Charles III (alors prince de Galles) en 2012.
Par Emily Mangiaracina — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Dan Marsh/Flickr
9 septembre 2022 (LifeSiteNews) — Le fils de la reine Elizabeth II, Charles, qui est monté sur le trône de Grande-Bretagne à la suite du décès de la reine jeudi, est l’organisateur avec le président du FEM Klaus Schwab de la réunion originale pour le Great Reset, une initiative totalitaire du Forum économique mondial.
Dans une vidéo publiée à l’occasion du lancement du Great Reset, le prince Charles d’alors avait prévenu que le plan du Great Reset, lequel comprend des politiques « vertes » qui étoufferaient les entreprises et les libertés individuelles dans le monde entier, était une question d’urgence.
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« Nous n’avons pas d’alternative, car sinon, à moins que nous ne prenions les mesures nécessaires et que nous reconstruisions d’une manière plus verte, plus durable et plus inclusive, nous finirons par avoir [plus] de pandémies et [plus] de catastrophes accélérant le réchauffement de la planète et le changement climatique », avait déclaré le prince Charles, reprenant le refrain du FEM selon lequel des interventions mondiales majeures dans les pratiques commerciales et les habitudes de consommation sont nécessaires pour éviter une « catastrophe imminente ».
Le prince Charles avait suggéré que le monde « saisisse » l’occasion — pour créer « une bioéconomie plus circulaire qui rend à la nature autant que nous prenons ».
Il avait noté que cela impliquerait des émissions nettes de carbone nulles et l’utilisation d’une tarification du carbone pour atteindre cet objectif, système dans lequel les « coûts externes » des émissions de gaz à effet de serre, généralement le dioxyde de carbone, sont liés dès leurs sources à un prix. Ces coûts peuvent être conçus comme la prise en compte de conséquences présumées du changement climatique, très éloignées des émissions elles-mêmes, telles que les dommages causés aux cultures et les pertes de biens dues aux inondations.
En 2019, le Royaume-Uni est devenu la première grande économie à fixer un objectif d’émissions nettes de dioxyde de carbone nulles pour 2050, le même proposé par le FEM dans un défi lancé aux participants commerciaux mondiaux avant leur réunion annuelle de 2020.
Pour atteindre cet objectif, le principal conseiller scientifique du gouvernement britannique a encouragé les Britanniques à réduire leur consommation de viande et à prendre moins souvent l’avion afin de réduire les émissions nationales de carbone. Le comité britannique sur le changement climatique est allé jusqu’à critiquer le gouvernement pour avoir omis de demander des restrictions en matière de régime alimentaire et de déplacements dans le cadre de sa stratégie 2030 sur le changement climatique.
Source : Lire l'article complet par Campagne Québec-Vie
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