Derrière le conflit en Ukraine, l’Amérique en guerre contre l’Europe

Résumé de la situation, si l’on prend un peu de hauteur : depuis le 24 février 2022, date de l’attaque russe en Ukraine (ou de la contre-attaque, mais ce n’est pas le débat), les Européens ont pris, sous la pression des Américains, des sanctions contre les Russes. Les Américains n’ont plus que les sanctions pour régner sur le monde, un monde qui se rétrécit, d’ailleurs, puisqu’ll ne compte plus que ces couillons d’européistes.

Les autres sont beaucoup plus indépendants : la Chine, l’inde, le Brésil, les pays arabes, la Turquie, l’Iran, l’Algérie, n’ont pas suivi le mot d’ordre. On n’a pas écrit Européens car les 450 millions d’habitants de l’UE sont les otages d’une bande de corrompus vendus à l’oncle Sam. Ursula von der Leyen incarne cette corruption. Elle a par exemple décidé toute seule ou presque de lâcher des dizaines de milliards de notre budget commun à « Bancel & Bourla », cette multinationale du pire.

Six mois après le début du conflit, alors que Bruno Le Maire clamait qu’il mettrait l’économie russe à genoux, la France met un premier genou à terre, et l’Allemagne avec. L’hiver 2022-2023 s’annonce rude, surtout pour les plus pauvres : moins d’argent réel à cause de l’inflation, moins de chauffage à cause de la coupure du gaz russe, une coupure voulue par l’establishment européen, une coupure qui, on le sait, profite à la fois à l’économie russe, qui voit les prix du gaz et du pétrole s’envoler, et à l’économie américaine, qui refourgue armes et gaz de schiste au prix fort, et c’est l’Europe qui paye la note, car les Ukrainiens n’ont pas un fifrelin.

Voici les effets secondaires des « sanctions », sachant que chez nous, l’inflation réelle n’est pas de 6 %, mais au moins du double, voire du triple.

Et tout ça pour quoi ? Pour prétendument soutenir l’Ukraine, qui serait le symbole de la démocratie menacée par la tyrannique Russie, Zelensky-le-cool (qui fait l’ouverture du festival de Cannes et de l’université du MEDEF) contre Poutine-le-dur. C’est le narratif officiel. Mais il commence sérieusement à se fissurer.

Certes, Thierry Mariani est considéré comme un type de droite pro-russe, mais il n’y a rien à dire à sa déclaration :

C’est bien la CIA et l’OTAN, soit l’Amérique, qui ont placé ce dangereux pitre de Zelensky à la tête d’un pays qui sert de prétexte à l’affaiblissement ou à l’alignement de la Russie sur les normes du Nouvel Ordre mondial. Les Ukrainiens souffrent aujourd’hui de ce calcul cynique épouvantable, préparé depuis au moins 2014. Les Américains se battront jusqu’au dernier Ukrainien pour avoir la peau de Poutine, c’est le projet, et les Ukrainiens doivent le comprendre, eux qui ont voté, aveuglément pour leur clown le 20 mai 2019, croyant en finir avec la corruption.

Si ce sont les Ukrainiens qui sont bombardés, et parfois par leur propre camp, ce sont les Européens qui vont souffrir économiquement de ce conflit voulu par le pouvoir profond US.

Au fond, la grande Amérique sait qu’elle a perdu la guerre contre le monde, mais, acculée devant la montée de la puissance combinée sino-russe (l’atelier du monde couplé avec une puissance militaire et nucléaire qui possède les premières ressources minières et énergétiques du monde), elle n’a plus que le chaos pour se survivre.

C’est la faiblesse qui est à l’origine de l’agressivité, et l’Amérique se conduit comme une racaille, alors que de moins en moins de pays la suivent dans son délire. En espérant que le peuple américain saura un jour se débarrasser de l’engeance qui le met en porte-à-faux avec le monde entier, et qui se cache derrière des présidents fantoches, corrompus, pitoyables.

Finalement, Biden, c’est un peu le père spirituel de Zelensky.

Pour nous, Européens, et non pas européistes, en France, il ne reste qu’une solution pour échapper au piège mondialiste.

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Source: Lire l'article complet de Égalité et Réconciliation