Bonjour à tous,
Peut-être lisez vous aussi une bonne partie des commentaires que nous font nos lecteurs. Peut-être les avez vous déjà lu, mais ce soir je voudrais mettre en exergue deux commentaires très particuliers car tous les deux sont des messages d’espoir et méritent que nous les mettions à l’honneur.
Puissent ces deux messages vous apporter la confiance et l’espoir, car rien n’est perdu il nous suffit tout simplement de le vouloir. Il nous suffit de savoir écouter et surtout regarder « l’autre » non pas comme un adversaire mais comme un partenaire de vie.
Nous avons besoin de réapprendre le « Vivre ensemble », le respect et la compassion.
Voici de belles citations :
« Fais comme moi : donne un miroir à la vie. Donne une heure à l’enregistrement de tes impressions, à l’examen silencieux de ta conscience…. Il est doux de fixer ces joies qui nous échappent ou ces larmes qui tombent de nos yeux, pour les retrouver quelques années après et pour se dire : Voilà donc de quoi j’ai été heureux ! Voilà donc de quoi j’ai pleuré ! Cela apprend l’instabilité des sentiments et des choses… » (Lamartine)
« Comme la terre nous donne son nom, je lui donne mon humanité. » (Paul Claudel)
Pour en revenir à nos deux commentaires, nous avons récemment publié deux articles dont le texte a fait beaucoup parler nos lecteurs. Qui en est vraiment l’auteur ? Comment interpréter ce texte ? Je répondrais; de la manière la plus simple tel que nos deux « auteurs » viennent de le faire. Merci à eux.
Il ne me semble pas que ce texte doit être lu comme vous le faites, en pensant qu’il encense une partie de la population et par conséquent dénigre l’autre.
Ce texte soutient que les non vaccinés représente « le meilleur de l’humanité », selon l’auteur (il n’est pas certain que ce général le soit), cela ne signifie pas que les autres, les vaccinés soient dénués de toute valeur, pas du tout.
Les vaccinés ont obéi à des mobiles qui leur sont propres, soit pour conserver leur emploi, soit pour continuer à voyager ou aller au cinéma, soit par conviction que ces produits protégeaient du pire ou protégeaient les autres (voire les trois motivations à la fois). Pour beaucoup, ils ont cédé à une pression énorme venant des medias, de certains « soignants » ou « experts » et du gouvernement, et du chantage dans leurs milieux professionnels.
Pression et chantage inadmissibles dans tous les cas.
Il ne faut cependant désespérer de rien ni de personne au sein de la population.
Au moment où vous avez fait votre choix, vous avez fait le bon choix pour vous à ce moment-là. Personne ne vous insulte pour cela, nous devons au contraire être solidaires, c’est le plus important.
L’union et la solidarité de toute la population, et des peuples du monde entier, est notre seule force, notre plus grande force.
Personne ne jette la pierre à son voisin, et celui qui le fait se trompe forcément de chemin.
Toute la lumière sera faite sur ce qu’il s’est passé ces dernières années, c’est ce qui est important pour tous, et que nous attendons avec impatience.
Je vous souhaite le meilleur dans votre parcours, tenez bon ! La société, c’est-à-dire nous tous, a plus que besoin de personnes dévouées comme vous. C’est une qualité précieuse.
Quant aux impositions, elles sont une honte en France, le pays le plus imposé d’Europe, en cumulant la TVA, les taxes et les divers impôts sur le revenu, locaux, fonciers, et la très scandaleuse C.S.G, de l’impôt sur des revenus déjà confisqués par le fisc !
J’espère grandement que tous ces vols contre la population seront un jour très prochain stoppés, mais cela c’est encore un autre débat…
(Canastra)
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Et pour vous remonter le moral…
Il y a peu, un roi ni meilleur ni pire qu’un autre, vaniteux et vindicatif, assez sot mais environné d’experts en tout ce qui remue, bref sans surprise ni relief sauf qu’il s’imaginait si grand qu’il lui arrivait d’oublier ses escarpins à talonnettes dans les tapis cérémoniaux.
Il advint ainsi, par malheur, qu’un soir de bal masqué dans la salle aux cent lustres ( il était déguisé en César ou en Jupiter triomphant, on ne sait plus! ), comme il saluait l’assemblée du haut de l’escalier royal, il s’emmêla si mal dans sa toge romaine qu’il dégringola jusqu’aux pieds des porteurs de plateaux de toasts.
Il s’en tua net les deux jambes. Rien ne put les rafistoler. Il se vit donc forcé par le corps médical de marcher avec des béquilles.
Son prestige en fut écorné. Ses experts travaillèrent donc à lui rendre l’éclat du neuf. Un génial communicateur, après deux jours de transe chamanique ininterrompue, trouva la parade adéquate.
– Puisque notre bon roi, dit-il, est à jamais embéquillé, que ses sujets le soient aussi. Que l’embéquillement soit le signe pour tous d’une confiance retrouvée, d’une enthousiaste adhésion à la modernité nouvelle..
Et que les fous, les rétrogrades, les marginaux inconséquents, bref les possibles terroristes qui se risqueront à sortir sans leur béquilles soient désignés à la vindicte et privés de leurs droits sociaux.
Le peuple a ceci de commun avec le boa de la jungle qu’il est capable d’avaler, les yeux fermés, n’importe quoi. Pour faire comme tout le monde, chacun s’embéquilla.
Évidemment la vie ne fut plus aussi simple mais, peu à peu, puisqu’il fallait, on se laissa flotter du bas. Le roi mourut. Il fallait bien que cela, un jour, lui arrive. On épingla sur son cercueil la béquille d’or des héros.
On pouvait à nouveau marcher, comme autrefois, sur ses deux pieds.
C’est ce que dit un homme simple, un jour, dans un jardin public. C’était un de ces sans-bâtons que l’on regardait de travers quand il passait, les mains aux poches, à proximité des enfants. On lui répondit méchamment.
– Aller sans béquilles ? Utopie, faux espoirs, rêverie perverse. On marche ainsi depuis toujours. Et d’abord qui t’envoie ? Quelle secte ? Que cherches-tu ? Que nous veux-tu ?
– Vous informer, répondit l’autre. Regardez, faites comme moi. On peut mettre un pas devant l’autre, trotter si l’on veut, flâner. Essayez donc ! Que risquez-vous ?
– Ne l’écoutez pas, il radote. Ces gens sont des dangers publics !
On s’assembla autour de lui, on l’insulta, le bouscula, on brandit des cannes ferrées. Heureusement, il courait vite, beaucoup plus que les béquillards. Il s’en revint à sa campagne, cultiver ses légumes et ses fleurs.
Après quelques jours de paix triste une femme vint. Elle lui dit :
– Je ne sais pas ce que tu vaux, mais j’aimerais bien essayer.
– Tu as deux pieds, deux jambes. Marche.
Elle tomba aussitôt dans ses bras. On dit qu’ils eurent des enfants et qu’ils grandirent sans béquilles.
C’est peut-être vrai, va savoir !
(RIEN)
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