42 minutes de bon sens paysan dans un monde de calcul, de rapacité et de pourrissement où partout s’immisce un atroce désenchantement.
Un résistant doit choisir les moyens de sa résistance. Et lorsqu’il voit que dans le système installé il devient un jouet, un clown pour divertir, il faut qu’il prenne du recul pour voir comment il va mener son combat différemment.
Nous nous sommes immédiatement tournés vers les Américains et vers le capitalisme déraisonnable qui nous conduisait à la finance, cette toile d’araignée qui étouffe toute entière le monde.
On ne passe pas le meilleur de nous, le meilleur de l’argent que nous pourrions encore maitriser, le meilleur de nos richesses pour améliorer l’homme, pour le rendre plus humain, qui aura à nouveau une forme de joie et d’optimisme, et qu’il lui donnera envie de créer une planète apaisée. Parce que nous avons les moyens de nous apaiser. C’est tout le contraire qui se passe.
Nous sommes dans une période où le commun des mortels n’a aucune idée de ce qui peut arriver. Disons que tout est possible maintenant, tout a été mis en place. Oui, c’est programmé depuis au moins 30 ans, et ça s’est affiné dans les discussions ou dans les contrats ou les pseudos contrats d’amitié ou de coopération. On a isolé l’âme et on a monté les bons serviteurs qui avaient le plus trahi et accepté le plus d’argent.
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