par Gilbert Guingant.
Le principe anthropique énonce que si l’on change quoi que ce soit dans les constantes fondamentales de l’Univers, aucune forme de vie et encore moins de conscience ne peut s’y développer. Or, le hasard ne s’occupe pas des constantes. Il semble circuler sans but ni raison. D’une manière imprévisible et aléatoire. Impossible à comprendre. La vingtaine de constantes physiques réglées à plusieurs décimales, elles, ne connaissent aucun…hasard. Il est même prouvé que la défaillance d’une décimale, ne permettrait pas l’avènement de la Terre et partant de la vie. Le hasard ne convainc donc plus personne : encore un truc de bourgeois arnaqueur !
À titre très concret où la vie commence par une cellule primitive, cette cellule primitive – si tout n’existait que par hasard – n’aurait jamais vu le jour. La science de la modélisation permet, en effet, de savoir que tout le temps nécessaire pour que se placent « par hasard » les protéines, l’âge de la Terre… n’y suffirait pas. Et seulement le pré-« commencement » de la vie est concerné par cette impossibilité. Or la vie a fini de commencer sur Terre : elle a énormément continué depuis. Et, de ce fait, a encore plus grandie l’impossibilité que la vie que nous vivons serait uniquement un rangement hypercomplexe mais très hasardeux. Comment une tête bourgeoise peut accepter ces inepties ?
Ces explications semblent solides – pourtant nous allons commencer par voir tout ce qui se prétend non convaincu. Qui a le plus de temps : qui s’est accumulé de très nombreuses preuves d’une thèse ? Ou qui refuse même de les… consulter puisque ses hypocrisies lui soufflent que cela ne lui semble pas, a priori, avoir de… sens ?
Il semble, déjà acquis que le matérialisme intégral ne peut exister. S’il y avait encore du hasard dans d’autres événements universels – il n’y en aucun dans l’émergence de la vie… Tout réductionnisme ou scientisme semblent des thèses dont il n’y a plus à s’occuper…
Cependant, préférant de loin le fair play, nous commencerons par les opinions contraires qui touchent à des parts essentielles de multiples débats : une page de discussion reste même ouverte sur Wikipedia concernant le principe anthropique :
Nous en extrayons ces extraits : « La page laisse croire que le principe anthropique supporte l’hypothèse d’existence d’univers multiples alors que ce n’est pas le cas. De nombreux lecteurs ont fait la confusion. La seule utilité est dans l’illustration du PA dans un exemple (pourquoi ne faut-il pas s’étonner de l’improbabilité d’apparition de la vie, de l’univers et du reste). Pouvez-vous remplacer « multiples univers existants » par « multiples univers qui auraient pu exister » ou « multiples univers existants dans l’ensemble des univers possibles » ?
– En revanche, il semble que la présence de la vie (et encore plus de l’homme) induise énormément de contraintes sur la structure de l’univers, sur les constantes fondamentales. Et donc, il semble que – de tous les principes xxxxxiques que l’on puisse inventer – cela soit le plus puissant (ou le moins impuissant d’entre eux.
– Il est vrai que, par exemple, le changement du nombre de dimensions de l’univers peut impliquer l’impossibilité de l’émergence de vie, donc de l’homme,
– Le nombre de dimensions de l’univers : nous ne savons pas si c’est 10 ou 11. Mais il est exact qu’à trois dimensions (deux d’espace et une de temps) et a fortiori en-dessous (!), des questions purement topologiques rendent difficile (pas forcément impossible, cela dit ; qui sait si en imaginant des solutions un peu tordues… ?) la conception de formes de vie, et en tout cas de vie consciente,.
Le physicien Victor Stenger résume le principe anthropique ainsi :
« … la vie terrestre est tellement dépendante des valeurs des constantes physiques fondamentales et des propriétés de son environnement que de changer une de celles-ci tant soit peu ferait en sorte que la vie telle que nous la voyons autour de nous n’existerait pas. On dit que cela témoigne d’un univers dans lequel les constantes physiques fondamentales de la nature sont réglées de façon extrêmement précise et finement équilibrées pour favoriser la production de la vie. L’argument dit que les chances qu’un ensemble initialement aléatoire de constantes corresponde à l’ensemble des valeurs qu’elles ont présentement dans notre univers sont très petites ; il serait donc extrêmement improbable que cet équilibre précis soit le résultat d’une chance inconsciente. Au contraire, un créateur intelligent avec un dessein en tête, celui-ci évidemment personnel, a probablement fait les choses telles qu’elles sont (pour un bon survol des détails du soi-disant réglage précis, voir l’article de Stenger « The Anthropic Coincidences : A Natural Explanation« ) ».
Ce qui découle de constats… d’évidences… Nous n’existerions pas ni ne serions conscients du monde autour de nous si celui-ci n’était pas compatible avec notre existence. Ou encore… bien sûr, si les choses avaient été différentes, nous ne serions pas ici. Mais elles ne l’ont pas été et donc nous sommes.
Les physiciens se sont butés à des signes indiquant que le cosmos est fait sur… mesure pour la vie et la conscience. Si les constantes de la nature – des nombres fixes comme la force de gravité, la charge d’un électron et la masse d’un proton – étaient moindrement différents, les atomes ne pourraient pas tenir ensemble, les étoiles ne brûleraient pas et la vie n’aurait jamais fait d’apparition. (Sharon Begley, Newsweek, Juillet 1998)
• canal-u.tv/video/cerimes/le_principe_anthropique_science_ou_pas
Quelques faits scientifiques et « l’impossibilité du hasard »
On sait qu’il existe une vingtaine de constantes physiques réglées à plusieurs décimales et il est prouvé que la défaillance d’une décimale, ne permettrait pas l’avènement de la terre et partant de la vie. Nous allons énumérer, sans être exhaustif ; quelques anomalies qui ne peuvent pas s’expliquer par le hasard. Ainsi Pierre Périer spécialiste de la modélisation a calculé la probabilité d’obtenir « par hasard » certaines protéines qui constituent les briques fondamentales de la vie en estimant le nombre maximal de collisions ayant eu lieu dans l’océan primordial où est apparue la vie. Chaque protéine est constituée de 20 acides aminés. Or, il existe plus de 2 milliards de milliards de façons de placer 20 entités le long d’une chaîne. Sa conclusion est que, quel que soit le chemin emprunté, la réalisation des différentes probabilités demande bien…plus de temps que l’âge de la Terre (4 milliards d’années).
Notons que, selon Harold Morowitz et Mickael Denton, pas moins d’une centaine de protéines (oui, au moins 100 !) seraient indispensables à la survie et à la reproduction d’une cellule « primitive » (5 pour synthétiser les corps gras, 8 pour l’approvisionnement en énergie, 10 pour la synthèse des nucléotides de l’ARN et de l’ADN et 80 pour synthétiser ses protéines…). Ainsi, l’hypothèse d’une création « par hasard » d’une cellule primitive vivante comportant non pas 1 mais 100 protéines semble bien improbable étant donnée la complexité des schémas mis en jeu. [Remarque : Le raisonnement de Pierre Périer est basé sur l’obtention « par hasard » de toutes les combinaisons possibles des 20 acides aminés) – il faut donc multiplier le déjà démesuré par 5 !].
La position de la Terre et son environnement dans l’univers ? Si la Terre n’était pas sur le bord de la galaxie mais en son centre, les astronomes auraient été incapables de voir la galaxie dans laquelle nous nous trouvons et le reste de l’univers. Si le soleil n’était pas à mi-chemin du bord de la galaxie et entre ses deux bras en spirale, les êtres vivants soit auraient été victimes de radiations dangereuses et de poussières de comètes (plus près du centre ou d’un des bras) : soit n’auraient pas existé du tout par manque de matériaux lourds pour construire la vie (plus éloigné du centre ou d’un des bras). De plus, la distance du soleil entre les deux bras de la galaxie demeure constante, lui évitant d’être … aspiré par un des bras. Si la distance moyenne entre les étoiles dans notre galaxie était différente de ce… qu’elle est, la vie aurait été impossible : plus grande, les produits des explosions des supernovae auraient été tellement diffus que les planètes n’auraient pas pu se former. Plus petite, les orbites des planètes auraient été déstabilisées. La vie est une suite soins hyper attentifs pour que les humains puissent y être… introduits. Aussi, voir comment ces égarés ingrats, surtout leurs faux dirigeants indignes, traitent cette vie plus que Précieuse – n’appelle que d’immenses fessées culs nus en public pour ces êtres si grossiers. Des cancres, oui. Qui ne… méritent pas les humains, en tout cas ! Il faut les rétrograder à salauds qui salopent tout…
L’hypothèse d’un accordeur transcendant
Pour Jean Staune, philosophe des sciences ayant dirigé des ouvrages auxquels de nombreuses personnalités scientifiques (dont 11 prix Nobel), la science pose ouvertement la question du…sens. Interviewé, il livre ses idées que nous résumons : « (…) J’ai envie de vous répondre par une histoire. Vous êtes devant un peloton d’exécution et vous devez logiquement mourir. Mais vous êtes toujours vivant après les détonations. Quelle est votre première réaction ? Vous vous dites que vous avez eu un coup de chance extraordinaire. Dans le peloton, un des tireurs a été piqué par une mouche, un autre a oublié ses lunettes, ils ont tous tiré à côté ! Puis s’impose à vous l’idée qu’une telle chance n’est pas possible – sauf s’il y avait des milliards de pelotons d’exécution, auquel cas, l’un d’entre eux pourrait rater sa cible. Il a dû y avoir un complot. Le parti de la résistance auquel vous appartenez a soudoyé les tireurs pour tirer à côté. Dernière possibilité : un ami s’est glissé dans l’armurerie, il a échangé les balles contre des balles à blanc. Avec cette histoire, vous avez un bon résumé des hypothèses sur la création de l’Univers ».
« Tout commence avec un principe appelé anthropique, les scientifiques se sont rendu compte que si l’on change quoi que ce soit dans les constantes fondamentales de l’Univers, aucune forme de vie et encore moins de conscience ne peut s’y développer. Face à cette découverte, que personne ne conteste, il n’y a que les trois solutions que je vous ai décrites avec mon histoire.
Première solution, il existe des milliards d’univers parallèles et statistiquement l’un d’entre eux a pu « gagner au loto», créer la vie en ayant juste la bonne vitesse d’expansion, la bonne gravitation, la bonne masse du proton, etc.
La deuxième solution, c’est celle du complot où l’on a payé un à un les tireurs pour qu’ils ratent leur cible : un principe créateur a effectué un réglage fin de toutes les constantes fondamentales de notre Univers pour qu’il soit ce qu’il est.
Enfin, la troisième solution, c’est qu’il existe une théorie d’unification expliquant la valeur de toutes les constantes fondamentales de l’Univers (ce qui correspond à l’hypothèse des balles à blanc : il y a une cause commune à l’échec des tireurs)… Stephen Hawking défend les première et troisième options ».
Dans « Une brève histoire du temps », Stephen Hawking reconnaissait que s’il existait une théorie du Tout, le problème se poserait de savoir « ce qui a insufflé le feu aux équations », c’est-à-dire qui a mis les balles à blanc dans l’armurerie ? L’existence éventuelle d’une théorie de grande unification ne suffit pas à éliminer la question d’un créateur. Par contre, s’il y a une infinité d’univers parallèles, alors oui, l’hypothèse d’un créateur n’est plus utile. (…) C’est la science elle-même et non la théologie qui pose la question de l’existence d’un créateur. Comme elle n’impose aucune des trois réponses que nous avons décrites ici, il est antiscientifique d’affirmer que la science permet de se passer d’un créateur. »
En résumé, c’est soit un créateur soit les univers parallèles (par allèles ?) qui demeurent nécessaires à l’explication de l’apparition de la vie. La Vie excède bien tous les savoirs que matérialistes. Sauf, qu’ici, l’hypothèse du « créateur » n’a rien à voir avec les religions. Et que les univers parallèles dépendent de la Théorie du Tout.
L’ordre suivant est celui des vidéos qui servent à plonger, rapidement, dans le centre des débats. Numérotées de 1 à 10, chacune illustre un argument qui peut être entendu comme le hasard va disparaitre de la compréhension. Il va changer d’appellation – étant entendu que ce mot ne recouvrait que « ce que nous ne savions pas » auparavant… ou, au contraire – se maintient le tout n’est qu’absence de sens, de but et de direction volontaire. Tout ne s’enclenchant qu’aléatoirement. Il n’y a donc pas d’ordre véritable à l’univers.
- Comment est née la théorie du Tout ? Le rêve d’Einstein : les ingrédients fondamentaux de la nature sont des cordes d’énergie minuscules, dont les vibrations sont à la base de tout ce qui se passe dans l’univers. La théorie va tout unifier : et nous verrons l’ordre qu’est l’univers.
Afin de saisir l’hyper-complexité d’établir seulement un modèle de l’apparition de la vie voir la vidéo « Démarche scientifique en modélisation et analyse numérique »… l’avantage, ensuite, c’est que les connaissances que ces modélisations obtiendront sur l’amenuisement des hasards dans l’apparition de la vie – auront plus de poids.
Le Dr. Michael Denton veut prouver le peu de chance de pouvoir assembler en aveugle et sans aucun savoir la centaine de protéines qui ont permis la vie. Il en donne ici l’analyse statistique et le calcul chiffré de la chance infime que ce procédé puisse un jour, créer la vie que nous vivons.
STATISTICAL ANALYSIS (excusez cette monstration aride – mais, afin d’envisager ce « qu’est » l’hyper complexité, c’est le chemin le plus sûr !)
100 proteins are required to keep a cell alive. This « …would require at least 100 functional proteins – giving a maximum combined probability of 10^-2000 or 1 : 10^2000. » Dr. Michael Denton
Amino acids have left handed links and right handed links. In nature, there are equal numbers of each in nature and no known process to change them. In cells, all 10,000 amino acids are only left handed. All 100,000 nucleotides in the cell are only right handed and they must be this way to link. What’s the chance that these can come together at the right time, right place in a space 2500 times smaller than the period.
« The probability of assembling 10,000 left-handed amino acids and 100,000 right-handed nucleotides is 1 chance in 10^33113. » R. Muncaster.
Harold Morowitz, also a microbiologist, calculated the odds of a cell randomly assembling under the most ideal conditions to be 1 chance in 10^100,000,000,000″. And this is just the material, not bring it to life or giving each molecule it’s tasks or how to reproduce, let alone far more complex, love, bravery, appreciation of beauty. etc (an endless list). »
- Harold Morowitz, de même, expose les chances minimes que la, vie telle que nous la connaissons ; puisse être issue d’un complet hasard. Soit d’un… désordre généralisé (dire désordre « organisé » est une antinomie si forte qu’il n’y a que des imposteurs pour s’y abaisser !).
This video interview with principle investigator, Harold Morowitz, is from the exhibit « Emergence : A New View of Life’s Origin ».
- Ce qui excède les 3 dimensions de notre univers euclidien représente, aussi, un obstacle à l’argument de la vie qui aurait été semée par les hasards, une succession inimaginable de coïncidences successives et enchainées l’une à l’autre. Après tout, cette explication fait plus conte de fées que le principe anthropique utilisé de manière pondérée.
« … The possibility that there might be more than one dimension of time has occasionally been discussed in physics and philosophy.
Special relativity describes spacetime as a manifold whose metric tensor has a negative eigenvalue. This corresponds to the existence of a « time-like » direction. A metric with multiple negative eigenvalues would correspondingly imply several timelike directions, i.e. multiple time dimensions, but there is no consensus regarding the relationship of these extra « times » to time as conventionally understood.
If thе special theory of relativity can be generalized for the case of k-dimensional time (t1,t2,…,tk) and n- dimensional space (xk+1, xk+2,…, xk+n), then the (k+n)- dimensional interval, being invariant, is given by the expression (dsk,n)2=(cdt1)2+…+(cdtk)2−(dxk+1)2−...−(dxk+n)2. The metric signature will be (\underbrace{+,\cdots,+}{k},\underbrace{-,\cdots,-}{n})\, – timelike sign convention, (or (\underbrace{-,\cdots,-}{k},\underbrace{+,\cdots,+}{n})\, -spacelike sign convention ). »
- Dans la suite de l’argument précédent, la 11ème dimension : le stade actuel du consensus des physiciens.
Les Fractales et leur Chaos ont du mal à croire que ce soit le seul Hasard, le hasard unique, qui soit à l’origine de leurs hypnotiques figures… Oui, suivons la flèche de l’argument dans sa trajectoire : si le hasard « fait bien les choses » il a comme une intention sous-jacente, une direction oui une volonté derrière lui. Sa démarche très méthodique, en tout cas, n’est pas hasardeuse du tout…
Toutes les données scientifiques qui pourraient prouver l’existence de dieu sont, ici, mises en avant. La conclusion particulière est que c’est « un hypothèse qui échoue »… sauf que la notion d’un créateur, dans le contexte des conditions d’émergence de la vie que nous vivons, n’oblige pas à un dieu de… religion… L’esprit bourgeois décidément ne sait que tout… saloper. Le pire des cancres de l’univers ? En son hérétique costard-cravate ? On dirait bien. En tout cas, il s’est assez prouvé indigne de tous les savoirs…
« Victor J. Stenger (Victor John Stenger) was an American particle physicist, philosopher, author, and religious skeptic. Following a career as a research scientist in the field of particle physics, Stenger was associated with New Atheism and he also authored popular science books. He published twelve books for general audiences on physics, quantum mechanics, cosmology, philosophy, religion, atheism, and pseudoscience, including the 2007 best-seller God : The Failed Hypothesis : How Science Shows That God Does Not Exist. His final book was God and the Multiverse : Humanity’s Expanding View of the Cosmos. »
- Pour le sens de la vie justement… il n’est pas perçu le sens que conserve un univers et une vie sans principe créateur – a priori ? Oui à quoi rime tout cela ?
La fin de tout hasard – soit la thèse extrême opposée au réductionnisme scientiste genre nous ne sommes que de la chimie, etc.. Nous ne sommes que les éléments qui nous constituent et pas le tout. Le réductionnisme ne parvient, ainsi, jamais à un tout qui soit plus que l’ensemble de ses parties (le réductionnisme nous… réduit à « n’être que… »… une machine, des influx électriques, un inconscient, etc. Ce qui semble être (par excès de simplisme..) un refus catégorique de toute… réflexion adulte.
L’accordeur transcendant qui remplacerait le hasard ? À l’instar du cosmologiste Trinh Xuan Thuan tant d’autres restent intrigués par ce réglage céleste. Il écrit que la précision de ces constantes s’apparente à celle d’un archer qui arrive à placer une flèche dans une cible de 1m2 à… l’autre bout de l’univers. Bref, du véridique se mirer dans le miracle de la vie !
Ce qui est surtout expliqué ce sont toutes les nouvelles formulations devant ces faits qui nous résistent (Ce qui est mieux, vue la dépravation « acceptée » des faux gouvernants !). Et qui découlent précisément de ces faits. Il est, donc, rejeté ces nouvelles formulations (le hasard, n’explique pas, il dissimule… les escroqueries sordides) tout en laissant flotter les causes dans une atmosphère d’imprécisions conceptuelles. Les paresses mentales dues aux vieilles habitudes, sévissent partout et dans les milieux (et, surtout ceux qui se croient libérés, et ne rengainent jamais leur fossilisées rengaines.).
À la fin de cet article – c’est, alors, la réponse à ces réels casse-têtes qui nous remplit le sens que nous donnons à la vie. Là où les avares et les avariés égoïstes sont reconnaissables immédiatement : ils ne donnent Rien… néant partout…
Sens de la vie qui éclaire (ou non !)…
nos comportements et actions !!
Face au respect immense dû à la Vie et à la Nature.
Les faux dirigeants c’est AUCUN respect. Des barbares donc !
source : Imagiter
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