Aux sources de la haine
Au mépris de la paix
Au puits perdu du pouvoir
Des mains profanes
Puisent la vengeance
Tueuse de rêves
Avec formules et calculs
Avec froideur et détachement
Sous les ombres de la mort
Des robots pleins de morgue
Semblables à des hommes
Créent un champignon funeste
Déraisonnable sacralisé
Et le chaos emporta la ville
Pulvérisée par les atomes
Incendiée sous un volcan
Emportée par l’horreur
Cicatrisée avec fureur
Dans un parc, à la margelle d’une vasque
un enfant calciné
Réduit à la forme d’un violon
Sans le son
Là-bas s’étiole la vie
Sacrée
Avec l’espoir de l’harmonie
Dans le levain de la mémoire
Source: Lire l'article complet de L'aut'journal